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Dans certaines situations, on a beau dire…
"Y fait franchement chier, ce type : nonobstant tous mes efforts, il s'obstine grave ne pas adhérer au projet de l'équipe !" : si, si, je vous assure, on peut placer dans la même phrase "fait chier", "grave" et "nonobstant".

Demandez à Mister, il vous confirmera que j'en suis capable, à son grand désespoir d'ailleurs, estimant que je donne un bien mauvais exemple à nos bambins en utilisant les deux premiers termes.

Cela dit, bien que j'abonde dans son sens, le bon usage de la langue étant une forme de culture, il y a malgré tout des situations dans lesquelles un "ce collègue m'irrite", un "cet homme a le don de m'agacer" et un "je suis exaspérée par ses affirmations" ne reflètent tout simplement pas mon ressenti ! En clair dans le texte, parfois, certaines personnes me font chier. Et grave en plus !

D'ailleurs, dans un autre registre, seriez-vous capable, au nom du langage correct, de trouver un autre terme qu'un retentissant "merde" lorsque le petit orteil de votre pied, gauche ou droite à choix, rencontre un autre pied, celui de la table ? Moi pas : quand une douleur certes brève mais fulgurante me traverse la jambe, je ne peux pas crier "diantre, quelle poisse !" ou encore "flûte !"

Et le jour où assise sur les toilettes, j'ai vu le test de grossesse s'orner d'un signe positif, je l'admets, j'ai murmuré un "oh putain" avec un sourire qui en disait long sur mon état de béatitude ! Bien sûr, j'aurais pu trouver plus classe mais franchement, "quelle magnifique émotion !", "je suis chavirée de bonheur !"auraient été plus appropriés mais moins "parlants".

Donc, oui, je suis snob parce que je pense que dire "si j'aurais" est une horreur; oui, je suis pointilleuse parce que je ne peux pas toujours m'empêcher de corriger ceux qui disent "un souci pécunier" mais un gars qui conduit une voiture (ou une moto, ne pinaillez pas !) en étant ivre est et reste un connard, tout comme un homme qui bat sa femme est un salopard de première.

Ainsi, je ne sais pas vous mais moi, la seule manière que j'ai trouvée d'éviter toute forme de "gros mots", c'est de parler dans une autre langue que le français : bien sûr, l'allemand (l'anglais, l'espagnol....) regorge également de termes orduriers, plus ou moins vulgaires, souvent imagés mais j'ai appris cette langue avec ma famille, je l'ai parlée avec mes grands-parents, jamais avec des camarades de classe (forcément, j'étais scolarisée en Suisse romande) et du coup, si je les comprends, ces mots, je ne les utilise pas. Même pas lorsque mon tibias s'est approché trop près du bord du tiroir de mon bureau, resté ouvert !

Alors oui, parfois, j'aimerais avoir un discours plus raffiné, plus chic mais je dois bien l'admettre, ces mots m'ont aussi parfois permis de briser la glace : lorsque je donne des cours de droit à certains collaborateurs, rebutés par la matière avant même d'être arrivés en classe, craignant de ne pas comprendre le jargon qu'ils pensent incontournable, impressionnés par mon titre d'avocate, je me suis rendue compte que le premier mot d'argot surprend, le second amuse; ensuite, l'auditoire se surprend à penser que finalement, "ce cours, ça va le faire".

Finalement, vous vous en doutez depuis l'instant où vous avez vu que c'était un lundi "poppins", j'ai une question à votre adresse : vous, vous causez comment ?

32 commentaires
1)
fxc
, le 17.12.2012 à 00:30

Finalement, vous vous en doutez depuis l’instant où vous avez vu que c’était un lundi “poppins”, j’ai une question à votre adresse : vous, vous causez comment ?

Vous m’en…nuyez grâve avec vos questions, merde à la fin, je vous en pose moi des questions (;D

Plus sérieux je fais comme vous, j’utilise le mot de cambronne , ainsi que d’autres que je n’oserais proférer sur ce site

2)
Karim
, le 17.12.2012 à 04:18

De mémoire, de Guitry (ou Beydts ? Dans le doute, toujours attribuer un bon mot à Guitry, question de probabilités), à un descendant de Cambronne :

– Est-il vrai, Monsieur, que votre aïeul prononça le fameux mot ?

– (En se rengorgeant) Oui !

– Eh bien ! Qu’est ce que vous devez toucher comme droits d’auteur !

3)
Happy Systems
, le 17.12.2012 à 05:24

Mme Poppins, je suis tellement content de vous lire à nouveau régulièrement sur Cuk. Pour ma part, j’utilise saperlipopette. Ça fait aussi son petit effet chez les autres et atténue souvent la douleur (parce que je suis très maladroit en bricolage !) Bises

4)
PSPS
, le 17.12.2012 à 06:32

Personnellement, j’utilise aussi les termes consacrés “merde”, “putain”… auxquels j’ajoute parfois des des variantes, genre : “Putain d’Adèle”.

Mais aussi des jurons plus colorés restant dans la limite de la décence. Du genre : “Par les cornes de Jupiter”, “Par la barbe d’Isis” (… un poil sexiste), “Par le gland d’Allah” (… à éviter dans le Neuf-Trois), sans oublier le célèbre “Dieu me tripote” de l’humoriste (trop tôt disparu) Pierre Desproges.

Ces tournures mythologiques permettent d’exprimer sa surprise ou sa fureur en amusant son auditoire. But final de l’opération.

5)
TroncheDeSnake
, le 17.12.2012 à 08:05

C’est vrai que ça fait un p… de bien cette résurgence des lundis poppiniens!

J’apprécie aussi le bon usage, même si je ne le maîtrise pas aussi bien que toi, Mme Poppins. Mais je ne manque pas, lorsque le besoin s’en fait sentir, d’user (et d’abuser) d’un langage plus… direct! Et comme toi, je me délecte particulièrement d’une certaine forme de métissage verbal, un peu comme si l’on croisait Bérrurier avec Maître Bonnant. Cela peut donner des phrases qui tuent la mort, et qui ne dédaignent pas, si l’occasion se présente, de déchirer leur race; quitte à emmerder les bien-disants.

C’est comme la ponctuation: Suite à une découverte sur le net, je m’attache à recommencer à utiliser le ”;”. Mais je ne suis pas certain que j’y arrive de façon exacte (comme par exemple dans la dernière phrase du précédent paragraphe). Par contre, pas de “gros point”, comme il y a des “gros mots”. Tout au plus quelques émoti…cons!

6)
ysengrain
, le 17.12.2012 à 08:08

Demandez à Mister, il vous confirmera que j’en suis capable, à son grand désespoir d’ailleurs, estimant que je donne un bien mauvais exemple à nos bambins en utilisant les deux premiers termes.

Ah, bon ! Parce que les autres humains rencontrés ont un langage chatié au point de ne jamais utiliser ces mots ? Vain désir !! Autant parler sans contrainte et laisser les enfants faire le tri eux-mêmes. Un bon exemple de l’application directe, nous adultes, de ce que nos parents nous ont perfusé et qui ressort brut de sciage et sans filtre.

Ce qui m’amène à répondre à la question de ce Lundi Popins m’exprime naturellement, ce que signifie que je m’adapte.

Quand il m’arrivait encore de faire une présentation professionnelle au cours d’un congrès, devant des collègues, c’est sans contrainte que la langue s’adapte. De même dans d’autres circonstances. Ailleurs, je me laisse vivre.

Et le jour où assise sur les toilettes, j’ai vu le test de grossesse s’orner d’un signe positif, je l’admets, j’ai murmuré un “oh putain” avec un sourire qui en disait long sur mon état de béatitude !

Tu n’avais pas d’autres signes d’orientation ? Tu n’avais pas pensé avant la lecture de ce test à ta … position … mentale bien entendu !!

7)
zit
, le 17.12.2012 à 08:56

Zivah, â déchire grave sa race d’sa reume, la question du jour !

Pour ma part, j’emploie sans scrupules (j’aime pas les scrupules, ça démange là, voire, ça gratouille) un langage fleuri tout en essayant, autant que faire se peu, de ne pas faire trop de fautes de grammaire.

« Putain de bordel de merde ! », c’est quand je me prends sur le pantalon tout neuf une belle giclée de blanchiment/Fixage usagé (c’est un produit chimique utilisé comme bain de traitement des films couleur ayant une couleur hésitant entre les ragnagna et le cola avarié).

« Chier !  » (on remarquera l’élégante élusion du verbe faire), ça, c’est quand je remarque qu’encore une fois, les élèves n’ont pas rangé les cuves de développement ou les spires au bon endroit (à mon avis, ils font exprès, juste pour faire chier, justement).

« Eeeeet merde ! », c’est quand je rate ma troisième correspondance de la journée (les rares fois que j’emprunte les transports en commun), style/genre quand les portes du train se ferment juste sous mon nez.

« Coooonard ! » (ou « Connaaaaasse ! » au féminin), ou encore « ‘Bruti ! » pour les automobilistes ou les scooters qui croient que la priorité a droite ne s’applique pas aux cyclistes (par contre, je suis très courtois et pédagogue quand il s’agit d’expliquer au susdit le code de la route si je le rejoins au feu, même que je vouvoie, l’idée étant de les faire se sentir minables, et puis en général, ça les énerve bien).

« Feuuuuque ! », c’est quand je m’aperçois qu’après avoir fini de polir une pièce de PMMA, j’ai oublié de faire l’usinage préalable (genre trous, taraudages), et que donc, je vais devoir refaire l’opération (ou quand, après avoir remonté patiemment un assemblage, je me rend compte que j’ai oublié de remettre une pièce, là, tout au début, et qu’il faut donc tout redémonter).

Après, c’est une question de culture, le soleil, par exemple, a tendance à colorer la langue, l’émaillant, comme l’explique si bien Patrick Bosso d’une syntaxe locale toute en finesse.

Au Mexique,« cabrón » et « Hijo de puta » sont de toutes les phrases, je me souviens encore de l’accueil de Cesár, le barman hurlant avec un grand sourire « Salou, fils dé poute, comment ça va, encoulé dé ta mère ? » (sa maman étant française, elle lui avait enseigné les rudiments indispensables de notre jolie langue ;o) avant de m’assommer à coup de cucarachas (trois petits verres, et au dodo).

z (ca qui me choque, c’est les « m…e », je répêêêêêêêêêêêête : ou les« Enc.lé », faut assumer, putaing !)

8)
Roger Baudet
, le 17.12.2012 à 09:14

L’évolution de la langue française a des aspects magnifiques. Comment remplacer des termes comme : « ça déchire grave », « ça me troue le c. », « je suis complètement à la masse », « il lui manque une case », « Il a pété un câble », « t’as vu cette pétasse blondasse en 4×4 » (meuh non, pas vous, Mâââme Poppins). Moi, je ne peux pas. Mon admiration sans bornes va à ceux qui, lors d’une conversation, passent sans transition du français du XVIIIe siècle au vocabulaire « Paris-banlieu-nord ».

9)
fxc
, le 17.12.2012 à 09:19

Petite histoire:

un mec achète une nouvelle voiture ( c’est pas zit) le vendeur lui explique qu’il y a un disque dur avec toutes les chansons françaises et qu’il suffit de dire le nom du chanteur,

exemple lui dit-il:"J. Hallyday?  la machine, le père ou le fils

Cheddid, la machine :”le père ou le fils? la radio s’exécute à chaque réponse

Genial dit l’acheteur, il sort du garage avec son engin tout neuf, et après qlq kms un usager de la voie publique lui fait une queue de poisson..

Le gars dans sa voiture:” Enculler, connard, etc… t’es mort

La machine:” Claude François… Mike brant!!!

10)
fxc
, le 17.12.2012 à 09:27

Une insulte que j’aime bien:” La murie vous crève….”

Pouvez vous me dire d’ou elle vient? ( mois aussi je pose la question du lundi)

Si vous connaissez la réponse ne répondez pas tout de suite,
laissez chercher les autres

Réponse ce soir, je dois aller me faire chier dans les grandes surfaces pour noël, putaing

11)
zit
, le 17.12.2012 à 09:35

Je suis aussi très féru de l’usage exclamatif verbal des « Diantre ! » et « Bigre ! », et je pense que je vais tenter la réintroduction du succulent « Sapristi ! » dans le biotope francophone…

z (grand amateur de Raymond Queneau par ailleurs, je répêêêêêêêêêêêête : et puis Coluche aussi, qui, délicatement, n’employait qu’« enfoiré », « enculé », n’étant pas toujours approprié)

12)
ysengrain
, le 17.12.2012 à 09:40

Saperlipopette et saperlote ne sont pas mal non plus

13)
Sadique de la forêt
, le 17.12.2012 à 10:04

Pour ma part, ayant été éduqué dans le respect d’un language châtié, j’ai passablement contenu l’expression de mes plus vives émotions… jusqu’à un certain âge…

Aujourd’hui , hormis un panachage conséquent de la plupart des expressions précitées en commentaires, une de mes favorites reste:

Nom de t’cheu de putain de vagin de cigogne!!

Me demandez pas pourquoi, mais ca fait du bien!

14)
Titov
, le 17.12.2012 à 11:02

Bonjour à tous,

Personnellementn j’utilise tous les gros mots du vocabulaire et je serai bien incapable d’utiliser «saperlipopette» quand je me donne un coup de marteau sur un doigt.

Ceci dit, nos cousins québécois ont historiquement et socialement développé d’autres jurons liés à la religion catholique puisque pendant près de deux siècles ils ont vécu sous la tutelle étroite et étouffante de l’église.

Un exemple : tabernacle donc “tabarnac”

En québécois c’est un mot très grossier.

Pour l’adoucir et le rendre plus présentable ou audible, il le transforme en “tabarwette” ou “tabarnouche” que l’on peut prononcer sans que les oreilles sensibles puissent s’en offusquer.

On pourrait aussi le faire. Par exemple “merde” deviendrait “merdum” et ainsi de suite…

15)
Saluki
, le 17.12.2012 à 11:02

Pour ma part, un peu comme le Sadique de la forêt, je n’ai pas souvenir d’avoir entendu mes parents jurer ’’comme un charretier’’ voire simplement proférer des mots en ’’cinq’’ lettres, qui ne sont que ’’quatre’’ en anglais.

La fréquentation de l’école publique a porté remède à cela.

Pour autant, de nos jours, l’éducation, même chez les nap-nap laisse à désirer : lors d’une fête de famille, la délicieuse Solenn, 9 ans, était “au piquet’’ dans un coin de la cuisine, ainsi reléguée par sa maman.
Madame Saluki, es-qualité de grand-tante, lui demande pourquoi elle est punie :
– Il m’a traitée de salope… (“Il’’, montré du doigt, qu’elle horreur, a dix ans).
Madame Saluki lui fait remarquer que c’est Lui qui aurait dû être puni.
– Oui, mais je lui ai dit : “Gaspard, ça rime avec connard’’.

16)
François Cuneo
, le 17.12.2012 à 11:24

Bon…

Ben faut que j’en prenne mon parti…

Cuk.ch ne passera plus le filtre swisscom pour les écoles d’ici peu!:-)

17)
Diego
, le 17.12.2012 à 12:41

Souvent, traiter quelqu’un de con n’est pas une insulte mais un diagnostique

Audiard (Michel) – Les tontons flingueurs

18)
Inconnu
, le 17.12.2012 à 12:44

“Comme un livre”, me dit-on, il faut dire qu’en tant qu’ancien bègue, j’ai appris à pré/re-formuler ma jactance avant de la balancer afin de réduire les à-coups.

Notez, chère Madame Poppins, que le style dudit livre oscille entre San Antonio et Alphonse Allais mais que si je jure, je jure de façon défécatoire: à quoi bon se contenter d’un frustrant “crotte” quand un “putain de merdouille de sa race en tongs” défoule carrément?

19)
François Cuneo
, le 17.12.2012 à 13:12

Souvent, traiter quelqu’un de con n’est pas une insulte mais un diagnostique

Audiard (Michel) – Les tontons flingueurs

Magnifique!!!:-)

20)
Le Corbeau
, le 17.12.2012 à 13:17

Cuk.ch ne passera plus le filtre swisscom pour les écoles d’ici peu

Il a déjà du mal à passer les filtres de mon entreprise qui me bloquait sur la semaine dernière. J’ai failli être frustré, à tel point que j’ai vérifié sur mon calendrier.

Bon, après coup, je comprend mieux.

Bien qu’étant peu enclin en public à utiliser des mots grossiers, j’estime qu’un “gros mot” bien placé, surtout s’il est imagé, est souvent bien moins vulgaire que certaines paroles plus “soft”

Mais chère Mme Poppins, ne pensez vous pas que ce billet est un peu trop consensuel?

21)
Zallag
, le 17.12.2012 à 14:05

Bizarre, mais je ne jure presque jamais, ni n’insulte mon prochain ou ma prochaine, parce que cela ne m’apporte rien du tout.

Je peux les trouver stupides ou dangereux, ou mauvais, ils me font parfois pitié tellement ils sont crétins, mais je ne suis pas du genre à ce qu’ils m’influencent comme si j’étais une marionnette qui s’agite et hurle quand on en tire les ficelles. Je n’ai pas de ficelles, c’est tout. Ou pas de celles qu’on peut tirer !

Personne ni rien n’est en mesure, depuis des années, de me faire dépenser la moindre énergie en insultes ou jurons. Je prèfère la garder pour moi et laisser gueuler tous seuls ceux qui aiment le faire, et tout cesse très vite.

Et si je me tape l’orteil à un pied de table, je ne lui donne pas un coup de l’autre pied pour punir la table en lui criant dessus. Mais parfois ça fait mal, évidemment …

22)
TroncheDeSnake
, le 17.12.2012 à 14:21

Un ami prêtre, dont la fonction l’obligeait à une certaine retenue, avait fait sien le “Rogntudjuuu!” de Prunelle, dans les BD de Gaston Lagaffe. Et c’est vrai que ce juron-là contient pas mal d’énergie!

23)
fxc
, le 17.12.2012 à 16:39

Et la réponse crie le peuple en coeur?

“la murie vous crève” hurlement des velrans dans la guerre des boutons de Louis Pergaud.

Bo…el je vous dis que c’est là.

24)
dpesch
, le 17.12.2012 à 17:55

Souvent, traiter quelqu’un de con n’est pas une insulte mais un diagnostique

Audiard (Michel) – Les tontons flingueurs

Ben dis-donc, on rencontre beaucoup de toubib sur cette planète ! Et pour un nombre considérable de malades !

25)
TroncheDeSnake
, le 17.12.2012 à 18:43

L’évolution de la langue française a des aspects magnifiques. Comment remplacer des termes comme : « ça déchire grave », « ça me troue le c. », « je suis complètement à la masse », « il lui manque une case »(…)

Je suis tout à fait d’accord! Moi aussi j’ai beaucoup ces expressions et ne me prive pas de les utiliser. Et ça me fait penser à l’énorme éclat de rire que j’ai eu lorsque j’ai entendu pour la première fois mon filleul s’écrier “TROP PAS!”, qui à mon sens remplace avantageusement le “du tout!” de mes oncles!

26)
Madame Poppins
, le 17.12.2012 à 19:25

fxc, en fait, j’aurais bien aimé connaître ces autres termes non utilisables ici :-)

Karim, joli dialogue !

Happy Systems, je suis ravie que mes billets soient attendus :-) et moi aussi, je suis une bille en bricolage !

PSPS, Adèle ne mérite-t-elle pas mieux ?

TroncheDeSnake, décidemment, ça fait plaisir de faire plaisir !

Ysengrain, ahhh, les enfants, ils trient très bien mais que veux-tu, Mister est un homme très soucieux du vocabulaire de ses enfants, oubliant que les plus gros mots ont été appris au bac à sable !

zit, J’ADORE le descriptif, les détails, j’ai tellement ri, c’était génial, merci !

Roger Baudet, je dois bien admettre qu’un “ça me troue le…” n’est pas usité par moi : là, je trouve que c’est too much ! Et j’étais blonde, me voilà rendue (comme disent les Québecois) grise de cheveux !

fxc, excellent ! Et t’as trouvé les cadeaux qui vont déchirer grave sous le sapin ?

zit, tiens, oui, je l’avais oublié, le fameux “diantre”, j’avais un ami qui l’utilisait souvent et je trouvais ça charmant.

Ysengrain, le problème, c’est que lorsque mon pied est sous le talon d’une autre personne, saperlipopette, c’est trop long à dire !

Sadique de la forêt, vagin de cigogne ?? Celle-là, je ne l’avais encore jamais entendue !

Titov, il est en effet bon de se souvenir que gros mots ici n’est pas forcément gros mots ailleurs (et vice versa bien sûr)

Saluki, comme quoi, la cour de l’école est utile à plus d’un titre :-)Et j’adore cette Solenn, elle est géniale !

François, mazette, je n’y avais pas pensé :-)

Diego, fort à propos, le commentaire !

korbo, mais pourquoi en tongs ?

Le Corbeau, je pensais pouvoir compter sur toi pour le rendre polémique :-)

Zallag, en fait, je n’insulte pas les gens, je le fais en mon for intérieur !

TroncheDeSnake, être prêtre est décidemment difficile à tous points de vue !

fxc, je vais lire ça !

Je vais donc essayer le “fichtre” lorsque je me coincerai le doigt dans la portière, pas sûr que j’y arrive !

En tout cas, j’ai bien ri en vous lisant tous, merci !

27)
Philob
, le 17.12.2012 à 20:14

Formidable, et vous avez tous sus rester corrects, moi qui voulais vous traiter de pine d’huître.

28)
Modane
, le 17.12.2012 à 20:40

Pine d’huitre? Je plussoie, bordel!

29)
guru
, le 18.12.2012 à 10:26

Je m’en tiens à “putain de ta mère , salope” qui a le mérite d’être une citation. (Le Père Noël est une ordure).

30)
Inconnu
, le 18.12.2012 à 16:58

Que les peaux de gland insultent ces jean-foutres de pelures d’oignion comme il se doit, ventredieu ! Bande de cloportes, tas de sycophantes !

ha! j’oubliais = Balanophage

31)
dpesch
, le 18.12.2012 à 17:10

32)
Jean-Yves
, le 18.12.2012 à 17:54

Contre les pannes d’inspiration, n’oublions pas … un maître !