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Quelques livres pour l’été, et pas des moindres

Vu que les revues de presse ne vous dérangent pas…

D'abord, juste un mot sur un livre à propos d'un logiciel dont je ne connaissais même pas l'existence, rendez-vous compte du niveau de mon ignorance, je veux parler de Inkscape, un logiciel de dessin vectoriel qui semble faire ce que font Freehand et Illustrator.

Ce livre, c'est "Inkscape, premiers pas en dessin vectoriel" par Nicolas Dufour, avec la contribution d'Elisa Castro Guerra, aux éditions Eyrolles, collection "Accès libre".

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Les auteurs du livre sont au faîte du logiciel inkscape, puisqu’eux-mêmes participent à son développement, notamment à sa diffusion et à la rédaction de sa documentation.

Je dois vous dire que j'ai parcouru ce livre avec pas mal d'intérêt, vu que je suis totalement nul en dessin vectoriel (et en dessin tout court, il faut bien l'avouer), et que ce livre ne fait pas que nous montrer ce qu'est Inkscape, mais nous guide au niveau du dessin tout court à travers ce logiciel.

Sûr que je vais télécharger Inkscape, ce qui, si les résultats répondent à mon attente, va être une des raisons de plus pour me faire renoncer à la future suite Adobe CS5.

Pages pour inDesign (je sais, on ne peut pas comparer, mais bon, il se trouve que j'utilise Pages, pas inDesign), LightRoom et Pixelmator pour Photoshop, et Inkscape pour Illustrator, je sens que ça va le faire. On verra.

Pour ce bouquin de 374 pages, que du bon à dire à mon niveau de connaissance. Il me semble que le tour du logiciel est complet, les étapes des "leçons" sont claires, faciles à mettre en oeuvre.

Comme quoi un livre en noir et blanc, quand il est clair, facile à appréhender, bien illustré, bien structuré, ça passe vraiment bien.

Tous les renseignements, et les extraits de ce livre, c'est par ici. Prix: 19 € pour 374 pages.

Remarquez qu'un autre livre chez le même éditeur est sorti il y a quelque temps (à ma grande honte, je n'ai pas eu le temps à l'époque de le lire, et je ne sais plus où je l'ai mis), il s'agit de Inkscape Efficace, de Cédric Gémy, chez le même éditeur, dans la même collection. Pour lui, c'est ici que vous en saurez plus.

Deuxième livre que j'ai pu parcourir en détail: Préparer des images numériques (Numériser, optimiser, contrôler), par Eric Bacquet, aux éditions Eyrolles.

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Ce livre touche un peu rapidement à mon goût tous les domaines qui peuvent toucher à la photo numérique.

Toujours difficile de se placer dans la cible au niveau lectorat. Ce qui est écrit ici, je l'ai lu ailleurs, évidemment, mais je pense que le livre de Bacquet recense et explique agréablement les différents problèmes auxquels on se trouve confronté lorsqu'on touche au numérique.

J'aime bien le chapitre dédié aux scanners, on n'en parle pas assez depuis quelques années.

Il faut encore savoir que l'auteur part du principe que vous avez Photoshop et Bridge, ce qui n'est peut-être pas le cas.

Les conseils pratiques sont nombreux, bref, un livre intéressant, pour quel public? On parle ici de professionnels, mais j'ai pourtant l'impression que ces derniers savent déjà tout ça. Je pense plutôt aux débutants qui veulent en savoir plus.

Peut-être que je me trompe.

Un truc que je n'aime pas du tout dans ce livre, mais alors pas du tout du tout, c'est la mise en page. On se croirait dans SVM d'il y a quelques années: texte rose sur fond noir, ou (pour presque tout le corps du texte du livre), blanc sur fond rose.

Un effet psychédélique pas reposant du tout. Moi ça m'agresse, vous je ne sais pas.

À vous de vous rendre compte en lisant des extraits du livre, que vous pourrez trouver ici.

Un autre livre aux éditions Eyrolles qui me semble très intéressant: Photographie de voyage, guide pratique, par Cécile Domens, Richard Fasseur et Séverine Lacroix, qui s'y connaissent dans le domaine puisque les trois sont animateurs de voyages photo.

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Nous sommes donc avec des spécialistes, qui s'y connaissent en pratique, et ça se voit.

Les images illustrant le propos sont de très bonne facture, ce qui ne gâche rien.

Si vous vous énervez avant de partir en voyage, ne sachant pas quel sac, quel boîtier, quels objectifs prendre avec vous, flash pas flash et j'en passe, ce livre peut vous aider, tenant par exemple compte des différents styles de voyages que vous allez faire (organisé ou en indépendant?).

Les conseils sont différents selon que vous partez avec du matériel argentique (eh oui, les amoureux du film ne sont pas oubliés) en ou numérique.

Une fois sur place, les auteurs vous donnent des conseils pour créer le contact avec les gens respecter vos interlocuteurs, mais aussi protéger votre matériel.

Le protéger pour ne pas qu'on vous le vole, mais aussi contre les aléas du climat ambiant, et en particulier contre le sable et l'humidité, la chaleur et le froid.

Suivent des conseils de base, mais dédiés aux situations que l'on trouve loin de chez soi, comme la maîtrise de la lumière, la gestion du net et du flou, la composition des images (importante en paysage).

J'aime bien également le chapitre 7: Astuces de terrain. Ce chapitre commence par un pense-bête qui, s'i j'arrivais à le suivre, m'éviterait par exemple de me retrouver en plein soleil avec des ISO à 1600 parce que la veille, j'ai pris des photos dans la pénombre. Les conseils qui suivent touchent un certain nombre de domaines (photographier le mouvement, les fleurs, la nuit,…), sont tout simples, mais efficaces.

Le dernier chapitre, intitulé "Le retour" passe en revue le nettoyage du matériel (mais pas du capteur!), la postproduction, le stockage des images, et vous recommande de ne pas oublier de tenir vos promesses et d'envoyer les images que vous avez prises à ceux à qui vous avez dit que vous le feriez.

Bref, un livre tout simple à lire, plutôt à l'intention des photographes amateurs.

Tout sur ce livre de 170 pages, 19.90 €, c'est par ici.

Les trois livres qui suivent donnent dans le lourd, attention!

Le premier, que j'ai déjà décrit ici pour sa version 1 et là pour sa version 2 (ben en fait je ne retrouve plus cet article, incroyable!), c'est l'un de mes préférés depuis toujours: Développer ses fichiers RAW, troisième édition, par Volker Gilbert aux éditions Eyrolles.

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Une petite merveille.

Enfin… quand j'écris "petite", c'est peut-être un tantinet peu adéquat.

En effet, si la v2 de ce livre pesait 365 pages, celui-ci nous en propose 515!

C'est que voyez-vous, Volker est bien obligé de suivre l'évolution du marché, ce qui doit être assez pénible, avouons-le.

Et comme cet excellent photographe (purée, que les images sont belles dans ce livre, qu'elles soient de l'auteur ou de ses connaissances) fait le tour quasiment exhaustif de tous les logiciels qui traitent le RAW, il n'a pas fini de rigoler…

Ce livre est LE livre que vous devez acheter si vous ne photographiez pas encore en RAW. Mais qu'attendez-vous nom d'une pipe! Moi, ça ne me viendrait même plus à l'idée de photographier autrement (JPEG). Avec le RAW, vous sauvez pratiquement tout.

L'autre jour encore, j'étais dans une situation difficile pour prendre une photo de l'un de nos collèges: ombre et lumière, impossible de tout avoir. HDR? Même pas… RAW simplement. Et hop, un coup de boost sur les ombres (même plus un problème au niveau du bruit avec les appareils modernes, et elle était belle, puisque j'avais exposé à droite.

En JPEG, j'aurais dû choisir.

À notre époque, je ne comprends pas qu'on continue à photographier en JPEG. Son seul avantage, c'est qu'il n'y a pas besoin de le traiter (quelques secondes dans LightRoom ou Aperture) et qu'il prend moins de place, ce qui n'est même pas un vrai avantage aux prix et capacités des cartes et de nos disques durs.

Pour en revenir à ce livre, je ne vais pas répéter ce que j'ai écrit lors de la première version. Partout, vous pouvez ajouter PLUS, ou revu et corrigé pour les nouvelles versions de logiciels détaillés (Aperture 2, Camera Raw 4, Lightroom 2, LightZone 3, Capture One 4, Bibble 5, DxO Optics Pro 5, Canon DPP 3, Nikon Capture NX2). On sent d'ailleurs que l'auteur aime particulièrement Camera Raw qui semble, il est vrai, être une solution particulièrement tentante.

Bref, un must, signé par un grand spécialiste, qui plus est excellent photographe.

Vous pourrez vous en rendre compte par vous-même en lisant les extraits que vous trouverez ici.

515 pages, 39.90 €

Les deux derniers livres sont des pavés, des bibles, des ouvrages exhaustifs, tant l'un que l'autre.

Le premier, Photoshop CS4 pour PC et Mac - Tout en couleurs, de Pierre Labbe aux éditions Eyrolles.

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600 pages (sur deux colonnes, écrit tout petit!), 45 €

 

Le second, toujours aux éditions Eyrolles: Photoshop CS4 pour les photographes, de Martin Evening.

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630 pages, et un DVD, pour 45 €

Incroyable d'ailleurs qu'un même éditeur mette à dispositions de ses clients deux livres aussi importants sur un même sujet.

Les deux sont simplement monstrueux.

Je ne peux pas comme ça vous dire tout de go lequel est le meilleur. Ce serait faire injure aux auteurs, et, pour vous dire, je ne me sens pas à la hauteur de la tâche.

Au niveau de la méthode, je préfère personnellement le livre de Pierre Labbe, même si sa mise en page sur deux colonnes rend la lecture un tout petit peu plus difficile que celle sur une colonne, plus aérée, du livre d'Evening.

Ce dernier part plus de situations que Pierre Labbe, qui lui parcourt le programme de fond en comble.

Notez que le livre d'Evening contient un DVD avec les exemples, ce qui peut être assez agréable.

Bref, deux énormes livres de référence sur un programme qui ne l'est pas moins (énorme…).

À vous de voir celui qui vous convient le mieux en lisant les extraits et le résumé du livre d'Evening ici, et en lisant là même chose, mais sur le livre de Pierre Labbe ici.

15 commentaires
1)
fxc
, le 17.07.2009 à 07:21

J’aime bien également le chapitre 7: Astuces de terrain. Ce chapitre commence par un pense-bête qui, s’i j’arrivais à le suivre, m’éviterait par exemple de me retrouver en plein soleil avec des ISO à 1600 parce que la veille, j’ai pris des photos dans la pénombre.

quel plaisir de voir que je suis pas tout seul, et la balance des blancs que j’oublie etc… faudrait un 4 coeurs bi pro dans la tête.

Z’oubliais, merci pour cette revue de presse.

2)
jeje31
, le 17.07.2009 à 07:26

À notre époque, je ne comprends pas qu’on continue à photographier en JPEG.

C’est un peu péremptoire comme jugement. La différence entre le raw et le jpeg, c’est comme en argentique entre développer soi-même ses films et les amener au labo. Certes, la maîtrise du développement permet plus de choses (déboucher des ombres par exemple) mais “coûte” plus en temps, argent, investissement personnel.

Au risque de faire hurler, le photographe amateur que je suis se contente du jpeg même s’il ne doit pas être de son époque ;-)

Sinon, encore merci pour cette revue de livres toujours aussi bien rédigée : je suis intéressé par celui sur la Photographie de Voyage.

3)
Radagast
, le 17.07.2009 à 08:16

Bonjour, petite pierre à cette revue, j’ai découvert récemment le livre de Sébastien ABRIC DPP pour les photographes Je le trouve particulièrement intéressant parce qu’il propose une bonne prise en main du logiciel de Canon, ce que je n’avais jamais vraiment lu auparavant de façon si développée. Son défaut étant d’être pour l’instant uniquement en pdf. Merci pour cette revue de livres

4)
Franck Pastor
, le 17.07.2009 à 08:38

François, tu te mettrais à Inkscape, une application X11 ? Tout arrive, ma parole !

5)
François Cuneo
, le 17.07.2009 à 09:25

Ouais, ben quand j’ai vu la chose, j’ai vite déchanté…

Dommage qu’il ne soit pas encore natif OSX.

Je profite des deux minutes pendant lesquelles j’arrive à capter un Wifi ici. C’est tout de même très peu stable à ce niveau, un Macbook Pro…

6)
Guillôme
, le 17.07.2009 à 09:58

Ouais, ben quand j’ai vu la chose, j’ai vite déchanté…

C’est pour ça que je n’ai pas encore fais de test sur Inkscape, Gimp… car l’utilisateur moyen ne supporterait pas les contraintes d’un environnement X11.

D’ailleurs, j’ai attendu la version native de Open Office pour en parler, solution qui évolue bien (3.1) mais dont l’avenir pourrait être remis en question avec l’acquisition de Sun par Oracle

Dommage qu’il ne soit pas encore natif OSX.

Certes, mais Inkscape est sacrément puissant, fonctionnel et marche très bien. Je l’ai utilisé à de nombreuses reprises avec succès sur des images vectorielles. Franchement entre Illustrator payant et très cher, et Inkscape gratuit, pour un usage personnel il n’y a pas photo et ceux qui piratent Illustrator sont impardonnable.

D’ailleurs, pour toutes les manipulations complexes d’image j’utilise Gimp même si j’attends avec impatience une version native.

7)
Guillôme
, le 17.07.2009 à 09:59

Ah oui, j’oubliai, quelle horreur ces couvertures de manuels traitant de la photo…

Oui, je sais, je me répète :p

8)
photoad
, le 17.07.2009 à 10:01

Nom d’ une pipe ( dixit le boss ), en jpeg, un pixel qui a pour valeur 255-255-255, est un pixel cramé. Ni le pape ni la nasa, ne pourront en retirer d’ autres informations que du blanc pur. En RAW, on récupère des fichiers avec 2 diaphragmes de sur ou sous exposition. Autre argument, rien n’ est scellé et définitif en raw, je m’ explique : les valeurs de contraste, de saturation, de style d’ image peuvent être modifiées et ce SANS PERTE! Pour un jpeg, toute modification dans un programme éditeur de pixels ( photoshop ou autres ) s’ accompagne INEVITABLEMENT d’ une perte de qualité. Si les corrections sont sévères et à fortiori multiples, les dégâts seront importants. Bonne journée !

9)
kris
, le 17.07.2009 à 10:16

La différence entre le raw et le jpeg, c’est comme en argentique entre développer soi-même ses films et les amener au labo.

On peut faire cette comparaison, que je trouve plus pertinente : se contenter du jpeg c’est comme a/ faire un Polaroid ou encore b/ jeter les négatifs argentiques après avoir récupéré les tirages au labo. Il ne reste plus en archive que de petits tirages miteux qui ne tiendront pas dans le temps.

Si on conserve des fichiers Raw on pourra toujours les exploiter ultérieurement et en obtenir le tirage optimum (par soi-même ou que l’on « sous-traitera »). Bon d’accord, faut les archiver, mais si on n’est pas trop manchot ce n’est pas le bout du monde. Et on n’est pas obligé de tous les conserver.

Je peux apporter mon témoignage perso : j’ai récupéré dans mes anciens argentiques (négatifs et diapos) des « merveilles » que je suis vachement content d’avoir aujourd’hui ! À l’époque j’en aurais bien mis quelques-uns à la benne… et aujourd’hui je me réjouis d’avoir été prévoyant. Moralité : idem avec mes Raw.

François, la revue de livres, c’est autant que tu veux.

10)
jeje31
, le 17.07.2009 à 10:46

Merci kris, c’est un argument en effet.

Encore que la préservation du fichier impose les mêmes contraintes qu’il soit raw ou jpeg. Et un jpeg “propre” (non, pas les tomates !) sera encore utilisable dans 10 ans (en tout cas autant qu’un raw).

Donc en fait, la question est avant tout celle des post-traitements que l’on veut (ou “peut”) faire ou pas.

11)
François Cuneo
, le 17.07.2009 à 15:13

Sauf que, jeje31, dans dix ans, les logiciels de développement auront progressé et tireront la quintessance de dans dix ans de tes RAW, alors que le JPEG…

12)
Guillôme
, le 17.07.2009 à 17:53

Sauf que, jeje31, dans dix ans, les logiciels de développement auront progressé et tireront la quintessence de dans dix ans de tes RAW, alors que le JPEG…

Sauf que dans 10 ans, Lightroom 9 ne traitera que les fichiers RZK remplaçant de l’obsolète format RAW avec une option de retro compatibilité au vieux format RAW uniquement en version 6 spécification 4 supporté par les anciens appareils photos numériques bon marché type EOS1z Ultimate ou D1x Infinite.

Comme Lightroom 2 ne fonctionnera plus sur Mac Os X 11.3 et qu’il n’existera plus de Mac en vente sur un jeu de processeur type x86 complètement dépassé pour installer Max Os X 10.5, le seul salut sera de croiser les doigts pour maintenir en vie ton équipement actuel.

Bon courage, car entretemps, tu te seras malheureusement rendu compte que ta sauvegarde DVD n’est plus lisible (altération du support), que ta sauvegarde disque dur ne remonte pas à une archive aussi loin et que tu as changé 10 fois de prestataire de backup online (donc la photo raw de 2003, hum hum).

Moi, je dis, il faut arrêter de se prendre la tête avec la technique et faire des photos, utiliser son matériel… Jpeg ou Raw, on s’en fout si on imprime, échange, publie, partage et envoi ses photos. Bref, qu’on les fait vivre :p

Tiens, ça me rappelle la résolution de quelqu’un ça…

13)
kris
, le 17.07.2009 à 18:34

Sauf que dans 10 ans, Lightroom 9 ne traitera que les fichiers RZK remplaçant de l’obsolète format RAW avec une option de retro compatibilité au vieux format RAW uniquement en version 6 spécification 4 supporté par les anciens appareils photos numériques bon marché type EOS1z Ultimate ou D1x Infinite.

Comme Lightroom 2 ne fonctionnera plus sur Mac Os X 11.3 et qu’il n’existera plus de Mac en vente sur un jeu de processeur type x86 complètement dépassé pour installer Max Os X 10.5, le seul salut sera de croiser les doigts pour maintenir en vie ton équipement actuel.

Bon courage, car entretemps, tu te seras malheureusement rendu compte que ta sauvegarde DVD n’est plus lisible (altération du support), que ta sauvegarde disque dur ne remonte pas à une archive aussi loin et que tu as changé 10 fois de prestataire de backup online (donc la photo raw de 2003, hum hum).

J’allais le dire.

14)
kris
, le 17.07.2009 à 18:50

N’empêche, j’aimerais bien savoir que dans dix ans je pourrai fouiller dans mes archives et y retrouver la photo oubliée. Ou repasser cette autre à la moulinette pour récupérer les reflets sur la Gibson noire de Jimmy Page.

Je crois bien que je vais me procurer une boule de cristal moi.

15)
Crunch Crunch
, le 25.07.2009 à 14:24

“Développer ses fichiers RAW”

Et bien moi, je l’ai acheté, ce bouquin. Commandé sur Payot.ch, en fait, et reçu dans les 4 jours.

Il est parfait :-) Merci François (encore) !