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Nouvelle revue de presse, cette fois dédiée à la photo

Quelques ouvrages d’importance se retrouvent dans ma boîte aux lettres ces derniers temps.

Je me propose de vous en présenter quelques-uns, avant que je n’arrive plus à suivre.

J’aimerais d’abord faire une petite remarque aux auteurs des livres photographiques: si les Américains l’intègrent sans problème, il me semble que l’humour ou une certaine légèreté manquent tout de même un peu à bien des ouvrages en langue française.

Pour sortir des livres sur la photographie, Guillaume Gete pourtant, bien français, nous a sorti un livre sur MacOSX, qui lui est non dénué de petites remarques rigolotes.

Loin d’amoindrir la crédibilité de son ouvrage important (Mac OS X, Leopard efficace, présenté ici.), les traits d’humour font passer bien plus facilement un contenu parfois difficile à assimiler.

Je trouverais assez sympathique que l’on puisse sourire également lorsqu’on lit des livres “sérieux” au niveau photographique.

Voilà.

C’est tout pour les petites piques.

Passons maintenant aux livres proprement dits.

Premier et pas des moindres, un livre à qui je dois vraiment beaucoup:

Maîtriser le D300, par Vincent Luc et Mathieu Ferrier

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Dans ce livre édité chez Eyrolles (comme tous ceux que je vais vous présenter aujourd’hui, eh oui, si d’autres éditeurs veulent que je les présente, ils n’ont qu’à m’envoyer aussi un exemplaire de presse de leurs ouvrages, ce qui arrive parfois: parce que oui, je ne peux pas tout m’acheter non plus n’est-ce pas…), Vincent Luc et Mathieu Ferrier font un travail extraordinaire, et d’une grande intelligence.

Vous me direz: oui, mais bon, le D300 a un manuel de 421 pages, tu veux quoi de plus? En quoi est-ce qu’un bouquin, fut-il de 420 pages (rigolo, presque le même nombre, contrairement à ce qui est écrit dans la fiche technique indiquée plus bas (on nous dit 350 pages), même si celles du livre qui nous intéressent sont bien plus longues), comme celui dont tu nous parles maintenant peut-il apporter quelque chose?

Eh bien mes amis, il vous faut lire ce livre, et vous comprendrez.

Je m’explique: je lis toujours les modes d’emploi.

Ceux dédiés aux D300, D3, et D700 sont riches et ma foi assez bien réalisés.

Cela ne m’a pas empêché de crocher sur plein de petites choses. Comme l’autofocus par exemple.

Je constate par exemple que je n’avais jamais bien compris l’utilisation du nombre de collimateurs (9, 21 ou 51), en rapport avec le mode de zone dynamique.

C’est embêtant, parce que cet autofocus est aussi performant que compliqué à bien appréhender. Donc ne pas bien le maîtriser, c’est perdre une grande partie du potentiel de l’appareil.

Je croyais par exemple, avant d’avoir lu ce chapitre que l’on diminuait le nombre de collimateurs pour simplifier la prise de vue, or il n’en est rien, puisqu’on choisit ici la grandeur du pavé de collimateurs qui suivent le sujet mobile.

En plus, on nous explique quand utiliser tel nombre de collimateurs, quand utiliser le suivi 3D

Bref, depuis ma lecture des nombreuses pages consacrées à cet autofocus, je crois bien que j’ai tout compris.

Et que du coup, je vais être bien plus efficace, en particulier en photographie où le sujet est en mouvement.

En fait, avec ce bouquin, c’est comme si vous aviez un spécialiste du D300 qui prenait le temps de vous conseiller, tranquillement, sur chaque élément de votre appareil, ou sur ce que vous devriez faire pour que votre boîtier soit le plus efficace possible.

Autre exemple: les Nikon permettent de stocker des jeux de réglages. Or je n’avais jamais bien compris les différences entre les jeux de type “shoot” et ceux de type “custom”.

C’est tout bon maintenant que j’ai lu le chapitre consacré à la configuration de l’appareil.

Du coup, je vais oser me risquer à effectuer ces réglages, et aussi à les sauvegarder.

Et à comprendre l’utilisation proposée de différents réglages sur différentes cartes, chacune étant dédiée à différents sujets. Faudra juste que je me gaffe à charger les réglages sur l’appareil avant de formater la carte.

En annexe, dès la page 406, on vous donne, pour faire bon poids, plusieurs exemples de configurations de ces 4 réglages. En plus, Vincent Luc, dans le même domaine, vous donne la configuration de son propre boîtier au niveau des commandes glissées dans le menu personnalisable.

Voilà, ce ne sont que deux exemples qui montrent à quel point ce livre peut me faire évoluer dans la pratique de mes reflex , mais j’en ai encore des dizaines comme ça.

Ce que je trouve exceptionnel avec tous les livres écrits par ces deux auteurs (j’en ai lu d’autres, j’en ai d’ailleurs parlé déjà sur Cuk.ch), c’est qu’ils ne se bornent pas à recopier le manuel, en disant les choses vaguement autrement, comme le font trop souvent beaucoup de leurs collègues.

Ici, Vincent et Mathieu ont bien compris que ce qui était clair dans le manuel, on pouvait le garder. Ainsi, après avoir donné des conseils sur le “pourquoi” d’un réglage, les auteurs vous disent le “comment” l’effectuer en vous renvoyant à la bonne page dans le mode d’emploi. Pourquoi réinventer la roue lorsque cette dernière est bien circulaire?

Mieux: des passages comme “contrairement à ce qu’indique le mode d’emploi du boîtier à la page 409,…”, ou “Malheureusement, la page 270 du mode d’emploi n’est pas des plus explicite…” vous permettent non seulement de corriger mais d’apporter des éclaircissements sur le pavé que vous met Nikon en accompagnement au D300.

Maîtriser le D300, c’est une valeur ajoutée à votre appareil de photos, que ce soit un D300, un D700 ou un D3.

Oui, ce qui est dit pour le D300 est à 99 % transposable pour les deux grands frères de ce dernier.

Ce qui ne joue pas, ce sont les références aux pages du mode d’emploi de ces derniers bien évidemment, mais ce n’est pas très grave, on a vite fait de s’y retrouver malgré tout.

Bref, du très grand art, que je ne peux que conseiller à tout possesseur d’un boîtier haut de gamme Nikon.

Tous les renseignements sur ce livre, vous les trouverez ici.

Vous trouverez la table des matières, les liens vers des extraits de ce livre, et plein de choses qui pourraient encore vous intéresser.

Prix du livre: 28.41 € pour 420 pages (comme dit plus haut, une erreur s’est glissée dans la fiche technique donnée ci-dessus).

Auriez-vous compris qu’il s’agit là d’un excellent investissement? Pour moi, c’est plus que ça: une bible, dont je lis quelques pages chaque soir. Et je n’ai pas encore fini.

Passons maintenant au second livre de cette revue de presse:

Capture NX2 pour les photographes, par Philippe Rcordel

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Désolé, encore du Nikon (c’est le dernier pour ce jour, je vous promets), mais je n’y peux rien, c’est comme ça.

Capture NX2 a été présenté en détail ici par notre ami Zit.

Un très beau logiciel, qui n’a que deux défauts: ne reconnaître que les RAWs de Nikon et ne pas être gratuit pour les possesseurs de ces boîtiers.

Et puis un troisième défaut peut-être: ne pas être d’une limpidité absolue au niveau de la logique de travail (quoique, une fois qu’on s’y est mis, on trouve ça génial), ce qui fait que le logiciel peut poser quelques problèmes de prise en mains.

Cela dit, le logiciel est livré avec un mode d’emploi de 262 pages au format PDF, très bien fait, plein d’illustrations, donc avant tout achat du livre dont je vous parle, veuillez je vous prie parcourir la chose.

Si vous voulez en savoir plus, que la pédagogie des auteurs ne vous satisfait pas, ou que sais-je, si vous ne supportez pas de lire un livre à l’écran, alors, le livre de Philippe Ricordel est fait pour vous.

Tout y est abordé, des avantages et désavantages du NEF (Raw Nikon), en passant par le diagnostic des images (original comme chapitre, parce qu’avant de corriger une image au feeling, il est souvent nécessaire de fixer “scientifiquement” ce qui ne va pas), en passant par l’explication approfondie de chaque module du logiciel.

Près de 50 pages sont consacrées aux révolutionnaires U-Points, a priori faciles à mettre en oeuvre, mais qui sont plus compliqués qu’il n’y paraît dès qu’il s’agit de les combiner pour arriver à nos fins.

Pointu, précis, très clair, bien illustré (malgré les captures d’écran faites sur Windows!:-), les exemples photographiques étant bien imprimés, ce qui permet de bien voir les effets donnés aux images) Capture NX 2 pour les photographes sera un guide bienvenu qui pourra satisfaire aussi bien le débutant que l’amateur averti.

Tous les renseignements sur ce livre avec divers extraits ici.

  • Nombre de pages: 290
  • prix: 34.20 €

Mon seul problème avec ce livre? C’est que si j’aime beaucoup Capture NX2, je “fonctionne” sur Lightroom.

Ce qui m’amène à parler très rapidement du livre suivant:

Les nouveautés de Lightroom 2.0 de Gilles Théophile

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J’ai dit que j’allais en parler rapidement.

Oui, cela simplement parce que j’ai déjà décrit ce livre qui n’était sorti qu’au format e-book (PDF quoi…) le 6 août 2008.

Une petite merveille qui est maintenant disponible au format papier, pour ceux qui préfèrent la lecture d’un vrai bouquin.

Moi j’ai les deux, le bonheur total quoi!

Tous les renseignements et les extraits du livre à lire ici.

  • Nombre de pages: 187
  • Prix: 19 €

Le livre suivant est consacré aux débutants sur Phtoshop CS 3.

Il s’agit de Photoshop CS3 Spécial débutants, ce Cyril Bruneau et Bernard Richebé, dans la collection “Cahiers d’exercices”.

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Je ne vais pas m’étaler sur ce chouette bouquin qui fait partie de l’excellente collection “Cahiers d’exercices” dont j’ai déjà dit le plus grand bien ici.

D’une part, chacune des 40 leçons (des recettes pour l’auteur) est détaillée sur 2 à 4 pages, avec de nombreuses illustrations marquant les étapes, et se trouve être très facile à appréhender.

De vrais pas à pas très simples et pas trop longs, qui ne décourageront personne, et qui abordent toutes sortes de sujets, comme récupérer une photo surexposée, supprimer les éléments indésirables, redresser une image, réaliser une caricature et j’en passe.

À ceci s’ajoute un CD avec les images initiales et finales, après correction. À vous de partir des premières pour voir si vous arrivez à faire aussi bien que montré sur les secondes.

La promesse faite de vous initier à Photoshop en douceur est assurément tenue.

Du beau travail.

Reste que la CS4 sort ces jours.

Que va devenir cette collection? Va-t-elle être mise à jour?

Tous les renseignements et extraits sur ce livre ici

Nombre de pages: 107 Prix du livre et de son CD: 19.90 €

Dernier livre pour aujourd’hui, qui ne touche ni un boîtier, ni un logiciel cette fois mais un domaine photographique:

Photographier la nature en macro, guide pratique, par Gérald Blondeau

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S’il est un domaine (ce n’est pas le seul, ce n’est pas le seul, je sais) que je ne maîtrise pas, c’est bien la macrophotographie.

Au point que je n’ai jamais véritablement compris comment fonctionne mon objectif spécialisé, un 105 Macro de chez Nikon.

Enfin, disons que j’arrive à photographier avec lui, mais je suis toujours gêné, ne sachant pas vraiment comment m’y prendre.

Et ce malgré le (toujours) excellent article de notre ami Zit, que vous pouvez lire ici.

Ce guide tombait à pic.

Passé un premier chapitre moyennement intéressant puisque l’auteur nous dit soit trop peu, soit pas assez des différents appareils et matériels, nous montrant par exemple les trois types de boitiers (compact, reflex, ou bridge), comme si nous ne les connaissions pas, et ne montrant pas le matériel spécifique à la macrophotographie, comme les bonnettes, les tubes rallonges, décrits pourtant) nous entrons dans une démarche ma foi fort intéressante.

En effet, l’auteur nous fait découvrir la macrophotographie par la pratique (comme promis en titre) d’une manière originale puisque le livre est découpé en mois.

On commence ainsi logiquement en janvier, en photographiant par exemple des cristaux de glace sur une vitre, on passe en février avec, entre autres choses, les salamandres, et on suit avec les pousses printanières de mars.

Ces exemples sont richement illustrés, et légendés, avec tous les renseignements techniques en rapport avec le sujet présenté.

Je trouve juste un peu dommage que Gérald Blondeau se borne à montrer le résultat final (la photo donc), avec sa légende certes, mais sans ce qu’on trouve souvent dans d’autres bouquins: les plans de prise de vue, sur lesquels on voit la position de l’appareil, du sujet, et surtout des flashs et des diffuseurs. Certes, sur les très nombreux cas étudiés, on en trouve 4 dans tout le livre, de ces plans. C’est à mon avis très insuffisant.

C’est bien joli d’écrire ” les deux flashs sont situés à 45°”, mais avec des petits dessins, comme on en voit souvent dans d’autres livres, c’eût été encore mieux!

Autre exemple: on vous explique que la photo x a été prise avec le Macrolight de Novaflex. C’est bien joli, mais si on nous le montrait, ce serait peut-être une bonne idée…

Parce que je suis peut-être nul, mais je ne sais pas ce qu’est ce truc. Vous me direz qu’avec Google, je peux le trouver facilement. Mais est-ce vraiment le but recherché? Et puis faites l’essai, même une fois trouvé, pas évident de comprendre comment fonctionne la chose.

Pire: on parle de macrophotographie dans tout le bouquin, mais on ne nous présente même pas un flash annulaire. On pourrait aussi nous parler du matos existant (par exemple le génial système Nikon, qui permet de tout faire), non, rien. On ne voit que trois tout petits objectifs, sur une toute petite photo.

Alors je veux bien qu’il ne faut pas que la technique écrase la pratique, surtout dans un guide… pratique, mais tout de même!

Bref, un livre qui se lit facilement, qui nous donne plein de bonnes idées, qui nous apprend des techniques, certes, mais qui n’est à mon sens pas vraiment abouti.

Et c’est bien dommage parce que l’originalité est tout de même au rendez-vous.

Tous les renseignements et extraits sur ce livre ici.

  • Nombre de pages: 200
  • Prix: 19.90 €

Voilà, ça suffat comme ci, comme dirait l’ami Séchan, je vous souhaite un bon week-end.

16 commentaires
1)
Saluki
, le 07.11.2008 à 00:32

je vous souhaite un bon week-end.

je n’y vois que de l’ironie: je travaille…

Hélas pas le temps de lire ces merveilles. Quand je vois la pile de bouquins en retard, je me sens analphabète ;>(

2)
Caplan
, le 07.11.2008 à 08:30

Je n’y connais pas grand chose, mais j’ai l’impression que la plupart des couvertures de livres consacrés à la technique photo sont à ch…

Je verrais bien un titre du genre: “Le fatras pour débutants”!

Pour le reste, le contenu est certainement très intéressant…

Milsabor!

3)
THG
, le 07.11.2008 à 08:31

François, je ne sais pas si les auteurs américains ont plus d’humour mais, en tant que traducteur, il y a aussi leur épouvantable blabla d’autocongratulation, parfois sur des dizaines de pages… Sans parler de l’étalage de leur carrière et les remerciements sans fin. Il est clair que le lectorat Français demande moins de show à l’américaine et un peu plus de concision :-)

Merci en tout cas pour ce nouveau petit coup de pub.

4)
Guillôme
, le 07.11.2008 à 10:08

Je n’y connais pas grand chose, mais j’ai l’impression que la plupart des couvertures de livres consacrés à la technique photo sont à ch…

Oui, j’ai pensé la même chose sans oser le dire :D

Comment peux-t-on parler photo de façon légitime avec des couvertures aussi pourries!

5)
ysengrain
, le 07.11.2008 à 10:23

en tant que traducteur, il y a aussi leur épouvantable blabla d’autocongratulation, parfois sur des dizaines de pages… Sans parler de l’étalage de leur carrière et les remerciements sans fin. Il est clair que le lectorat Français demande moins de show à l’américaine et un peu plus de concision

Bien vu Gilles, et pour confirmer ton propos, je pense pouvoir décerner la palme à Scott Kelby.

6)
Bigalo
, le 07.11.2008 à 10:29

François,

Content de voir une critique sur « Photographier la nature en macro ». L’auteur est un vieux copain, (Gérard et non Gérald) Blondeau.

En effet, l’auteur nous fait découvrir la macrophotographie par la pratique (comme promis en titre) d’une manière originale puisque le livre est découpé en mois.

J’avais commencé par parcourir le texte en diagonale, et j’ai voulu réagir ainsi quand j’ai lu ce passage : « Pas si original que cela : il y a quelques années, Gérard Blondeau avait sorti un ouvrage intitulé « La macro au fil des saisons » », quand j’ai réalisé que le bouquin que tu critiquais était de Gérard. Je ne connais pas celui-ci. J’ignore s’il s’agit de quelque chose de nouveau, ou d’une réédition (mise à jour ou non) du précédent avec un nouveau titre.

La Macrolight de Novoflex est une boite à lumière avec 3 flexibles de 50 cm, contenant des fibres optiques, permettant d’amener la source de lumière précisément où on le veut. Il est possible de fixer à chaque extrémité des flexibles un filtre de couleur et/ou une lentille convergente permettant de concentrer la lumière conduite par les fibres optiques sur une zone limitée, ce qui permet d’en augmenter l’intensité.

Le Macrolight comporte une ampoule classique comme source de lumière, mais on peut, grâce à un miroir, lui substituer un flash maintenu à l’aide s’un support fourni.

Pour de très petits sujets, on peut avoir de la lumière précisément où on le souhaite, sans causer de dégâts liés à la température, car les fibres optiques amènent la lumière, pas la chaleur. C’est important quand le sujet est vivant (végétal, insecte, …)

La lumière de la lampe est continue, et laisse donc tout le temps de peaufiner la position des flexibles. Avant de déclencher, on bascule éventuellement sur un flash, TTL de préférence.

C’est un accessoirement extrêmement pratique, mais malheureusement très cher. On trouve des accessoires du même type dans les fournitures pour labos (scientifiques, pas photo). C’est alors un peu moins cher, mais on perd :

– La possibilité d’ajouter des filtres sur les fibres optiques, et:ou des lentilles convergentes pour focaliser la lumière émise

– Le fait de pouvoir utiliser un flash comme source de la lumière transportée par les fibres optiques.

7)
THG
, le 07.11.2008 à 10:33

Bien vu Gilles, et pour confirmer ton propos, je pense pouvoir décerner la palme à Scott Kelby.

C’est vrai, mais reconnaissons quand même à ce Monsieur, et à d’autres, son professionnalisme et son enthousiasme pour partager son savoir et ses connaissances. Il faut reconnaître que dans certains domaines, les anglo-saxons font preuve d’une efficacité et d’un seens de la com redoutables.

8)
François Cuneo
, le 07.11.2008 à 11:01

Gilles, pour moi, le fait de mettre un peu d’humanité dans un texte en parlant par exemple de sa famille est une chose importante.

Et Bernard le Du le dit souvent, il faut en plus, lorsqu’on teste, écrire JE et pas nous, par exemple. Histoire de montrer qu’on s’implique, quitte à passer pour un gars qui veut parler de lui.

Bigalo, tu es d’accord que ce n’est tout de même pas tout à fait normal qu’on nous parle de ce Macrolight sans même nous expliquer de quoi il en retourne? C’est un peu tout comme ça dans ce livre. Dommage, parce que quelques explications en plus, et il était parfait!

9)
THG
, le 07.11.2008 à 11:19

Moi, ma famille, je l’ai mise dans les illustrations du livre…

10)
Marcolivier
, le 07.11.2008 à 11:32

Ahhhhhhhhhh, ça faisait longtemps que je cherchais un livre de qualité sur le D300, et ibid sur NX2. Et comme lire à l’écran plus que quelques pages ça me saoule… Bref, c’est commandé. Meci beaucoup François.

11)
Bigalo
, le 07.11.2008 à 11:34

Bigalo, tu es d’accord que ce n’est tout de même pas tout à fait normal qu’on nous parle de ce Macrolight sans même nous expliquer de quoi il en retourne ?

Tout à fait d’accord. C’est pour cela que j’ai essayé de fournir un complément d’info.

Quant au bouquin lui-même, j’ai besoin de passser chez Eyrolles ; j’y jetterai un coup d’œil.

12)
Biblio
, le 07.11.2008 à 18:39

Moi j’aimerais bien un “E-Book” de Vincent Luc qui s’appellerait “Du D300 au D700” qui nous montrerait les avantages qu’on peut tirer du plein format dans certaines conditions (et vice versa) en complément des modifications “techniques”.

13)
THG
, le 07.11.2008 à 18:42

Je ne suis pas persuadé qu’un bouquin sur le passage d’un D300 au D700 soit utile, vu la subjectivité du sujet, et vu le fait que passer au plein format ne présente finalement que des avantages largements discutés sur le Web… (tandis que d’autres s’en servent et font des photos).

14)
fxprod
, le 07.11.2008 à 20:31

Je verrais bien un titre du genre: “Le fatras pour débutants”!

cela existe le nom ” la photo numérique pour les nuls”

15)
Biblio
, le 07.11.2008 à 21:02

Je ne demande pas des livres objectifs surtout pour la prise de vue. C’est utile au début, mais ensuite c’est découvrir d’autres manières de photographier qui m’intéresse (ok, on sort du bouquin purement technique, mais finalement c’est cela que Vincent a apporté par rapport à ses prédécesseurs).

16)
zit
, le 09.11.2008 à 10:52

Salut, juste un petit mot sur l’humour, j’ai travaillé comme “superviseur technique” (?) à la traduction d’un livre anglais sur la photo numérique, il y en avait bien besoin, le pauvre traducteur devait être plus habitué à Joyce et Shakespeare qu’à un obturateur et une souris, des paragraphes entiers étaient incompréhensibles (tout simplement parce qu’il ne savait pas de quoi il s’agissait). Et la première remarque que j’ai fait à l’éditrice, ça a été : mais pourquoi, alors que la version originale est très drôle, la traduction devient–elle si austère. Réponse qui m’a “troué” : mais parce que Larousse a demandé à gommer ce côté là… Du coup, on se retrouvait avec un truc assez lénifiant, voire barbant. Misère…

z (il faut fusiller les gens qui n’ont pas d’humour, je répêêêêêêêête : après les avoir torturés longtemps à coup de Monty Python, de Pierre Dac, de Marx Brothers et de Desproges ;o)