Un long séjour à l’hôpital, pendant lequel j’ai eu quelques aventures a provoqué des réflexions diverses. [suite]
Il y avait longtemps que j’avais pas vécu une folle nuit. Une de celles dont on dit: “Pourvu qu’il y ait l’ivresse…» Début octobre, j’ai été servie: une nuit comme je n’avais pas imaginé que ce fût possible, et que j’ai voulu partager avec vous – car ces choses-là se vivent mieux entre amis. Surtout si l’ivresse n’est finalement pas au rendez-vous.
[Indication bande son] Si vous voulez imaginer une petite musique de fond pour regarder ce petit film – euh… je veux dire, lire ce compte-rendu –, je vous propose Une nuit sur le Mont Chauve de Mussorgsky. [Fin indication bande son] [suite]
C’est assez intimidant, je l’avoue, de poster une réflexion sur la littérature deux jours après avoir lu l’opinion selon laquelle «Cuk tourne à vide», et cela à la suite d’un sujet poétique en images, d’un sujet purement «littérature», d’un récit de voyage, d’un poème… Changerai-je mon fusil d’épaule, me suis-je demandé. Parlerai-je technologie? Et puis non. [suite]
Vous vous souvenez peut-être: j’avais découvert Carlo Gatti, je vous avais fait part de ma découverte, puis je m’étais mise à écrire son histoire, et en cours de route, j’avais partagé avec vous un bout de mes recherches: comment voyageait-on à travers le Gothard avant le train? Cela nous avait donné l’occasion de découvrir un superbe texte très peu connu de Rimbaud. Et maintenant… [suite]
Je précise tout de suite, ceci est, au vrai sens du terme, une expression d’humeur. Pas un reportage. Je n’essaie pas d’être objective. Ce que je vous dis est certes descriptif, mais aussi teinté par ma déception. Voici donc mes impressions sur le festival de Locarno, dont je reviens. [suite]
Je suis assise sur un des bancs placés sous la grue et j’attends. Ça dure: il n’y a presque personne. Je voulais savoir ce que pense de cette grue, venue du port de Rostock et plantée pour un temps au bord de la Limmat, au beau milieu du vieux Zurich, l’homme de la rue.
[suite]
Un lieu riche en tradition, et – ma foi – un peu magique: il est à Zurich, il comporte un étage en allemand (normal) et un étage en français (inattendu) où l’on trouve, grâce aux génies du lieu (ils sont deux) tout ce que la bande dessinée produit. [suite]
J’ai été professeur, chercheuse, traductrice, responsable publicitaire, pendant longtemps journaliste occasionnelle, et finalement journaliste de télévision. J’ai toujours été critique envers une profession que j’aime, mais face à laquelle j’ai gardé une certaine distance. Il me semble que les critiques qu’on lui porte sont souvent envoyées à la mauvaise adresse. [suite]
L’anthropologue de mon quartier est rouquin. Il a ses entrées partout pour observer notre petite tribu. Il n’y a pas mieux que lui pour vous donner une image exacte de nos us et coutumes. Il parle plusieurs langues – allemand, schwyzerdütch, anglais, français, russe, japonais, etc.
[suite]
Trois sujets en un, aujourd’hui.
Une application.
Une exposition.
Un artiste.
Je vais prendre les choses à l’envers. [suite]
Il y a des gens que vous rencontrez tous les jours, ils vont en quelque sorte de soi. Franz Bänninger, dit Frankie B, ou tout simplement Frankie était un des deux coiffeurs pour messieurs de mon quartier à Zurich: il y a Alfie, et il y avait Frankie. Suivant ce que vous préfériez, vous, les messieurs, iriez chez l’un ou chez l’autre. Alfie, c’est du classique, Frankie… Ben, qualifier Frankie,… [suite]
J’aurais dû pouvoir publier cette humeur le lendemain de Noël, puisqu’elle m’a été inspirée par une remarque de Anne L et par un commentaire de Ysengrin dans le billet «Du nouveau» du 25 décembre. Mais voilà, «mon jour» tombe aujourd’hui. On parlait (entre autres) de Rimbaud. Anne L écrivait:“l’« ange en exil » (ainsi nommé par Verlaine) cédera l’écriture à la fugue, au voyage”. Juste avant elle avait écrit: “il ne rêvait… [suite]
Je vendais des tickets pour les autos tamponneuses. Le ciel était chargé, il avait neigé peu auparavant et les toits étaient encore empoussiérés de blanc, on était en avril, c’était normal. Je remplaçais Lucie Girot, pendant qu’une fois de plus, elle était allée voir si sa nièce était revenue chez elle. Cette nièce était lausannoise, elle avait épousé un Glaronnais, dont elle était entre temps… [suite]
Dernières nouvelles d’une actualité vieille d’un demi-millénaire: Qui était Richard III d’Angleterre? Shakespeare a fait de lui un portrait saisissant. Des découvertes récentes ont rouvert le dossier. La suite après le prochain clic. [suite]
Les révélations d’Edward Snowden l’ont souligné: internet était censé être un espace de liberté. Au fil des ans, des pouvoirs souvent mal définis en ont fait une vaste plateforme de surveillance. [suite]
On n’a plus tout à fait l’impression de faire du tourisme: l’iPhone et l’iPad ouvrent des perspectives sur une manière de voyager particulièrement instructive. L’exemple de Londres. [suite]
Un voyage historique, et une proposition de balade si vous avez encore quelques jours de vacances et cherchez des idées: de la vallée de Blenio (TI) à Lucerne. [suite]
Que vous soyez suisse ou non, une chose est pratiquement sûre, le vocable gruyère vous est familier. Mais encore…? [suite]
Nous faisons partie des premières générations qui ont vu le centre des villes où elles étaient nées se transformer sous leurs yeux, devenir méconnaissable: une réflexion. [suite]
J’ai eu le coup de foudre pour une représentation de Léonce et Léna de Büchner sous forme de ballet. Quelques explications. [suite]
Emballez, c’est pesé, disait-on à l’époque où à l’épicerie il y avait encore des vendeurs. Maintenant que tout est fait par des machines, que nous sommes à l’ère du tout instantané, emballer est devenu un «art», et déballer une prouesse. [suite]
Elles avaient 14 ans, vivaient à deux pas de la frontière, à Rorschach (Suisse). Elles voyaient quotidiennement refouler les désespérés, juifs ou non. Elles ont estimé de leur devoir d’agir. Lisez comment. [suite]
J’ai enfin trouvé le programme qui sert vraiment à écrire en route quand l’envie ou la nécessité me prend – un exercice dont je suis habituelle, et qui s’est souvent passé, jusqu’ici, sur des dos de factures ou dans les espaces blancs des menus de bistrot. [suite]
Au mois de décembre je vous ai proposé une nouvelle en primeur, je vous propose aujourd’hui une autre lecture-avant-tout-le-monde: les quelques premières pages de «La Tempête des heures», l’histoire de la petite Ella, qui se passe en 1940 et m’a beaucoup occupée en 2012. Le reste sera en librairie d’ici la fin de la semaine. [suite]
Une aventure (encore inédite) de Marie Machiavelli – mon cadeau de Noël aux cukiens. Bonnes fêtes! [suite]
C’était un Appenzellois comme tant d’autres, émigré aux Etats-Unis après un apprentissage de commerce: il est aujourd’hui un des héros que la Suisse a fini, avec du retard, par reconnaître.
[suite]
La Suisse est un si petit pays qu’on oublie facilement que certains de ses citoyens ont fait de grandes choses. En voici un quelque peu négligé de l’histoire, et qui fut pourtant un grand innovateur dans son domaine – la gastronomie sous diverses formes. [suite]
…et une des plus petites du monde. Un charme certain… doublé d’une histoire politique particulière.
[suite]
Est-ce que Google nous rend idiots? Est-ce que l’utilisation d’internet affecte notre mémoire?
Des questions qui surgissent régulièrement dans la presse internationale, les livres et les discussions radio-télévisées – sans parler du fait qu’il y en a plein sur le net. Mais aussi une question vieille comme le monde. [suite]
Il était Suisse, révolutionnaire radical, officier, haut fonctionnaire; il a contribué à la création de la Suisse moderne, il a participé à la Guerre de Sécession et il est l’auteur d’un nombre considérable de livres. [suite]
Un scoop, auquel vous pouvez assister en personne samedi 30 juin! Pour fêter son 300e anniversaire, le citoyen de Genève Jean-Jacques Rousseau accepte l’invitation de Monsieur de Voltaire en son château de Ferney – à voir en direct! [suite]
… et qui plus est, des lieux vous sont ouverts qui font plaisir. L’Association des amis de Bernard Campiche éditeur vous convie à un samedi pas comme les autres. [suite]
… dont un reportage en profondeur découvre la véritable histoire. Quoi? Vous me mettez en doute? Une chaise lé-gen-dai-re, je vous dis. Voyez plutôt! Reportage en direct et en V.O. au pays des légendes et du design. [suite]
…ou presque. Car on retrouve au Musée historique de Berne quelques-uns des trésors abandonnés sur le champ de bataille il y a 536 ans. [suite]
Un graffiti urbain fait de vraies fleurs – il fallait y penser! Permettez-moi de vous présenter le précurseur suisse du concept. [suite]
L’épopée d’un juste, qui a eu un jour à choisir (et à décider) entre sa conscience et les consignes. [suite]
On approche de Pâques, vous voyagerez peut-être, vous passerez éventuellement par Zurich, ou non loin: dans ce cas-là, faites le détour. Un coup d’oeil sur l’hiver des peintres, du XVe au XXIe siècle – une exposition originale. [suite]
Dans un cadre historique (un cloître dominicain désaffecté… et réaffecté), présentation d’un homme d’importance historique: Johann Rudolf Rahn, pionnier de l’histoire de l’art et de la conservation des monuments. [suite]
C’est un débat qui m’étonne toujours: l’expérience a montré que la libéralisation des prix est suivie d’une baisse temporaire de ces prix, puis par une remontée – et souvent par du chômage. En Suisse, on va pourtant voter pour ou contre le prix fixe du livre. Un point de vue. [suite]
Ces paroles sont du chef d’orchestre Riccardo Muti, dont il est question ici.
Ma contribution d’aujourd’hui peut être vue comme un complément, sur un tout autre plan, à celles de François à propos de Qobuz. Au-delà du plaisir de l’écoute, très important, elle raconte une –disons – anecdote sur le sens dont la musique peut se charger. [suite]
Nous ne le connaissons guère, et pourtant Vincent Van Gogh disait être «muet d’admiration» devant ses oeuvres, et ses illustrations ont forgé notre image de bien des événements passés, et notamment du monde des pirates: Howard Pyle.
[suite]
Le week-end dernier, des centaines de villes à travers le monde ont suivi le modèle de «Occupy Wall Street» et ont campé devant les grandes institutions financières de leur région. Y compris à Zurich. [suite]
Lorsque vous lirez ceci, cela fera TROIS semaines que j’attends que les «relations clients» de l’éditeur de dictionnaires Le Robert répondent à une question simple: pourquoi mon code d’activation du Robert électronique ne marche-t-il pas alors que j’ai suivi à la lettre leurs instructionsi? La saga d’un long silence. [suite]
Il était marchand d’art, et il était son propre meilleur client. Ce critique, marchand et collectionneur éclairé, précurseur dans son domaine, a été longtemps presque oublié. Il vient de réémerger en «fantôme des musées». [suite]
Depuis deux ans environs, je vous parle de John Florio, et de mes voyages à sa recherche.
Le livre est terminé, il sera en vente «dans toutes les bonnes librairies» dans une dizaine de jours (le 30 août), et puisque je vous ai fait participer à son élaboration, je tiens à vous signaler la fin des travaux. [suite]
Pour me faire pardonner mon retard (je me suis retrouvée, jusqu’à il y a une demi-heure, sans téléphone et sans liaison), je vous conseille la lecture d’un livre qui propose une balade – en Suisse. [suite]
Ces derniers temps, j’ai cherché un traitement de texte et un lecteur de pdf pour iPad. J’en cherchais qui communiquent sans problème avec ceux de mon ordinateur. Un aperçu de mes recherches – et quelques questions… [suite]
Je suis allée à Paris, représenter Cuk suisse à l’enterrement d’alec6 [suite]
A Londres, visite à un jardin public inattendu, tout entier consacré au pacifisme et à la paix. [suite]
Lors de la rénovation d’une maison qui date du 14e siècle dans laquelle il y a eu un cinéma, les archéologues zurichois ont fait des découvertes surprenantes. Hommage à ce qui fut une sorte de «Cinema Paradiso». [suite]
Je reviens de Stockholm où j’ai, huit jours durant, vu un grand nombre de choses intéressantes. Mais ce soir, je vais me limiter à une seule, et je vous propose de jouer avec moi. [suite]
On se dit que ce n’est pas chez nous comme au Japon, et pourtant…
Cela n’arrive pas souvent, mais lorsque cela arrive…
Dans la mesure où il semble y avoir eu une panne d’oreiller, je donne ici, rapidement un reportage que j’avais fait il y a quelque temps, sur le séisme de Bâle. [suite]
Une ville déserte, un hiver romantique entre brouillards et solitude – voilà ce à quoi je m’attendais en débarquant à Venise le 15 février… [suite]
J’ai une affection particulière pour les trains, et tout ce qui les touche, de près ou de loin. [suite]
La liberté d’expression est un des attributs fondamentaux de la démocratie. WikiLeaks vient nous prouver que tout est relatif. Et qu’il est indispensable de la défendre. [suite]
L’année dernière, pendant que le film de Michel Rodde se réalisait, j’ai passé une journée sur les lieux du tournage, et j’en ai fait un reportage, resté inédit. Le film sort ces jours-ci en Suisse. Il est magnifique. Les coulisses d’une telle production sont souvent intéressantes. Voici donc un brin de la petite histoire d’«Impasse du désir.»
[suite]
…avec un coup de main de l’iPhone4. Après m’avoir obligée à toutes sortes de tentatives plus ou moins réussies, Apple me fait enfin la bonne surprise de m’offrir le portatif léger dont je rêvais depuis longtemps. Un premier tour d’horizon. [suite]
… ils ont juste oublié une chose: le prix d’une MISE A JOUR, pour nous-autres qui avons acheté le CD et qui devons le traîner avec nous pour être sûrs d’avoir notre dictionnaire. [suite]
Londres est pleine de ses photos, aujourd’hui… Il aurait eu 70 ans. [suite]
…ou pas? Une Place Le Corbusier qui ne verra probablement pas le jour à Zurich repose le problème. Faut-il tenir compte de comment les grands talents se comportaient dans leur vie quotidienne? [suite]
On peut réunir un quart de million de personnes pour voir du sport sans la moindre violence: cela m’a paru valoir d’être souligné. [suite]
Vous êtes un étourdi. Vous avez oublié, en partant en balade, le sac avec les caméras. Vous avez votre iPhone? Alors pas de souci – vous pourrez néanmoins immortaliser vos aventures. Par images fixes ou en mouvement. [suite]
J’avais prévenu: John Florio occupe une grosse partie de mon temps. Partagez avec moi mon dernier voyage sur ses pas: Oxford [suite]
Suite de l’itinéraire à la recherche de John Florio, personnage méconnu, héros de roman à venir.
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Il y a quelques jours, j’ai passé une demi-heure devant le Royal Exchange (qui fut la Bourse de Londres), pour la première fois après un exercice qui m’avait forcée à l’imaginer. Le temps d’une ballade… Cela convient, me semble-t-il, particulièrement bien au moment actuel. [suite]
Personne ne remplace Le Canard Enchaîné. Pourtant, il y a des sujets qui n’intéressent pas un canard français, et qui valent la peine d’être commentés irrévérencieusement par les Suisses. Dans ce cas-là, il y a Vigousse, le petit satirique romand. [suite]
Une exposition au Kunsthaus de Zurich le présente en tant que peintre. Pourtant, il a été beaucoup plus que cela. Rappel de celui qui fut, au XVIIIe siècle, une star nationale et internationale.
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Une histoire de pêche à la ligne – ou une conclusion morale au bout du hameçon?
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Croyez-moi, les amis, c’était mieux qu’un thriller… [suite]
J’étais sur les traces d’un héros de roman, et je suis tombée sur une ville mythique et – surprise – sur un héros historique réel, plus grand que nature (et plus grand que roman). [suite]
Depuis que l’iPad a été annoncé, j’ai la sensation de m’être répétée tant de fois que je finis par me dire que ce que j’ai à dire pourrait faire l’objet d’une humeur — avec réponses à l’appui, donc un débat.
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Je vous emmène en un lieux magnifique et terrible, dans six siècles de passé militaire de la Suisse.
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Une trouvaille dans les archives de la police: 4’365 photos, pour la plupart d’inconnu(e)s, dont on ne sait généralement qu’une chose: ils fuyaient la guerre.
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Quelques images de la grande migration du 31 décembre. Et mes souhaits de bonne année, avec un peu de retard!
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Le calendrier de l’avent, vous connaissez sans doute: on ouvre une petite porte dans une image à double fond du 1er au 24 décembre – en attendant Noël. A Zurich, nous avons un calendrier de l’avent vivant. Une idée à reprendre.
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Vous l’avez deviné au titre, je parie: pendant quelques semaines, vous n’allez pas lire Mme Poppins. Je suis sa remplaçante le temps de son congé maternité. Pour qui ne le saurait pas encore, elle a accouché (prématurément) d’un petit garçon. [suite]
Avec dix jours de recul, con constate que le vote des Suisses contre les minarets dépasse d’assez loin le geste xénophobe – il a donné lieu à toutes sortes d’amalgames. [suite]
La revue Culture en jeu, qui sera disponible mi-décembre, publie un numéro sur la gratuité. En avant-première, un article sur le principe même de la gratuité, inspiré en partie par les débats sur Cuk. [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Je suis allée à Soglio, dans les Grisons, sur les traces d’un personnage historique, et je me suis dit que le lieu valait la peine d’être entrevu. [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes)
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Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes)
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…les cukiens qui veulent (qui peuvent) se rencontrent. [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Roman Polanski, un grand artiste, aurait-il dû se voir appliquer un traitement spécial du fait que c’est un grand artiste, et que les faits qu’on lui reproche sont vieux de 30 ans? [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes)
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Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Depuis jeudi soir, les ennuis se succèdent. Bis repetita… [suite]
Les francophones connaissent mal Théo Pinkus, qui aurait eu cent ans la semaine dernière. Pour beaucoup de gens à travers le monde, il a été une légende. [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Pardon, chers amis, une absence inattendue, loin de mon ordinateur habituel, me force à faire une pause dans la publication. [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes)
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Une histoire mal connue de ce pays qui est le nôtre – une pièce de théâtre, un spectacle: actuellement à la Gare du Brassus (Suisse) [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Au-delà des mythes qui se sont tissés autour de lui, Vincent van Gogh était un observateur attentif, souvent critique – au XXe siècle, il aurait peut-être été un grand photographe. [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes)
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Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes)
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Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Pour peu qu’on ait pris quelques leçons de piano, on a été face à une de ses partitions: mais cet homme modeste, grand travailleur, ami des musiciens les plus fameux de son temps, qu’il a mis sans cesse en valeur, reste largement inconnu. [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes)
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Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes) [suite]
Je n’aime pas l’étiquette «romans policiers». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme «chronique domestique». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes)
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… Je n’aime pas l’étiquette « romans policiers ». Pour ce genre de bouquins, je préférerais quelque chose comme « chronique domestique ». Après tout, c’est de notre quotidien qu’ils parlent. (Chester Himes)
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iTalk permet de transformer votre iPhone ou iPod Touch 2G en un vrai enregistreur de poche. [suite]
Dernier chapitre de l’enquête de Marie Machiavelli [suite]
Chapitre 14 du roman policier d’Anne Cuneo, le sourire de Lisa [suite]
Chapitre 13 du roman policier d’Anne Cuneo, le Sourire de Lisa [suite]
Chapitre 12 du roman policier d’Anne Cuneo, le sourire de Lisa [suite]
La Landsgemeinde qui s’est tenue dimanche à Glaris repose une question aussi ancienne que la démocratie: comment s’exerce la démocratie? [suite]
Chapitre 11 du Sourire de Lisa, un roman policier d’Anne Cuneo [suite]
François, chargé de mettre le feuilleton en ligne, n’a pas dû se réveiller à temps. [suite]
Chapitre 10 du romand policier d’Anne Cuneo « Le sourire de Lisa » [suite]
Chapitre 9 du roman policier d’Anne Cuneo, le sourire de Lisa. [suite]
Chapitre 8 du roman policier d’Anne Cuneo, le sourire de Lisa. [suite]
Un peu trop inséparable de votre ordinateur? Relation fusionnelle, même, peut-être? Alors “Freedom” est fait pour vous. [suite]
Chapitre 7 du roman policier d’Anne Cuneo, Le sourire de Lisa, une enquête de Marie Machiavell. [suite]
Chapitre 6 du roman policier d’Anne Cuneo, Le sourire de Lisa, une enquête de Marie Machiavell. [suite]
Chapitre 5 du roman policier d’Anne Cuneo, Le sourire de Lisa, une enquête de Marie Machiavell. [suite]
Chapitre 4 du roman policier d’Anne Cuneo, Le sourire de Lisa, une enquête de Marie Machiavell. [suite]
Les francophones connaissent mal Anne-Marie Blanc. Paradoxe: cette star du théâtre et du cinéma suisses, célébrissime en Suisse alémanique, était pourtant romande. [suite]
Chapitre 3 du roman policier d’Anne Cuneo, Le sourire de Lisa, une enquête de Marie Machiavell. [suite]
Chapitre 2 du roman policier d’Anne Cuneo, Le sourire de Lisa, une enquête de Marie Machiavell. [suite]
Chapitre 1 du roman policier d’Anne Cuneo, Le sourire de Lisa, une enquête de Marie Machiavell. [suite]
Suite et fin du roman policier d’Anne Cuneo, D’Or et d’oublis. [suite]
«Marcello Marcello», le dernier film de Denis Rabaglia, va sortir dans les salles de Suisse romande. Je trouve que c’est un film à voir. Et à mon avis il incite à réfléchir sur la narration. Je m’explique. [suite]
Chapitre 12 du roman policier d’Anne Cuneo, d’Or et d’oublis [suite]
Chapitre 11 du roman policier d’Anne Cuneo, D’Or et d’oublis [suite]
Pour Emmanuel Todd, démographe, historien et essayste, l’alphabétisation et une économie bien régulée sont les deux piliers de la sortie de la crise mondiale actuelle. [suite]
Chapitre 10 du roman policier d’Anne Cuneo, D’Or et d’oublis [suite]
Chapitre 9 du roman policier d’Anne Cuneo, d’Or et d’oublis [suite]
Chapitre 8 du roman policier d’Anne Cuneo, d’Or et d’oublis [suite]
Chapitre 7 du roman policier d’Anne Cuneo, d’Or et d’oublis [suite]
Chapitre 6 du roman policier d’Anne Cuneo, d’Or et d’oublis [suite]
2009 marquera un triste «anniversaire rond» de plus: il y a 70 ans éclatait la 2e Guerre mondiale. Oublier? Il faut croire que la Suisse, pas plus que l’Europe d’ailleurs, n’y arrive pas vraiment. [suite]
Chapitre 5 du roman policier d’Anne Cuneo, D’OR et d’oublis [suite]
Chapitre 4 du roman policier d’Anne Cuneo: D’Or et d’oublis [suite]
Chapitre 3 du roman policier d’Anne Cuneo: D’Or et d’oublis [suite]
Chapitre 2 du roman policier d’Anne Cuneo, « D’or et d’oublis » [suite]
Deux instruments intéressants pour écrire: Nisus vient de sortir une nouvelle mise à jour, et on dispose enfin de la mise à jour du Grand Robert pour Mac. [suite]
Chapitre 1 du roman policier d’Anne Cuneo: d’Or et d’Oublis [suite]
Chapitre 12 du roman policier d’Anne Cuneo, Âme de bronze [suite]
La nuit américaine en direct du quartier général genevois de “Vote from Abroad”, le mouvement qui a voulu faire en sorte que chaque vote américain, même du coin le plus reculé de la planète, compte.
[suite]
Chapitre 11 du roman policier d’Anne Cuneo, Âme de bronze [suite]
Chapitre 10 du roman policier d’Anne Cuneo, Âme de bronze [suite]
Chapitre 9 du roman policier d’Anne Cuneo, Âme de bronze [suite]
La crise financière fait rage. Le chômage est en hausse. La violence est partout. Les prisons sont surpeuplées. Et ainsi de suite. Du coup, j’ai hésité: avais-je encore le droit de rire? [suite]
Chapitre 8 du roman policier d’Anne Cuneo, Âme de bronze. [suite]
Chapitre 7 du roman policier d’Anne Cuneo, Âme de bronze [suite]
Chapitre 6 du roman policier d’Anne Cuneo, Âme de bronze. [suite]
Chapitre 5 du roman d’Anne Cuneo, Âme de bronze [suite]
Un nouveau livre, paru d’abord en allemand, et tout juste sorti en français, vient rappeler les dangers mortels de l’amiante. [suite]
Chapitre 4 du roman policier d’Anne Cuneo, Âme de bronze [suite]
Troisième chapitre du roman policier d’Anne Cuneo: Âme de bronze [suite]
Deuxième chapitre du roman policier d’Anne Cuneo, Âme de bronze. [suite]
Chapitre 1 de notre feuilleton dominical « Âme de bronze » un roman policier d’Anne Cuneo. [suite]
Marco Ganz, son imagination s’exprime dans deux domaines: la création de caractères typographiques, et la création (et l’exécution) d’oeuvres plastiques. [suite]
Cette histoire a paru ici en 12 épisodes. Pour terminer, voici encore la postface, qui explique la démarche et les raisons de ce texte. [suite]
Douzième et dernier épisode de notre feuilleton, avant postface la semaine prochaine. [suite]
Onzième épisode de notre feuilleton [suite]
Dixième épisode de notre feuilleton [suite]
Une humeur pétillante pour l’été – à lire avec le sérieux qui s’impose. [suite]
Neuvième épisode de notre feuilleton [suite]
Huitième épisode de notre feuilleton [suite]
Septième épisode de notre feuilleton [suite]
Sixième épisode de notre feuilleton [suite]
Cinquième épisode de notre feuilleton [suite]
Un roi de France qui aspire à se réfugier en Suisse? Un empereur de France qui parle Schwyzertütch? La France et la Suisse sont intimement liées depuis des siècles – on est parfois surpris de découvrir certains des points par lesquels les deux pays se touchent. [suite]
Quatrième épisode de notre feuilleton [suite]
Troisième épisode de notre feuilleton, la Vermine. [suite]
Suite de la fable d’Anne Cuneo, [suite]
Ce petit roman va paraître en 12 épisodes, le dimanche. [suite]
Une fable écrite pour une autre occasion refait surface au moment où – de nouveau – une votation populaire veut rendre la naturalisation (en jargon administratif on désigne ainsi l’obtention de la nationalité helvétique) encore plus compliquée, peut-être même (quasi) impossible. [suite]
Depuis que les citoyens du monde cherchent à retrouver leurs racines, les langages régionaux (dialectes, patois) refont parler d’eux. En Suisse alémanique, ils représentent un problème central, à la fois politique et culturel. [suite]
Les trams ont failli disparaître. Heureusement, quelques villes, et non des moindres, se sont accrochées aux leurs, et cela a sans doute contribué à les faire renaître. Zurich est une de ces villes-là. Elle a inauguré récemment son musée du tram. [suite]
L’heure approche où l’Amérique va devoir choisir: continuer dans sa course dans le mur, une course qui risque de tous nous entraîner avec elle, ou changer, ce qui sera sans doute plutôt symbolique pour commencer, mais pourrait être le début d’une remise en perspective – dont nous vivrions, nous aussi, les conséquences, positives sans doute. [suite]
Depuis que Zaïda, mon dernier roman, a paru, des dizaines de personnes m’ont félicité d’avoir traité tel ou tel aspect des choses. Or, la plupart du temps, je n’avais pas eu les intentions que l’on me prête. [suite]
Il n’a pas fallu deux heures, après la non-réélection du Conseiller fédéral Blocher, pour que l’Union Démocratique du Centre (UDC) se mette à parler de “putsch” et de “complot”. On a ourdi un putsch pour se débarrasser du sauveur de la patrie, le grand Blocher. L’UDC est victime d’un complot, elle est chassée du gouvernement. Vraiment? Procédons à une petite analyse. [suite]
Lorsque vient la nuit de l’hiver, les pays nordiques multiplient depuis des temps immémoriaux des cérémonies destinées à conjurer la longue disparition, totale à partir de certaines latitudes, du soleil. [suite]
À propos des élections de dimanche soir. Pour relativiser. [suite]
Je rentre de Rome, où je n’ai guère fait de tourisme. J’y suis allée avec un voyage organisé par la section zurichoise du Parti socialiste suisse. On nous promettait un voyage un peu décentré, je me suis décidée pratiquement à la veille du départ, et quelqu’un s’étant désisté, j’ai pu participer. Le groupe était petit et plaisant. Je ne l’ai pas regretté. [suite]
…ou lorsqu’une des raisons qui poussent les gens à émigrer à tout prix devient concrète. [suite]
Il rêvait d’un lieu mythique, appelé Tombouctou, où aucun Européen n’était jamais allé, et qui était devenu légendaire: René Caillié avait décidé de s’y rendre. Et cet été, vous pouvez l’accompagner, avec le Clédar, à la Vallée de Joux [suite]
Réponse à l’humeur du jour de François Cuneo, par Anne Cuneo [suite]
Le voici enfin – Nisus Writer Pro, sorti des langes, ce qui en langage informatique se traduit par “a quitté la phase bêta”. [suite]
Nous achetons autant que possible les produits du commerce équitable, celui dans lequel le producteur (du concepteur à l’ouvrier, ou au paysan) est payé équitablement; celui qui s’occupe de faire en sorte que la nature soit équitablement entretenue lorsqu’elle est sollicitée – que ni l’un ni l’autre ne soient exploités. Les bananes, le café, certes… Et les ordinateurs? [suite]
Au fil des discussions sur ce site, je me suis dit que le fossé entre journalistes et public était toujours plus important, et je me suis rendu compte que si on en discute beaucoup dans les rédactions et dans les associations professionnelles, on échange moins souvent avec les lecteurs sur le fond du sujet. [suite]
Vous avez peut-être déjà le Petit Robert électronique, version 1 et 2. Et vous vous demandez à quoi peut servir une version 3, si ça vaut la peine, etc., etc. Moi, j’avais acheté la version 2 après la 1, uniquement parce qu’on m’avait dit que c’était très amélioré – mais ce n’était pas vraiment vrai. Aussi, cette version 3, s’il n’y avait pas eu une version de démonstration en ligne… Mais bon, elle y est, ici (http://petitrobert.bvdep.com/demo2007/), j’ai essayé, et en attendant une version Mac du Grand Robert, j’ai trouvé que oui, ça valait la peine, je vais vous expliquer pourquoi. [suite]
Anne Cuneo regarde les choses en face: l’attitude face aux femmes en politique n’a pas beaucoup changé en trente ans. Triste constat. [suite]
À propos de Sting et de sa rencontre avec John Dowland… [suite]
Popeye? Tout le monde connaît, ou tout le monde croit connaître. Un petit retour vers les origines de ce héros délicieux, à l’occasion de la sortie du premier volume de l’intégrale de l’oeuvre de E.C Segar, son créateur. [suite]
Un point final? Vraiment? Et si vous partiez dans l’aventure à votre tour? [suite]
Un village de la vallée d’Ursern, Andermatt, sur la route du Gothard, va peut-être se transformer en destination touristique pour vacanciers de luxe. Bon? Pas bon? Cela crée de vifs débats et soulève des questions. [suite]
Un film de Fredi Murer qui pose de belles questions sur la société, à travers l’éducation d’un enfant surdoué. [suite]
Non Monsieur Sarkozy, non [suite]
Anne Cuneo vous raconte son festival de Locarno. [suite]
Les plâtres des sculptures de Giacometti sont exposées au Kunsthaus de Zurich. Une occasion pour Anne Cuneo de vous parler de cet être exceptionnel. [suite]
Les chiffres sont sans doute à affiner, mais le problème est bien réel. Lautre jour, on nous apprenait quun tiers des Suisses étaient en surpoids, direction obésité, et pour les femmes, on approchait même du 50 %. Des statistiques du même genre ont été publiées pour la Grande Bretagne, un Chinois sur 10 serait trop gros, et je ne doute pas que la France ne navigue dans ces eaux-là. [suite]
Pourquoi les Allemands sont-ils capable d’offrir une interface pour de nombreux dictionnaires, même d’éditeurs différents, et nous, nous en sommes incapables? [suite]
Présentation de la géniale interface Office-Bibliothek pour tous les dictionnaires [suite]
George Clooney: pour la liberté de penser. Une très bonne surprise, un grand film. [suite]
Oui, il est possible de vivre confortablement de manière autonome au niveau énergétique, la maison de Wattwerk le prouve. [suite]
L’histoire du film d’une mise en scène théâtrale [suite]
Little Nemo vient d’avoir 100 ans. Anne vous dit tout à son sujet. [suite]
Le livre en ligne: présentation des enjeux et des avantages [suite]
À Niederweningen, on peut pas piocher sans déterrer un mammouth. [suite]
D’ici un an, un ordinateur à moins de 100 Dollars pour les enfants du Tiers Monde. [suite]
Anne Cuneo vous raconte comment Shakespeare prend racine à la Vallée de Joux [suite]
Anne Cuneo revient sur le salon du Livre à Genève, qui vient de fermer ses portes hier. [suite]
Anne Cuneo revient sur la mort, le 26 février, de Jeff Raskin. [suite]
Une chronique d’Anne Cuneo, à propos de Davos, d’un hôtel, d’un livre… [suite]
Nisus Epress 2.1 est un traitement texte qui passe la vitesse supérieure. Pas encore aussi puissant que Word, mais ergonomique et souple, c’est une véritable alternative à ce dernier, pour pas mal d’entre nous. [suite]
Cela fait des mois que je cherche un programme capable de remplacer Microsoft Word. Les problèmes de la version 2004 dont j’ai déjà parlé à deux reprises sur Cuk.ch n’ont fait que me conforter dans cette quête de la perle, vraiment difficile à trouver. Or, depuis des années, Anne Cuneo me parlait de Nisus, que je n’ai jamais personnellement apprécié à l’époque de MacOS 9 et de ces prédécesseurs. Une nouvelle version… [suite]
Le mi2g l’affirme: MacOSX est le le système le plus sûr du monde. C’est tellement beau que même les amoureux du Mac ont peine à y croire, et pourtant… [suite]
Un site mystérieux ne l’est plus depuis quelques jours. Electora-vote aura été une autre manière suivre la campagne et les sondages, bien différente de ce que voulaient bien dire les journaux américains. [suite]
Bush veut faire peur au peuple américain en faisant passer Kerry pour un loup: erreur! [suite]
On aurait pu espérer que les problèmes des dernières élections américaines allaient servir de leçon pour ce qui nous attend le 2 novembre 2004. Cela ne semble de loin pas évident. [suite]
Une histoire de vampires, Beinex, De Dieuleveult, tout pour faire une BD complètement dingue, et passionnante. Vivement les trois prochains épisodes! [suite]
Anne Cuneo réalise ici une chronique de son festival de Venise, en même temps qu’elle nous fait ressentir la ville et l’actualité terrible qui se déroulait en parallèle. [suite]
Au fond, je m’étais dit que cette deuxième chronique (vous pouvez lire la première ici) sur le festival du film de Locarno serait consacrée aux films suisses. Mais rien à faire: le point fort de ce festival reste, me semble-t-il, le thème “Newsfront”, c’est-à-dire la rétrospective sur le journalisme et les journalistes, et surtout le prolongement de la rétrospective jusque dans l’actualité. Je vais donc vous parler des films sur… [suite]
Le festival de Locarno, 57e du nom, nous est décrit par Anne Cuneo [suite]
Cela fait des semaines, des mois peut-être, qu’on en parle : Google va être côté en bourse. Ces cotations en bourse de start-up informatiques, c’est pourtant passé de mode. Qu’est-ce qui leur prend, tout à coup ? Voilà la question qu’on se pose, sous une forme ou sous une autre, dans la globalité du monde économique et informatique. Quant à savoir pourquoi Sergey Brin et Larry Page, les fondateurs de… [suite]
Cela fait des semaines, des mois peut-être, qu’on en parle : Google va être côté en bourse. Ces cotations en bourse de start-up informatiques, c’est pourtant passé de mode. Qu’est-ce qui leur prend, tout à coup ? Voilà la question qu’on se pose, sous une forme ou sous une autre, dans la globalité du monde économique et informatique. Quant à savoir pourquoi Sergey Brin et Larry Page, les fondateurs de… [suite]
Soleure (Suisse) fait son cinéma C’est une petite ville tranquille, qui doit au fait d’être restée à l’écart des grands conflits d’avoir encore une vieille ville intacte. Certaines rues datent de la fin du Moyen Age, d’autres ont été modernisées à l’époque baroque. Soleure est une ville où l’influence française a longtemps été prépondérante: de 1530 à 1789 (une source donne même 1815, et j’ai de la peine à décider… [suite]
La vérité toute nue Le premier paragraphe est pour ceux d’entre vous qui sont un rien anglophones, et il n’y a pas besoin d’être un expert en langues étrangères, la simplicité de l’écriture est absolument éblouissante. Pour peu que vous sachiez déchiffrer un mode d’emploi en ingliche, vous comprendrez. Donc, à ceux-là, je conseille la lecture urgente de « Macintosh… The Naked Truth » de Scott Kelby (scottkelby.com), éditions New Riders (www.newriders.com).… [suite]
Un voyage Express à travers Nisus Writer Pourquoi…? Pourquoi… aaa? POURQUOI.. AH… AH… AHAAAAH? Pourquoi n’ont-ils pas fait comme d’autres? Pourquoi n’ont-ils pas commencé par « carboniser » le plus splendide traitement de texte du monde Mac, Nisus Writer 6.5 (testé ici)?Pourquoi, dites, snif, snif, snif… Ce programme n’avait qu’une faiblesse dont je me débarrasse tout de suite: les tableaux. Non qu’il ne les ait pas offerts, mais c’était vraiment maladroit et… [suite]
Pourquoi…? Pourquoi… aaa? POURQUOI.. AH… AH… AHAAAAH? Pourquoi n’ont-ils pas fait comme d’autres? Pourquoi n’ont-ils pas commencé par « carboniser » le plus splendide traitement de texte du monde Mac, Nisus Writer 6.5 (testé ici)?Pourquoi, dites, snif, snif, snif… Ce programme n’avait qu’une faiblesse dont je me débarrasse tout de suite: les tableaux. Non qu’il ne les ait pas offerts, mais c’était vraiment maladroit et compliqué. Cela dit, lorsqu’on est comme moi… [suite]
Je rentre de Londres. C’est une ville où j’ai beaucoup séjourné il y a quelques années. Aussi, lorsque j’y retourne, j’arrange mes itinéraires pour passer par des coins que j’aime particulièrement. Celui-ci, par exemple: un magasin de parapluies et de cannes comme on n’en fait plus, dont la vitrine n’a pas changé depuis plus de 100 ans, et où on a la sensation que les vendeurs sont là depuis les… [suite]
Bon, je vais faire fi des sarcasmes inévitables sur la tribu des Cuneo et y aller d’une humeur. De toute façon mon silence jusqu’ici n’a été que fiction: je lis Cuk tous les jours, et si je n’ai encore jamais participé aux forums, si je n’ai jamais écrit d’humeurs, c’est pour deux raisons. D’abord, depuis que Cuk existe, il se trouve que j’ai été trop prise par des activités diverses… [suite]