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Le fonctionnement de l’offre et de la demande
Vous l’avez certainement déjà constaté : personne n’achète Gala, Voici, Closer, Paris Match ou Elle. Et quand j’écris “personne”, je devrais dire “PERSONNE” !

Essayez, juste pour voir, de poser la question autour de vous : vous constaterez très rapidement que personne ne possède ces revues.

En revanche, tout le monde les a lues, même votre patron, et lorsque vous faites remarquer à tous ces non-lecteurs qu’il est quand même étonnant de connaître le contenu de torchons qu’on n’a pas achetés, vos interlocuteurs répondent tous “je l’ai lu chez le dermatologue”, “mon dentiste l’avait dans sa salle d’attente”, “je l’ai trouvé sur un siège dans l’entrée de l’hôpital” etc. Au point que j’ai fini par croire que les seuls abonnés à ces revues sont les toubibs, toutes spécialisations confondues et que l’état de santé de mes connaissances est préoccupant. La liste des abonnés doit comporter également les coiffeurs mais eux, y assument pas vraiment vraiment “ah, le Voici, c’est la cliente de ce matin qui l’a laissé là après son brushing” – à ce stade de la conversation, vous éviterez de faire remarquer à votre coiffeur qu’il devrait trouver mieux, comme explication, la cliente d’à côté étant en train de lire le numéro de la semaine passée -.

Donc, si ma mémoire est bonne, je me trouve confrontée à un mystère : comment un journal peut-il continuer d’exister s’il n’a pas de lecteurs (à part les toubibs) mais qu’il est confronté à des amendes énormes en matière d’atteintes à la vie privée et à l’image ? En effet, si la demande n’existe pas ou disparaît, l’offre s’adapte ou cesse complètement.

Vous en conviendrez, c’est assez étonnant de constater que le marché du magazine propose encore et toujours des trucs aussi débiles que le récit, en images, de la déchéance de Loana puisque, semblerait-il, personne ne s’intéresse à cette starlette.

En aparté, qu’il soit précisé ici que je vous croirai lorsque vous écrirez ci-après, en lettres capitales, que c’est pathétique de lire ce genre de journaux, que jamais, au grand jamais, même pas chez l’urologue, vous n’avez ouvert ces machins sans intérêt et bourrés de conneries : pas de souci, je comprends qu’on puisse préférer le hors série du Monde “le meilleur de WikiLeaks” plutôt qu’un reportage photos sur Justin Timberlake.

Ceci étant, l’omerta qui frappe les publications concernant les people n’est rien à côté de celle qui s’abat sur l’achat de journaux “pornographiques” : là, il est juste impossible de trouver la moindre information et il faut bien l’admettre, je n’ai encore jamais trouvé de PlayBoy à côté du sèche-cheveux de mon coiffeur, encore moins dans la salle d’attente de l’ophtalmo. Remarquez, il se pourrait qu’il y ait à nouveau au moins un abonné du monde médical : les cliniques spécialisées dans la procréation assistée… d’accord, je l’admets, mon humour est à deux balles et c’est pas très fin.

Mais reprenons le fil : à nouveau, personne n’admet acheter ces revues. Et là aussi, hein, personne, c’est PERSONNE ! Absolument personne. “Tu comprends, maintenant qu’il y a le net, je ne vois plus un ado acheter un tel truc, alors que nous, on en a tous acheté quand on avait quatorze ans”.

Certes, il faut assumer de poser la photo d’une dame peu vêtue et exhibant ses atours à côté de la caisse enregistreuse, sous l’oeil plus ou moins narquois ou plus ou moins indifférent de la vendeuse, mais il faut aussi avoir de plutôt bonnes connaissances en informatique pour déjouer le filtre parental sur l’ordinateur familial : “sexe” et “gros seins”, ça, tout le monde sait paramétrer.

Moralité, on ne me fera pas croire que ces revues sont condamnées à disparaître depuis l’arrivée du net (parce que le net, à force d’arriver, il aurait dû sonner depuis longtemps le glas des femmes semblant se délecter d’un cigare à genoux devant un homme au regard creux) : en d’autres termes, il se trouve forcément des hommes qui continuent d’acheter ces magazines. D’ailleurs et je digresse un peu, je suis même prête à imaginer que des femmes achètent ces journaux, sauf qu’aucune copine – amie n’a confirmé cette hypothèse : il n’y avait pas de raison qu’elles soient plus bavardes que les hommes que j’ai interrogés.

Le couplet “ils sont lus par la population carcérale”, on me l’a fait, merci : je suppose que ces photos circulent dans certains endroits, les internats n’étant certainement pas des moindres. Mais à nouveau, cela ne suffit pas à expliquer la multiplicité de ces journaux, encore moins l’augmentation des titres plutôt que leur disparition.

Tout cela m’amène à un constat. Les people et le sexe sur papier glacé ont un point commun : qui assume ?

23 commentaires
1)
ptinutz
, le 14.03.2011 à 01:02

Moi, je les lis, je ne les achète pas, mais je l’ai lis. Souvent au kiosque et je repose. Je lis les manchettes aussi. En fait j’en ai acheté quelques fois mais finalement tu lis la manchette à l’extérieur du kiosque et tu as tout lu le journal. En général le reste est un journal tv et une recette, des conseils shoppings…

Bon depuis que je suis en Australie, ca m’intérèsse bien moins… Ici, ils ont des magazines comme ceux sur les peoples, mais sur les personnages de soap operas. Impressionnant! Voir en couverture, Brooke a trahi sa fille, encore… Et tout est écrit comme si c’était des vrais gens… pas une seule interview d’acteurs ou autres… Et quand je vais chez le docteur, je lis Vogue!

2)
Smop
, le 14.03.2011 à 02:51

Apparemment, la presse “People” française ne se porte plus si bien que ça si l’on en croit cet article récent. Concernant son lectorat, il y a un mémoire de DEA qui donne des infos intéressantes. C’est ICI.

Quant à assumer, j’étais pour ma part un assez fidèle lecteur du magazine “Lui”, à la fin des années 80. A vrai dire, j’adorais les dessins d’Aslan et la rubrique “la défonce du consommateur”. Aujourd’hui, j’avoue avoir un certain attrait pour les mangas Hentai, mais je doute que l’on trouve ceux-ci dans les salles d’attente ;-)

3)
Inconnu
, le 14.03.2011 à 06:38

Ca doit etre les memes qui regardent pas les emissions de tele realitë :) Je lis pas ce genre de journal. Mais je suis amusé par l’imagination des redacteurs pour faire des titres racoleurs )avec la photo qui va bien.

4)
ElGeko
, le 14.03.2011 à 06:43

En même temps, il vous faudrait vous souvenir, Mesdames Messieurs Occidentalisé(e)s, que les 2/3 du monde n’ont qu’un accès relativement réduit au Net, encore moins au haut-débit, et même, parfois,aussi, à l’électricité tout court (jus). Ce qui renforce énormément l’attrait du papier glacé, même très froissé, même à la lueur d’une bougie, même tremblotante.

5)
archeos
, le 14.03.2011 à 07:14

En France encore, 1/3 de la population n’a pas d’accès privé à Internet (pour remplacer Lui). Et si on a des passions un peu particulières, peut être qu’il est plus facile et moins cher d’acheter un magazine que de chercher sur le net ? Perso, je n’ai jamais acheté de magazines érotiques : j’ai toujours « lu » ceux de copains. Par contre, j’ai acheté et lu des romans du même tonneau, ou des BD, et des livres de photo reliés.

Pour la presse people, bravo à Smop, plus rapide que moi ! Mais il reste quand même, tout cumulé, plus de 1,5 millions d’acheteurs. Peut-être les achats de la presse people ont-ils les mêmes motivations que la lecture des faits divers par les classes populaires ?

6)
ysengrain
, le 14.03.2011 à 07:33

Il est clair que « mon » monde est ailleurs que dans le sujet du jour.

J’ai du mal à concevoir qu’on puisse éditer de tels journaux sur de tels sujets. Ce qu’il faut avoir de torsion des axones et des dendrites pour, sérieusement, monter une conférence de rédaction qui va organiser la Une. Le cancer de Machin, en haut à gauche, et la photo des fesses de Machine au milieu, non un peu plus à droite. D’accord, certains gagnent leur vie, et en font vivre d’autres, mais Ô Sainte futilité extrême priez pour nous….

7)
Philob
, le 14.03.2011 à 08:18

Tiens, j’achète chaque année le magazine Photo, celui où il y a toutes les photos du concours; il y a toujours une rubrique “charme” et je regarde toutes les photos consciencieusement.

Je me souviens d’une anecdote qui est arrivée à ma soeur : elle était enceinte et attendait son tour dans la salle d’attente de son gynéco, presque toutes les revues à disposition étaient (vraisemblablement des revues professionnelles) bourrées de photos des différentes déformations des nouveaux nés, ça lui avait foutu le moral dans les chaussettes, je suis sûr qu’elle aurait préféré lire Playgirls (je ne sais même pas si ça existe).

Je me souviens avoir de temps en temps acheté Lui, je me rinçais l’oeil et je lisais aussi les textes, certains articles étaient très bien foutus, même si ce n’était par pour eux que je dépensais mon argent.

À l’époque, mes collègues de travail étaient presque tous saisonniers (donc 9 mois éloignés de leurs épouses et enfants, la plupart du temps) et des revues franchement pornographiques circulaient de mains en mains parmi leur communauté; je le comprenais très bien. Je crois même que ces revues participaient à la sauvegarde de leur ménage.

Mes people à moi sont plutôt des héros de bandes dessinées, mais il y a très peu de revues. La seule revue que j’achetais très régulièrement, c’était Pilote, mais le Pilote des années 70 et je me souviens très bien de la baffe reçue après la lecture des 3 premiers “Échos des Savanes en 72, une sorte de déniaisement bienvenu. Vivent les brocolis.

8)
ysengrain
, le 14.03.2011 à 08:27

Si je comprends le propos du jour de Madame Poppins, la digression de “journal people” à journal porno va d’elle même ? Est ce le même public, lectorat ?

9)
Diego
, le 14.03.2011 à 08:37

Je dénote ici une déplorable et totale méconnaissance du marché de la revue dite “érotique” par Mme Poppins, au demeurant mon épouse : classer Playboy dans la catégorie des “inmontrables” est naïf tant il est de bon ton d’en placer un exemplaire sur la lunette arrière de sa Porsche Carrera S !

Mon coiffeur expose sans pudeur sur sa table des revues d’un autre gabarit dont j’avoue, j’ai plus retenu la plastique (des organes) de la demoiselle que le nom.

Dans le genre people, je regardais l’autre jour le Ruquier et sa clique et j’y ai appris un truc (eh oui, ça arrive même chez Ruquier !) : les sondages politiques sont corrigés par des coefficients avant d’être publiés. Il y a des partis pour lesquels son intention de vote est avouable et d’autres pas, et ça se corrige ! Découverte pour moi.

On retrouve dons le même problème que celui exposé dans le billet du jour.

Pour transgresser le sujet (qui se veut léger) du jour : qui donc a voté populiste ce week-end à Genève ?

Petite énigme à l’intention des lecteurs zürichophiles (Anne peut-être ?) : qu’obtient-on au kiosque en gare de Zürich lorsqu’on demande un “Tagi mit” ?

10)
Philob
, le 14.03.2011 à 09:57

Tagi mit = un TagesAnzeiger avec à l’intérieur, caché, car d’un format plus petit, un Blick (feuille de chou suisse-alémanique)

J’avais oublié cette anecdote, merci de la rappeler.

11)
Diego
, le 14.03.2011 à 10:17

Bravo Philob, voilà qui dénote d’une bonne connaissance des us et coutumes des bords de la Limmat !

En effet, les Zürichois ont trouvé cette élégante manière maintenir leur statut social (apparent) : “Tagi mit”, soit un Tagesanzeiger (dit Tagi pour les intimes, journal des plus sérieux au format “Berlinois”), mit (soit “avec”, en allemand) inséré à l’intérieur le tabloïd populaire Blick .

Un genre de de Figavec, quoi !

12)
coacoa
, le 14.03.2011 à 10:18

Tagi mit = un TagesAnzeiger avec à l’intérieur, caché, car d’un format plus petit, un Blick (feuille de chou suisse-alémanique)

Je ne savais pas, c’est trop drôle !

13)
PSPS
, le 14.03.2011 à 11:46

Les pin’up d’Aslan ont illuminé ma jeunesse. Aujourd’hui, encore, il m’arrive de vagabonder sur le site qui présente l’ensemble de son œuvre http://pinup.aaslan.com/francais/index.html

14)
pat3
, le 14.03.2011 à 11:51

Diego m’a doublé: Mme Poppins n’y connaît rien en revue pornographique pour y classer PlayBoy! Pas étonnant, quand même, ces revues là ne s’adressent vraiment pas aux filles (qui n’ont, je pense, pas du tout les mêmes ressorts érotiques que les garçons).

Pour ce qui est du People, je ne sais rien, je ne reconnais même plus les gens dits “connus”! Je ne lis qu’un demi-article quand je vais chez le médecin, et il n’est pas nécessairement dans Gala (mais sûrement pas dans Auto Moto!); la presse magazine a été remplacée chez moi par internet à l’époque de mon premier abonnement: pour trouver les 45 euros nécessaires, j’avais calculé que les achats ou abonnements mensuels à deux magazines mac et à deux magazines cinéma seraient supprimés. Depuis, je n’ai pas renouvelés les magazines Mac (je lis les sites mac tous les jours), et occasionnellement les magazines cinéma. Bref, pour le people, je suis un ignare.

Pour ce qui est du pornographique, je dois dire que je n’aurais jamais oser acheter un magazine en librairie, même si, parfois, je suis attiré par les plastiques de couverture. En revanche, internet m’a permis de savoir tout ce que je voulais sur le pornographique, mais plutôt en film qu’en image fixe (je n’ai toujours pas compris l’intérêt de voir une photo de pénétration ou de fellation, aussi sophistiquée soit-elle).

Je me rince l’œil, j’apprends même parfois des choses, que j’essaie avec ma douce… une approche documentaire, en somme ;-)

Mais pour ce qui concerne le magazine, aucun intérêt pour la chose; même les nus des magazines photo me laissent de marbre (enfin, si je tombe dessus par hasard, non, pas vraiment, mais autrement, je n’y pense jamais). En fait, je préfère très largement la réalité, de ce côté là!

15)
M.G.
, le 14.03.2011 à 13:23

Ca doit etre les memes qui regardent pas les emissions de tele realitë :)

Bien vu ! Personne ne regardait “le Loft” sur TF1. Pourtant, on a appris à la sortie que la chaîne s’était goinfrée de plusieurs millions d’euros sur les appels surtaxés qui permettaient de voter.

16)
M.G.
, le 14.03.2011 à 14:08

Je me souviens avoir de temps en temps acheté Lui, je me rinçais l’oeil et je lisais aussi les textes, certains articles étaient très bien foutus, même si ce n’était par pour eux que je dépensais mon argent.

J’ai été un lecteur fidèle de “Lui” pendant des années. Des photos sublimes en effet et les splendides pin’ups d’Aslan, un vrai plaisir pour les yeux. Pourtant, ce qui me reste en mémoire, ce sont certains textes, comme “Rendez-nous notre Emmanuelle” qui critiquait violemment Just Jeackin pour avoir transformé en nymphomane blonde aux cheveux courts la splendide asiate aux longs cheveux noirs et à la peau ambrée qu’était Emmanuelle Arsan.

Une interview d’Adnan Khashoggi (marchand d’armes mondialement connu) par Pierre Rey. À la question « Dans notre monde actuel, trouvez-vous normal d’encaisser cinq millions de dollars de commissions sur une vente d’armes », Adnan Khashoggi eut cette réponse sans appel : « That’s the rate for the job » !

Aujourd’hui, rien que le chiffre nous paraît dérisoire…

17)
jeanba3000
, le 14.03.2011 à 18:18

Alors, tenez-vous bien (tenez-vous mieux, ajoutait Desproges), je connais dans mon entourage UN abonné assumé à Voici depuis des années, dix, peut-être quinze, et pas le clampin décérébré de base : ingénieur grandes écoles, très cultivé, latin/grec et tout, DG dans une grosse boîte… Bien sûr ça l’amuse, ça fait partie de ses petits rituels, il prend l’Équipe beaucoup plus au sérieux je pense.

Quant à moi, n’ayant pas de télé depuis mon départ du domicile parental il y a des lustres, mettant les pieds chez un généraliste une fois tous les dix ans en moyenne et me faisant couper les cheveux par ma compagne, j’ai la chance d’échapper à une bonne part de la médiocrité médiatisée. La conséquence est de n’entraver que dalle à ce que nombre de gens se racontent dans les dîners en ville et de passer pour le dernier des extraterrestres, voire de me faire traiter de menteur snob parce que je ne connais pas tel machin à la mode… Ce qui n’est pas pour me déplaire ! :-D

La discussion sur les magasines érotiques me rappelle un souvenir sympathique : un jour, sortant d’une librairie, trois gamins genre 12 ans se sont timidement approchés de moi et m’on demandé si je voulais bien aller leur acheter un Playboy en me tendant leur argent… Ce que j’ai bien entendu fait, toujours prêt à rendre service et à œuvrer pour l’édification de la jeunesse…

À propos de photo de pin-up, la dernière pube affichée dans la rue pour un parfum Miss Dior présentant l’actrice Natalie Portman est tout à fait inspirée de l’esthétique Playboy des années 60, joliment fait, pas désagréable.

18)
Madame Poppins
, le 14.03.2011 à 20:32

Il y a une autre lectrice assumée de Voici : moi. Durant mon stage d’avocate, gavée de doctrine et d’affaires moches de chez moches, j’achetais toujours le Voici, le lundi : cette lecture constituait un divertissement fort amusant pendant le trajet en train (18 minutes) et me sortait des dossiers pénibles à plus d’un titre.

Cela dit, comme je vais chez le coiffeur très régulièrement depuis lors…

Je l’admets, je n’y connais rien en publications pornographiques : j’avais bien passé quelques minutes devant ces revues avant d’écrire ce billet mais je n’ai pas été fichue de me souvenir des titres, je confesse donc une ignorance presque totale en la matière, la dernière fois que j’ai feuilleté une revue vraiment porno, c’était avant le cours de gym, du haut de mes 14 ans….

Mais non, je ne pense pas que les lecteurs de Gala et de revues pornographiques soient les mêmes : c’est juste “l’omerta” qui les rassemble.

Finalement, je vais “investiger” un peu via Radio Copines pour connaître les “ressorts érotiques” des femmes : peut-être un prochain billet :-)

D’ici là, merci de continuer à lire… cuk !

19)
fxc
, le 14.03.2011 à 22:03

D’ici là, merci de continuer à lire… cuk !

purée à une lettre près…

20)
Guillôme
, le 14.03.2011 à 23:09

purée à une lettre près…

C’est exactement ce que s’est dit François en entrant son nom sur le flipper :p

21)
François Cuneo
, le 15.03.2011 à 07:23

Je dois dire que jamais je n’achèterais ce genre de journaux (je parle des peoples), mais j’adorais quand d’autres le faisaient pour moi. En particulier pendant les vacances. Lire ces journaux aux toilettes, c’est vraiment le pied (je parle donc toujours des journaux “people” hein, qu’on soit bien d’accord).

Diego, j’aime bien le coup de la Porsche Carrera S. Je ne savais d’ailleurs pas qu’elles avaient des toilettes à l’arrière:-)

22)
zit
, le 15.03.2011 à 10:33

Ne fréquentant pas les professionnels de la santé, ni les capilliculteurs (trices), j’avoue ma totale ignorance quand aux revues sus–mentionnées. De toute façon, depuis la mort d’Actuel, je n’ai plus acheté le moindre magazine, tout au plus, feuilleté–je nonchalamment et rapidement Réponses Photo et Chasseur d’Images, posés sur le comptoir de ma boutique photo préférée…

Pour ce qui concerne les autres publications sus–mentionnées, je me souviens de la tension élevée et de la formidable sécrétion d’adrénaline et autres hormones au moment de… juste avant… l’achat de la revue !

[…] la plastique (des organes) […], […] les plastiques de couverture […]

Soyez précis les gars, il s’agit d’un plastique très particulier : le silicone (que je n’apprécie pour ma part que pour les moules ;o).

z (Mâââââââme P, tu confesses ?, je répêêêêêêêêêêête : mais « Le désir s’accroît quand l’effet se recule »)

23)
Tom25
, le 15.03.2011 à 14:40

Si je tombe sur un magazine érotique, j’y jette un œil, à condition d’être seul. Je n’oserais pas si d’autres personnes me voyaient regarder des femmes dénudées.

Quant aux magazines people, alors là non. Ca me débecte. Je peux faire défiler les pages rapidement juste pour savoir quelles conneries ils abordent, et en savoir assez pour les critiquer.