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Le MacBook Air, aujourd’hui.

Salutations à tous ! 

Je suis nouveau. Pas nouveau sur Cuk, je suis ce site depuis longtemps, uniquement en tant que lecteur. Je suis nouveau dans l'équipe de rédacteurs.

Je m'appelle Yannick je suis étudiant. Parmi mes passions il y'a toutes sortes de choses. Il y'a le Mac, la téléphonie mobile, le cinéma... Et tant d'autre choses. Je dis ça, je dis rien, mais comme vous allez devoir me subir au moins une fois par mois, je trouve opportun de vous dire qui je suis et de quoi je vais vous parler, principalement.

Je vous remercie d'ores et déjà pour votre accueil, ainsi que François pour le sien, qui fût on ne peut plus chaleureux !

Les présentations étant faites, allons-y...

Quoi de mieux, pour ce premier article, que de vous parler du Mac. Et pas de n’importe quel Mac : le MacBook Air.

J’ai toujours eu un sentiment mitigé par rapport à cette machine. Sa première itération m’avait laissé froid. Steve Jobs qui brandissait en 2008, tout fier, cette « chose » m’avait laissé sur ma faim. Non pas que je considérais le premier Air comme un ratage.

Mais je me suis dit « Tiens, Apple va encore chercher dans le marché de niche... ».

Oui, marché de niche. Trop cher pour les étudiants et le commun des mortels, pas assez puissant pour les pros de l'image... Mais beau, certes.

Il faut dire qu’à part son poids et sa finesse, le Air premier du nom n’avait rien d’extraordinaire à part le fait de rentrer dans une enveloppe. Un processeur faiblard. Un seul port USB. 64 Go de stockage pour la version SSD (dont la présence était pour moi la seule vraie évolution). Un prix exorbitant. Une bonne blague.

Sans bien sûr prendre en compte les défauts de jeunesse que les premiers tests avaient révélés : autonomie loin des promesses d'Apple, problèmes de chauffe ...

Bizarremment, l'absence de lecteur optique ne m'avait pas géné. Je commençais déjà à me dire que l'informatique et le divertissement de demain seraient dématérialisés. Mais le profane, vous auriez pu lui raconter tout ce que vous vouliez, vous n'auriez rien pu faire pour qu'il ne vive pas cela comme une régression. Pensez, un ordinateur de ce prix dans lequel on ne pouvait pas mettre de CD/DVD !

Le MacBook Air premier du nom était une machine pleine de compromis dont on ne savait pas franchement à qui elle s'adressait.

A l’époque, je revenais juste de mon exil sous Windows (six longues années), j’avais reçu en cadeau d’un ami un vieux MacBook Pro 15’’. Pour moi, c’était ça, l’ordinateur parfait. Tout était possible avec cette machine : photo, jeux, surf Web, stockage de mes bibliothèques iTunes et iPhoto, puissance de feu pour encoder des vidéos.

Clairement, je n’étais alors pas la cible du Air, et j’étais surtout convaincu que celle-ci était les business men fortunés, pouvant se permettre de lâcher près de 2000.- dans un ordinateur qui ne permettait que d’aller sur le Web et de relever des mails.

D’ailleurs, je l’avais testé pendant deux semaines, pendant que mon Mac état en réparation. Je m’étais fait prêté un Air de première génération avec son SSD. J’avais été agréablement surpris de la réactivité du bestiau, mais j’avais rapidement posé les plaques : pas du tout adapté à mon utilisation.

J’avais le lecteur Superdrive en USB pour ripper des CDs à mettre dans iTunes. A chaque fois que iTunes encodait les morceaux, via le lecteur, un râle se faisait entendre. J’avais vite arrêté, me disant que j’allais vite être bon à rembourser une machine qui n’était pas faite pour ça.

Sauf que ça, c’était avant.

Je me suis longtemps cherché en informatique, et comme j’étais pétri de convictions, je me disais toujours que « plus puissant, c’est mieux ». Je suis passé par trois MacBook Pro 15’’ avant de me rendre compte que les trimballer en cours était très pénible. Et leur taille ne se prêtait pas à un usage confortable en amphithéâtre.

J’ai essayé la configuration à deux machines (iMac et MacBook Pro 13’’) rien à faire, impossible d’avoir une parfaite synchronisation entres les deux machines, même avec Dropbox et le regretté iDisk. Et nous étions  encore sous Snow Leopard à l’époque, l’intégration d’iCloud n’était pas aussi poussée que sous 10.7 ou 10.8. J’étais un utilisateur de .Mac, puis de MobileMe, mais nous nous en souvenons tous, ce n’était pas encore ça.

J’ai essayé le MacBook Pro 13’’ Thunderbolt premier du nom couplé à un écran. J’avais l’impression que la machine allait m’exploser à la figure tellement elle était mal optimisée avec son petit Core i7 double coeur. Une machine qui souffle à ce point quand vous lancez Aperçu avec une vingtaine de photos en JPEG, ça avait de quoi me faire peur.

Las, je suis revenu à la configuration à deux ordinateurs : un Mac Mini et un MacBook Air 11’’, les versions 2011 avec le Thunderbolt. Oui, j’ai acheté un MacBook Air.

Au début j’ai adoré la réactivité conférée par le SSD. Mais mon Mini restait ma machine principale. Puis début 2012, j’ai décidé de vendre ce dernier. Je voulais reprendre un iMac. Je me suis dis que j’allais attendre l’été pour en prendre un, comme j’étais en année sabbatique le Air pouvait largement suffire.

Autant raconter la chute : je n’ai pas racheté d’iMac. Et sans trop vouloir m’avancer, il est fort possible que je n’en rachète pas avant longtemps.

Vu la faible capacité du SSD (128 Go) j’ai été contraint de mettre mes bibliothèques sur disque externe, (230 Go environ) mais je n’ai jamais eu de peine à réaliser mes opérations habituelles sur le MacBook Air. Sauf deux choses : les machines virtuelles et le jeu.

Ma machine virtuelle sous Windows 7 peine tellement avec les maigres 4Go de RAM du Air qu’il m’est parfois difficile de réaliser certaines opérations.

Quant au jeu, j’ai laissé tomber. J’ai une console de salon depuis toujours et maintenant que ces bestioles sont connectées, on peut jouer en ligne sans passer par un ordinateur. C’est à ce moment que j’ai réalisé que jouer sur mon ordinateur était non seulement contre-productif, mais aussi totalement optionnel.

Bref, si le MacBook Air de 2008 ne m’a pas du tout convaincu, celui de 2011 m’a démontré qu’il n’y a qu’un certain type de personne qui ne changeait pas d'avis.

Toutefois, je m’apprête une nouvelle fois à changer de Mac. Que vais-je prendre ? Un MacBook Air 13’’ !

En configuration « ultimate » il comblera les petits défauts de ma configuration actuelle qui n'avait d'ailleurs pas été pensée pour servir d'ordinateur principal, tout en restant un ordinateur léger (le 11’’ lui prend 300 grammes) et m’apportant toujours le même confort matériel et logiciel :

- Le Core i7 et les 8Go de RAM me permettront d’avoir plus de réactivité avec ma machine virtuelle

- Les 512 Go de stockage me permettront de mettre toutes mes bibliothèques dessus

- La taille de l’écran sera plus confortable pour mes (trop) longues sessions de bureautique.

- Les deux heures d’autonomie théoriques séparant le 11’’ et le 13’’ me font cruellement défaut à l’heure qu’il est. Ce sera bientôt réglé.

 Bien sûr quitte à prendre une configuration aussi onéreuse, je me suis demandé si cela ne valait pas la peine de rajouter les quelques centaines de francs qui me séparent du MacBook pro 13’’ ou 15’’ avec écran Retina.

 Pour le premier je trouve que c’est une mauvaise blague qu’Apple a faite aux consommateurs. Si les prochaines itérations sont plus costaudes, j’y viendrai peut être, mais pas pour l’instant.

 Le second est un 15’’ dont les dimensions me ramèneraient aux inconvénients cités plus haut. Sans compter que je n’ai pas besoin de cette débauche de puissance juste pour lancer une machine virtuelle et retoucher trois photos de temps en temps.

 Evidemment, l’écran Retina est un gros plus. De plus, l’écran est IPS. En bref, une expérience visuelle hors du commun. Mais je n’ai pas été soufflé comme je l’ai été lors du passage de l’iPhone 3G S à l’iPhone 4 ou celui de l’iPad 2 à l'iPad 3 (enfin, le nouvel iPad, celui qui est sorti avant l'iPad actuel, vous me suivez ?). Sur un ordinateur, avoir cette résolution m’importe finalement assez peu. De plus le MacBook Air possède une résolution assez élevée pour du 13’’, ce qui lui donne une bonne définition.

 D’autant que je réserve ce budget à l’achat du Thunderbolt display une fois qu’il sera mis à jour avec de l’USB 3 afin d’avoir une vraie station de travail à domicile. D’ailleurs, quand je vois cet écran, je me dis qu'il doit son existence au Air, vu à quel point il en constitue le prolongement logique.

Et c’est à ce moment que l’on se rappelle que Apple s’est toujours fendue d’un écosystème cohérent dans son ensemble, autant matériel que logiciel (oui d'accord, des fois c'est tout sauf cohérent, mais bon ce n'est pas la règle)

 En tout cas, le MacBook Air est une réussite. Aujourd'hui, cette machine donne à son utilisateur une mobilité maximale, pour finalement presque pas de compromis. Ce n’est pas (plus) moi qui dirai le contraire, ni Apple d’ailleurs car le MacBook Air fait un carton. Je me réjouis de recevoir ce Air 13’’ et de me dire « j’ai choisi le bon ordinateur ».

Car parmi toute cette réflexion, ce dont je suis le plus content, ce n’est pas d’avoir trouvé un ordinateur qui me convienne pour les deux-trois ans à venir.

Mais que j’aie enfin arrêté mes besoins en terme d’informatique afin de faire le bon choix, et d’avoir trouvé la machine qui y correspond parfaitement dans l’offre d’Apple, voilà ce dont je suis pleinement satisfait.

Et c'est grâce au MacBook Air, cette machine que j'avais dénigré à sa sortie.

Je suis clairement content de ne pas faire partie de ces personnes qui ne changent jamais d'avis.

17 commentaires
1)
Saluki
, le 06.02.2013 à 00:25

Bienvenue Jeune Homme !

Je suis en train de suivre un chemin parallèle : le MBP 17” est passé dans le giron de ma gérante pour faire ses présentations à ses clients (pas souvent la possibilité d’avoir un vidéoproj’) et je lui avais pris son MB15” pour aller en clientèle. Nous avons chacun un iMac 27” dans nos bureaux respectifs, distants de 500 km, et j’avais récupéré également le MBAir 1e génération de Madame Saluki quand elle s’est offert le nouveau 11”.

Ma conclusion est que, en clientèle, je ne fais évidemment pas tourner FCP…, et que un MBAir 13” me conviendra parfaitement, avec quelques kg de moins à trimballer. Un peu comme passer d’un Pentax 6×7 à un Leica.

2)
François Cuneo
, le 06.02.2013 à 06:07

Bienvenue iYannick!

Oui, le MacBook Air est magnifique. Même le MacBook 15 Retina, pourtant bien joli et très fin, passe pour un éléphant à côté de lui.

La question se pose en effet pour moi également: vu qu’au bureau, je le branche, mon Retina à l’écran 27 Apple…

Mais bon, comme l’écrit Saluki, FinalCut rame déjà souvent si on travaille avec un disque externe avec le Retina, je ne la sens pas encore avec le petchot.

3)
Ellipse
, le 06.02.2013 à 07:37

Cela dépend des usages, pour du courant (bureautique), du développement, le MacBook Air 13” est une super machine. Ai acheté un lecteur externe Samsung à CHF 50 pour voir des DVD de temps en temps.

Beaucoup de collègues ont été séduit par le mien et s’y sont mis aussi.

Non, vraiment rien à redire, machine agréable et, surtout, légère.

4)
Goldevil
, le 06.02.2013 à 09:58

Bonjour iYannick.

Je trouve aussi que c’est une machine qui a très bien évolué. A partir d’une première version plus tape à l’œil que vraiment pratique, on est arrivé à un bon ultra-portable.

– Passage de un port UBS2 à deux ports USB3 – Amélioration de l’autonomie – Amélioration très sensibles des performances – Ajout d’un lecteur carte SDHC pour une extension du stockage discrète et confortable. – Diminution du prix

J’ai tout de même quelques critiques par rapport à l’évolutivité cette machine : – l’impossibilité de changer la RAM. Dans tout les Mac que j’ai acquis, j’ai augmenté moi-même la RAM pour un prix bien inférieur que celui d’Apple. De plus, il s’agit d’une bonne manière de rallonger la durée de vie d’une machine avec un prix au GO qui diminue régulièrement. – l’impossibilité de changer la batterie. J’ai déjà remplacé la batterie de mon MBPro 2009 et la seconde commence à s’essouffler. Même chose sur le MBPro de ma femme ou le MBook blanc familial. Maintenant, le changement doit se faire chez Apple pour une somme pas modique du tout. – la presque impossibilité de remplacer le SSD (fait sauter la garantie et format propriétaire). Pourtant ici aussi les prix chutent très vite. Pour ma part 256Go est un petit peu trop petit pour moi et le passage à 512Go est quand même très cher.

A l’image d’un iPad, dès qu’il y a une limite technique, elle est infranchissable. On doit acheter une autre machine. Je ne comprend pas pourquoi quelqu’un acheterait cette machine avec 4GO sachant très bien que d’ici une ou deux itérations de Mac OSX, 8GO deviendrait le minimum.

J’ai d’autres regrets mais de moindre importance: – Le port ThunderBolt est en passe d’être un échec commercial. Si Apple avait proposé une petite station d’accueil au lancement, (un Thuderbolt Display sans le display) je pense que le succès aurait été tout autre. Je trouve toujours rigolo de voir Apple propose un RAID Promise Pegasus dans les accessoires d’un MBAir. Qui a acheté ce RAID array pour le connecter à un MBAir ? – La disparition de l’Apple Remote de la boîte est vraiment mesquin.

5)
flup
, le 06.02.2013 à 10:51

Concernant l’Apple Remote, elle est juste “absente” de la boîte, ou plus fondamentalement il n’y a pas de port infrarouge (donc pas de possibilité de l’utiliser) sur le MBA?

J’envisage également le MacBook Air, maintenant que mes besoins en machine puissante sont moindres et que mon MacBook Pro se fait vieux (6 ans…). Mais j’avoue que tous les arguments présentés me font toujours hésiter (jusqu’au jour où le MB Pro lachera…), d’autant que mes besoins en mobilité diminuent eux aussi

6)
nicoarts
, le 06.02.2013 à 11:05

Macbook Air est très pratique pour le transport et aussi une machine magnifique.

Mais j’ai choisi Macbook Pro Retina dans mon premier achat parce que il offre le graphique qui est beau et je peux travailler tout ce que je veux faire car mon iMac se commence de vieux pour travailler les montages.

La prochain achat serait Macbook Air 13 pouces pour déplacer. Car c’est très leger et facile de ranger dans n’importe quel sac.

7)
iYannick
, le 06.02.2013 à 11:20

Bonjour !

@ Saluki et François : Oui, ce n’est pas la meilleure machine pour bosser sur FCP c’est clair. Après c’est une machine équilibrée, comme l’est le MBPr dans son genre. Toutefois j’ai vu un pro faire de la vidéo depuis un disque Thunderbolt avec son MBP 15” Classic, dans ces conditions le seul goulot d’étranglement reste le processeur.

@ Goldevil : Je suis tout à fait d’accord : la non-évolutivité de la machine est gênante. Toutefois, pour quelqu’un pour moi qui compte désormais changer de machine tous les deux-trois ans, c’est relatif. Quant au changement de la barrette SSD, l’opération est très simple à effectuer, mais les barrettes vendues dans le commerce (celles d’OWC) coûtent deux fois plus chères que l’option prises sur l’Apple Store.

Quant à Thunderbolt, je pense qu’il faut attendre encore un peu, qu’il perde son statut de connectique élitiste et que les périphériques proposés ne s’adressent plus au pros mais aussi aux consommateurs normaux. Parce que cette connectique a quelque chose que les autre n’ont pas : sa polyvalence.

En Attendant, Apple n’a peut être pas daigné sortir une station Thunderbolt sans écran, mais Matrox et Belkin l’ont fait ou vont le faire, et elles représentent une excellente alternative pour ceux qui on déjà un écran ou qui veulent simplement un hub avec d’excellentes performances.

8)
Guillôme
, le 06.02.2013 à 11:40

Je suis nouveau.

Bienvenue!

Je dis ça, je dis rien, mais comme vous allez devoir me subir au moins une fois par mois

Bon courage et en espérant que tu tiennes le rythme ;)

9)
Philob
, le 06.02.2013 à 12:09

Bravo iYannik, j’aime déjà beaucoup le pseudo ;-)

Mon MacBook Pro m’a lâché après plus de 6 ans de loyaux services (enfin je l’ai euthanasié juste avant) et je me suis décidé pour un MacBook Air 13, car j’ai un iMac 27 à la maison et j’ai besoin d’un ordi complet, mais très mobile.

C’est vrai, vu sa non-évolutivité (que je comprends un peu, tellement il est fin), j’ai pris la version la plus complète possible (j’en avais heureusement les moyens), avec 8 Go de RAM, le SSD de 512, et un processeur i7, une pure merveille, j’en suis très satisfait, c’est une formidable machine en comparaison de son poids.

J’ai un disque dur externe en USB3 (qui n’a pas besoin d’un transformateur) je l’ai partitionné en 2 et sur une partition j’ai Time Machine et de l’espace sur l’autre. Je ne le prends pas toujours avec, mais il est très utile, et je me réjouis d’un futur dock Thunderbolt, car j’espère qu’il y aura du choix, ensuite un seul câble à brancher et le tour est joué.

Je ne peux que conseiller cette machine, certes un peu chère (avec toutes les options), mais je ne regrette rien.

10)
fxc
, le 06.02.2013 à 20:18

Bonjour le inouveau….

Déjà un grand imerci pour ce premier ibillet.

11)
fabricepsb
, le 06.02.2013 à 22:27

Mon iMac 24 blanc vient de me lâcher : quelle frustration de perte une aussi belle machine, après six ans de bons et loyaux services, à cause d’un bout de morceau électronique qu’on appelle carte graphique. Quoi acheter aujourd’hui ? Les iMac sont indisponibles et le portable est trop frustrant. Les iDevices occupent aujourd’hui environ 90 % du CA d’Apple et ça ne risque pas d’aller en s’améliorant pour le département Mac dans les prochaines années.

12)
Alain Le Gallou
, le 06.02.2013 à 23:45

Facile, un MacMini 2011 ou 2012, et un bon écran 24” mat, réglable en hauteur.

13)
iVince
, le 06.02.2013 à 23:59

Eh bien, il est rassurant de constater que tous les étudiants ne sont pas réduits à manger des patates tous les jours pour pouvoir mettre de l’essence dans leur Fiat Panda.

14)
alienlebarge
, le 07.02.2013 à 07:30

Bravo pour l’article …

Depuis Noël, je suis l’heureux possesseur d’un MacBook Air. Avant ça, j’étais passé par le MacBook Pro et l’iMac.

Au début, j’étais un peu soucieux de la place disque moindre (128 Gb dans mon cas) ainsi que de ses capacités de calcul. Je fais principalement du développement web ainsi que ce que j’appellerais du «surf canapé».

Après 3 mois d’utilisation, j’en suis enchanté ! J’utilise mon iMac pratiquement plus que pour les travaux photographiques.

Je me suis fait une charte d’utilisation afin de restreindre au maximum l’utilisation d’espace disque (merci, Dropbox) ainsi que la puissance de calcul.

(et Minecraft tourne très bien avec 4 Gb de RAM )

15)
Gr@g
, le 07.02.2013 à 07:57

Hello, et bravo pour cet engagement.

Perso, j’ai un MacBook Pro de 2008, et plutôt que de changer de machine, je l’ai gonflé par un SSD et le maximum de Ram possible. Du coup, il a pris un coup de jeune, et mon investissement n’a pas été énorme, environ 500.-! En même temps, j’ai au boulot un MacBook Pro de 2012 i7 avec SSD et 12 Go RAM… Et bien, je vous avoue que pour les quelques centième de seconde de différences dans mon usage habituels en faveur du plus récent, le mien est loin d’être ridicule.

Je pense que c’est une bonne solution de mise à jour matériel sans pour autant ruiner le porte-monnaie.

16)
zit
, le 07.02.2013 à 10:02

Bienvenue au nouveau !

Concernant le MBA, j’avoue avoir une indifférence absolue pour les portables, vu que je me déplace à peu près autant qu’une bernique en période de gestation, et un petit disque nomade suffit largement à mes besoins. Cependant, j’avoue avoir été bluffé la première fois que j’ai eu entre les mains un MBA 11” (c’était le mois dernier, je ne met jamais les pieds dans une boutique vendant ce type de matériel), quelle légèreté, quelle vitesse au démarrage ! Toujours est–il que ce n’est probablement pas le genre de bécane pour faire ce que je fais en ce moment (dépétouillage de fichiers de 1,5 Go environ), déjà que ça rame sur un iMac bien doté en RAM, justement.

Et puis pour moi, un ordinateur, c’est un machin que l’on peut ouvrir simplement pour y changer ce que l’on veux, y ajouter un truc, la quintessence ayant été atteinte avec le G5, devenu Macpro de nos jours, les nouveaux dizaïne aussi fermés que la cellule d’Hannibal Lecter (plus qu’une huitre, en tout cas, les huitres ne me résistent pas longtemps), je les abhorre, et quand ma machine actuelle ne suffira plus à remplir ses fonctions, je m’orienterais probablement vers une machine maison, comme Guillôme, mais même pas sous Mac OS (ce que je regretterais certainement beaucoup), car le fait que le responsable de ces dizaïnes de merdre tape à l’œil et clinquants aie aussi été mis à la tête du dizaïne des logiciels laisse à mon avis présager du pire.

z (cycliste qui veux un camion, je répêêêêêêêêêêêêête : avec un pingouin sous le capot, faute de félin approprié)

17)
Guillôme
, le 07.02.2013 à 10:12

Mon iMac 24 blanc vient de me lâcher (…) à cause d’un bout de morceau électronique qu’on appelle carte graphique

Bienvenue au club! Tu peux faire une réparation de fortune comme indiqué ici (la manipulation d’enlever les drivers étant la plus simple et fonctionnant aussi).

Et pour ta nouvelle machine, à toi de voir, moi en attendant une nouvelle gamme MacPro, j’ai opté pour ça