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Ami photographe, prends ton pied!

À l’heure où tout appareil compact n’ayant pas de stabilisateur d’image est vu comme un “nanard”, où même les reflex disposent, soit d’un dispositif interne de stabilisation (Olympus, Pentax/Samsung, Sony), soit de stabilisateurs intégrés aux optiques (Canon, Nikon), je vais, au risque de passer pour un conservateur indécrottable, vous entretenir d’un dispositif de stabilisation d’image entièrement mécanique, compatible avec tous les appareils sortis depuis plus de 100 ans:

Le trépied.

Pourquoi prendre son pied?

D’abord, c’est lourd et encombrant, et puis je ne sucre pas encore les fraises, et puis mon SuperZoomDeLaMortKiTue, il a un stabilisateur d’image intégré de quatrième génération, c’est dire si je n’en ai pas besoin!

  • En premier lieu, un pied permet d’éviter le flou de bougé, une règle non absolue et absolument pas scientifique (mais plutôt empirique et qui “marche” bien) dit:

    Il faut que le chiffre de la vitesse d’obturation de l’appareil soit supérieur à la longueur de focale de l’objectif pour avoir une photo nette à main levée (en format 24×36).

    Un exemple: avec un 300 mm, la vitesse d’obturation doit être au moins au 1/500e de seconde pour être sûr d’avoir une image nette. Un autre exemple: avec un 28 mm, la vitesse d’obturation doit être au moins au 1/30e de seconde pour être sûr d’avoir une image nette. Il va sans dire que cette règle ne s’applique que pour le risque de flou de bougé du photographe, si vous obturez, avec un 28 mm, au 1/30e de seconde pour un sujet en mouvement (enfant, téléspectateur, cheval au galop, formule 1, cycliste un intrus se cache dans cette liste, saurez–vous le débusquer?;o), même si l’arrière-plan est bien net, le sujet, lui, risque d’être bien flou…

    Pour le flou de bougé, un stabilisateur d’image peut être utile, puisqu’il permet de “gagner” entre deux et trois vitesses (en fonction du degré de tremblote du photographe, de la vitesse du vent et de l’âge du capitaine). Par exemple: avec un 300 mm, la vitesse d’obturation qui devrait être au moins au 1/500e de seconde pour être sûr d’avoir une image nette peut descendre au 1/125e, voire au 1/60e de seconde, c’est quand même super! Mais évidemment, ça n’empêchera pas le sujet, s’il est en mouvement, d’être complètement flou…

    Évidemment, je ne parle pas ici aux surhommes; j’en connais un qui va dire: “Moi, avec mon Minox, je peux faire des photos nettes au quart de seconde!” Un autre :”avec le Leica, pas de soubresaut du miroir, je descends sans problème au 1/8e de seconde!”. Primo, les “gens normaux” ne peuvent pas réaliser de telles prouesses, et deusio, je demande quand même à voir la netteté des photos agrandies en 30×45…

  • Le trépied permet des pauses vraiment longues: en dessous du 1/8e de seconde, le stabilisateur n’est plus efficace, et pour les poses de plusieurs secondes, voire de plusieurs minutes, il faut vraiment que l’appareil soit bien calé.

    Attention! Si votre optique est équipée d’un stabilisateur, pensez bien à le couper avant une pause longue sur trépied, j’en ai fait l’expérience sur une pause de 30 secondes: les images avec stabilisateur étaient complètement floues!

  • Le trépied permet de se reposer les bras! Bin oui, quand on n’utilise pas loin de 3 kg de matos (par exemple: un 5D avec son grip et un 2,8/70-200), si c’est un trépied ou un monopode qui se charge de porter, c’est quand même moins fatigant, à la longue…
  • Dans le cas d’un portrait posé, le trépied permet d’établir une meilleure relation avec son modèle: plus de choses peuvent passer par le regard. Et, si on “fabrique” son éclairage, on peut changer un réflecteur de place sans perdre son cadrage.
  • Et surtout, le trépied permet de bien cadrer: rien que le fait de devoir le poser, choisir sa hauteur, fixer l’appareil, régler la rotule demande une concentration plus importante que quand on porte simplement l’appareil à son œil. En plus, comme le cadre ne bouge pas, on peut prendre le temps de bien faire le tour du viseur, de contrôler sans regarder dans l’appareil qu’on n’a rien oublié, voire de se déplacer de quelques pas, soit pour voir si ça ne serait pas mieux ailleurs, soit pour enlever une canette et un papier gras qui traînent en bas à droite, soit pour changer la position de la main de son modèle… Parfois, même, ça permet de ne pas déclencher, parce que tout compte fait, bin la photo n’avait aucun intérêt!

Quelques exemples de trépieds (et d’autres dispositifs de stabilisation).

  • Un gros pépère, le pied “salon” :

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Désolé si c’est un peu lourd à charger, mais je les trouvais vraiment trop choux.

Évidemment, il faut quand même un grand “salon” pour loger un pareil engin, mais à l’usage, c’est vraiment formidable: avancer et reculer d’un tour de manivelle, monter de 40cm à 2,50m d’une pichenette, quand on y a goûté, c’est difficile de s’en passer. Certains modèles sont même équipés d’un plateau porte accessoires: le grand confort!

Il supporte ici sans broncher une Toyo 20×25 (cm!) d’un peu moins de 10 Kg sans l’optique!

Avantages: très simple à manoeuvrer, il est équipé de roulettes qui permettent de le déplacer sans effort. La colonne permet des prises de vues de 40 cm à 2,75m en toute sécurité et en conservant la stabilité. La potence peut tourner sur 360° et se déplacer latéralement de près d’un mètre (très pratique pour les repros).

Inconvénients: un peu lourd (80kg, pas idéal pour un trecking;–), très coûteux (2000€), encombrant…

  • Un autre beau bébé, le trépied de studio (Manfrotto 028):

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Un trépied de studio en extérieur, supportant un joli “Blad”.

Idéal pour la prise de vues en studio (comme son nom l’indique), mais il peut s’avérer nécessaire de l’emmener pour des prises de vues en extérieur quand on utilise du matériel lourd (chambre, gros moyen–format, super–téléobjectif…). La première section, avec un double jambage et l’entretoise garantissent une stabilité optimale. La colone centrale, sur crémaillère est utilisable sans états d’âme, car d’une section importante.

Avantages: solide et stable, monte haut (2,27m), pas (trop) cher (275€).
Inconvénients: lourd à trimballer en extérieur (plus de 4 kg, sans rotule), ne descends pas plus bas que 77cm, réglage de hauteur un peu long.

  • Indispensable avec un téléobjectif, le monopode:

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Manfrotto 681B et 234 (on voit bien l’idée: il s’agit de faire un trépied avec ses deux jambes et le monopode).

Léger et peu encombrant, c’est l’accessoire indispensable pour les longues focales (plus de 200 mm). Déjà, à l’instar du stabilisateur, il permet de “gagner” 2 à 3 vitesses d’obturation, mais surtout, c’est lui qui porte! Et comme un téléobjectif, non content d’être très onéreux, c’est aussi très lourd…

Un téléobjectif est normalement toujours équipé d’un collier de pied, c’est sur lui que l’on va fixer le monopode, de manière à être au centre d’équilibre de l’ensemble, en plus, c’est très pratique pour passer en cadrage vertical.

Très important: la rotule. Un monopode doit absolument en être équipé, l’idéale étant la Manfrotto 034, qui ne propose qu’un seul mouvement, mais, ça tombe bien, c’est celui dont on a besoin. En effet, le monopode ne s’utilise pas “planté” verticalement, mais légèrement incliné vers soi, de manière à former un “trépied” avec vos deux jambes, c’est là que la rotule est pratique, puisqu’elle permet de récupérer l’horizon…

Avantages: Très léger et peu encombrant, permet de “gagner” 2 à 3 vitesses, pas trop cher (moins de 100€ avec la rotule).
Inconvénients: ne tient pas debout tout seul!

  • Idéal en déplacement, le trépied carbone:

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Le Velbon Sherpa Pro CF–640 (je sais, un Leica sur un trépied, ça peut paraitre inapproprié, mais en paysage, je l’utilise beaucoup, pour fignoler le cadrage)

Là, certains vont penser que c’est un luxe inutile, mais je peux vous garantir que c’est un investissement dont je suis vraiment ravi. Avec moins de 2 kg équipé de sa rotule magnésium, je n’hésite plus à prendre mon pied, comme c’était le cas avant. Et quand je le prends, je souffre beaucoup moins à la fin de la journée (je suis cycliste/piéton, sans sherpa). De plus, les finitions sont vraiment superbes, et les serrages sont très efficaces. Le système de verrouillage des jambes est assez génial: d’un seul mouvement, on peut libérer toutes les sections, et ensuite, une petite gorge à l’intérieur des tubes empêche la rotation pour faciliter le serrage, et c’est pareil pour le rangement: on désserre toutes les bagues, on rentre les sections et on peut resserrer toutes les bagues d’un coup (ceux qui ont peiné, trépigné et insulté leur Gitzo me comprendront, d’ailleurs, Gitzo vient de reprendre l’idée;^).

Je trouve que Velbon, sur cette gamme de produits, est d’un exellent rapport qualité/prix: les finitions sont remarquable (bien mieux que du Manfrotto), et le prix est deux fois plus léger que celui d’un Gitzo.

Par ailleurs, en plus de sa légèreté, le carbone est extrêmement rigide, ça fait donc un trépied plus stable, moins sensible aux vibrations (il y a une “zone de turbulence”, en gros entre 1/15e et 1/2 de pose où les vibrations de l’appareil –relevage du miroir et remontée de l’obturateur– peuvent générer un léger flou de bougé). Ce qui est très agréable sur ce trépied, c’est le gainage néoprène des trois tubes externes: ça amorti les chocs (le carbone, bien qu’ayant une exeptionelle résistance à la torsion, est malheureusement assez “cassable”), et la prise en main est très bonne, d’ailleurs, quand je suis en ballade photographique, je marche avec le trépied déplié, l’appareil fixé dessus, et hop, sur l’épaule: là le gainage néoprène est un plus appréciable. Ce que j’apprécie aussi, dans ce modèle, c’est sa très petite taille replié (48 cm), je peux facilement le ranger dans un sac à dos (c’est plus discret…).

Avantages: poids plume, très stable, compact, le prix (pour un carbone), la qualité de fabrication.
Inconvénients: trop léger (s’il y a du vent, un crochet à fixer sur la colonne pour lester, ou un sac porte cailloux sont d’ailleurs fournis;o), ne monte pas très haut, fragile, le prix (450€ avec la rotule magnésium, quand même).

  • Pratique et peu encombrant, le Super Clamp:

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Le Super Clamp Manfrotto 035 avec une rotule Tilt Top 155 munie de sa barrette (surmonté d’un vieux F2 avec son 2,8/20).

Petit accessoire de studio, ni trop lourd (410 gr), ni trop encombrant, il est très pratique pour se fixer sur une rampe, une porte, une rambarde, un bord de table, un guidon de vélo ou tout autre support d’un diamètre inférieur à 55 mm. La rotule permet une inclinaison dans toutes les directions et a une très bonne capacité de charge ( le Super Clamp quand à lui peut supporter 15 kg). À avoir dans tous les fourre-tout!

Avantages: léger, compact, bon marché, c’est vraiment un accessoire indispensable (d’autant plus qu’on peut l’utiliser aussi pour porter un flash, un réflecteur ou n’importe quoi)
Inconvénients: (bon s’il faut vraiment trouver quelque chose qui ne va pas) une livre de plus dans le fourre–tout.

  • Un petit nouveau, assez génial, le GorillaPod:

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Un GorillaPod SLR-ZOOM en action à l’aube, il supporte sans broncher les presque 2 kg d’un Nikon F4s avec un 105 macro (ne hurlez pas à la vue de mon F4 Gordini, les bandes jaunes, sur le boîtier et l’objectif, ça n’est pas que pour faire fuir l’ennemi, c’est aussi très pratique quand je souhaite changer d’objectif dans le noir, à un concert, par exemple…).

Très léger (241 g sans rotule), ce petit accessoire peut supporter jusqu’à 3 kg quand même. On peut l’utiliser pour s’agripper sur un cylindre (genre branche d’arbre, rambarde) ou tout autre support qui conviendra (grilles, poignée d’un Mac Pro), on peut aussi l’utiliser tout bêtement comme un trépied classique, sur une surface plane ou irrégulière. Quand même assez cher en boutique (65 €), surtout comparativement au prix en ligne chez son fabriquant (54.95 $)! D’autant plus qu’il est dépourvu de rotule (pourtant indispensable).

En tout cas, c’est un petit machin que j’ai eu beaucoup de plaisir à adopter, sur lequel j’ai monté une petite rotule Novoflex de très bonne facture. Les jambes sont composées de petites boules entièrement articulées les unes avec les autres et cerclées d’un matériau anti–dérapant. Ça tient assez bien, même avec 3 kg, vraiment sympa!

Avantages: léger, peu encombrant, s’agrippe assez facilement sur tout support.
Inconvénients: pas donné, fourni sans rotule

  • Indispensable, le trépied de table:

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Trépied de table Manfrotto 209 avec rotule 482 (stoïque malgré le poids de cette Speed Graphic)

Poids plume (230 g l’ensemble), il supporte malgré tout 2 kg sans problème! Il ne gêne pas, même dans une poche et peut s’avérer très pratique en balade. Il s’utilise, comme son nom l’indique, sur une table, mais aussi, assez commode, en appui contre un mur. Très utile, l’allonge 259B permet de le faire grandir de 13 à 25 cm, pour un surpoids et un surcoût négligeables.

Avantages: léger, peu encombrant, pas trop cher, increvable.
Inconvénients: pas donné non plus, quand même (75 € le kit avec le pied, la rotule, l’allonge et un sac de transport)

  • Un truc extra: la ficelle stabilisatrice

(Cuk Gadget N°2):

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Moins cher, peux pas faire!

Il suffit de couper un bout de ficelle d’environ 40 cm de plus que votre taille, d’y faire un nœud coulant (me demandez pas quel type de nœud, je ne suis pas marin, du moment que ça tient!) pour pouvoir y passer le pied, et régler la bonne hauteur

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et d’accrocher à l’autre bout une vis au pas de l’appareil

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que l’on vient visser sous son boîtier

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après, il faut que la corde soit bien tendue pour viser et c’est parti, deux à trois vitesses de gagnées! (on me souffle que c’est un grand photographe africain qui a inventé cette technique, savez–vous son nom?)

Avantages: pô cher, super léger et tient dans la poche, parfait pour les lieux où le trépied est interdit (musées, etc..).

Inconvénients: pas très hygiénique, de la remettre dans la poche après un reportage dans une porcherie…

Conseils pour l’achat d’un trépied.

C’est un accessoire qui ne doit pas être acheté au rabais: les modèles “bas de gamme” ont une durée de vie très courte: l’alu est très fin (pied branlant), les systèmes de verrouillage serrent mal (appareil qui pique du nez), tout ce qui peut l’être est en plastique moulé (qui casse net, rien qu’en le regardant), la tête n’est pas amovible (si elle casse, ou si vous perdez seulement la platine rapide, c’est le tout qui part à la benne).

Donc choisissez du bon matériel dès le départ, d’autant plus que c’est un investissement qui peut durer plusieurs dizaines d’années.

  • Il ne doit pas y avoir de jeu, quand le trépied est déployé et que l’on appuie dessus.
  • La tête doit pouvoir se changer pour passer d’une rotule “ball” (maniable mais peu précise) à une tête 3 D (plus longue à mettre en œuvre, pour des cadrages “au cordeau”), d’une tête fluide (pour la vidéo) à une tête panoramique (pour du QTVR, évidemment).
  • Les réglages (serrage de jambes, de la colonne, d’inclinaison ou de rotation sur la tête) doivent tenir fermement sans avoir à serrer comme une mule (je trouve l’usinage Manfrotto “perfectible” sur ce point, alors que Velbon –gamme professionnelle– ou Gitzo sont magnifiques)
  • Pour un trépied “à tout faire”, l’inclinaison, selon au moins 3 angles différents des jambes, indépendamment l’une de l’autre est indispensable:

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Pour s’appuyer sur un parapet …

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...ou descendre le plus bas possible (après avoir enlevé de la longueur de colonne).

  • La taille maximum (sans colonne, en général branlante) doit être confortable, bien que l’on utilise rarement un trépied à hauteur d’œil (pour un portrait en pied, afin de préserver l’horizontalité, l’appareil devra être à environ 90 cm). En paysage, on a parfois besoin de monter assez haut pour supprimer un premier plan gênant.
  • Prévoyez le léger surcoût d’un sac de transport adapté (les systèmes de fixation prévus sur les sacs photos sont assez faibles et prévus de toute évidence pour des trépieds factices en polystyrène, et c’est encombrant: j’ai failli une fois assommer tous les passagers d’un avion, en remontant l’allée avec le trépied accroché sous le sac!;–)

Bon voilà, j’ai à peu près fait le tour, si vous avez d’autres trucs du genre “stabilisateur en chanvre tressé”, merci de nous en faire profiter!

J’espère en tout cas vous avoir convaincus de l’importance de prendre votre pied… ;–)

45 commentaires
1)
Alexandre
, le 04.10.2007 à 00:14

ça tombe bien… moi qui suis à la recherche d’un trépied!

zit, merci pour l’excellent article, je crois que je vais m’acheter le velbon sherpa pro cf-640 pour aller avec mon 400D

2)
fxprod
, le 04.10.2007 à 00:26

J’ai toujours pris mes pieds, dont un gitzo—> smiley lourd

Dans mon studio j’avais un pied linhoff sur roulette comme sur l’animation et étant donné que j’ai toujours eu peur des échelles je grimpais dessus pour faire mes prises de vues en plongée, la tête des clients, je vous dis pas, ils attendaient que je tombe.

3)
FT'e
, le 04.10.2007 à 00:39

Coussinet de millet. C’est tout con, c’est pas lourd, c’est biodégradable, en cas de grosse fringale ça peut éventuellement se manger… et ça s’adapte à n’importe quel appareil.

Merci pour le tour d’horizon :)

4)
Aigle4
, le 04.10.2007 à 00:45

Bonsoir,

Merci pour cet article Zit et nous inciter à prendre notre pied avant d’aller au lit.

Sans rire, un accessoire vraiment indispensable le pied.

Je possède un Gitzo depuis 30 ans, il ne bouge pas. Enfin, j’entends qu’il vieillit bien.

Remarque il ne bouge plus trop au sens propre, car c’est lourd un Gitzo. Je l’emporte encore de temps en temps, mais ne le trimballe plus dans le sac à dos depuis un moment déjà.

Comme j’ai un bridge Canon stabilisé, l’âge avançant, c’est pratique. Je ne sucre pas encore les fraises, mais il me manque malgré tout un monopode.

Surtout pour faire des photos de bateaux modèles réduits offshore.

Tu n’as pas mentionné que normalement avec un pied et en position pause, photo de nuit par exemple il est bon d’utiliser un déclencheur souple, pour ne pas transmettre les vibrations à l’appareil en déclenchant.

Tu me diras que j’ai l’air fin avec mon déclencheur souple étant donné que sur mon S5, il n’y a pas de petit pas de vis pour le fixer au déclencheur.

Sur les reflex numériques qu’en est-il d’ailleurs ?

Il y a aussi un petit article très pratique vendu chez Photim, la boutique de ” Chasseur d’Images ” le pod. Pas encombrant, il remplace aisément un petit pied.

Je ne connaissais pas le coup de la ficelle, merci. ;=)

5)
levri
, le 04.10.2007 à 01:24

Bien vu l’article !

Un pied c’est in dis pen sa ble ! (j’ai presque tous les pieds de tes photos avec des variantes de marques, sauf le 1er (des Gitzo, des Manfrotto et un Linhof) :D

et si, si, avec un peu de sang de mutant on arrive à tirer un cliché net au 1/4 de sec avec un 28mm … (l’entrainement en “tir libre” ça aide)

6)
François Cuneo
, le 04.10.2007 à 06:08

La plupart des reflex numériques peuvent recevoir un déclencheur souple, mais pas à vis. C’est une prise propriétaire, ce qui est bien embêtant. J’ai même deux déclencheurs souples: un pour le 400D et un autre pour le 5D. Ils sont différents.

Pour le pied, j’ai un Manfrotto. J’ai voulu utiliser une superbe tête de type rotule ronde. Je vais repasser à une bonne vieille tête 3D, cette rotule étant certes rapide, mais comme tu le dis, très peu précise.

Sinon, impressionnant comme tour d’horizon, merci!

7)
ptisuix
, le 04.10.2007 à 07:28

Merci pour l’article. Il me faut un pied d’ici samedi, et ça m’ouvre des perspectives.

P.

8)
Caplan
, le 04.10.2007 à 07:32

Magnifique tour d’horizon, Zit! (360°)

Trop fort le Cuk Gadget N° 2!

Milsabor!

9)
fxprod
, le 04.10.2007 à 07:49

Cuk gadget n° 3

Dans la liste si bien fournie de zit il a oublié le bean-bag, sac en tissus contenant des billes de frigolith ou autres, certains y mettent des haricots sechés, allez savoir pourquoi.

Les avantages du bean-bag, fabrication maison, son poids nul, sa modularité, se tasse comme on veut, épouse la forme du matériel, le protège et sert d’oreiller pour la sieste.

10)
Saluki
, le 04.10.2007 à 08:05

Si j’ai bien compris tu vas à pied(s). Merci pour cette revue de détail !

Je connaissais le coup de la ficelle, mon grand’frère l’utilisait, mais je dois dire que je l’avais évacué de l’esprit. Merci de m’avoir rajeuni de vingt trente ans !

Dans le style “plus rigide c’est pas possible” j’ai un pied de théodolite Kern (tiens, c’est helvétique) en polycarbonate. Seulement il fait 120 cm replié.

Le bon Gitzo n°2 a près de quarante ans et avec sa tête Manfrotto il exerce les biscoteaux quand je le transporte.

11)
Guillôme
, le 04.10.2007 à 08:16

Bon ben moi j’ai tout faux, j’ai un pieds en alu et plastique avec du jeu, avec des serrages qui ne serrent pas fort et pas d’angles différents pour les jambes!

Oui sauf que c’est léger, c’est peu encombrant et c’est pas cher! Alors forcément… un peu comme la majorité qui a un objectif f/4.5-5.6 tout en connaissant les qualités d’un f/2.8…

Bref, le trépied “pourri” c’est toujours mieux que rien et c’est même indispensable pour des photos de groupe où l’on veut être dessus…

En gros, si l’on est amateur, moi je dis, commencer avec un trépied bas de gamme pour évaluer son usage d’un tel accessoire est une bonne étape :)

Merci pour l’article plaisant à lire.

12)
zit
, le 04.10.2007 à 08:39

FT’e, Aigle4, fxprod, Gloups!
Comment ais–je pu oublier de parler du “sac de riz”? Impardonnable!
Merci à vous de nous rappeler cet incontournable…

Aigle4, tu mets le doigt là où ça fait mal! Pourquoi n’ais–je donc pas mentionné le déclencheur souple? Avec des lacunes pareilles, je vais finir par me faire virer par le Patron d’ici pour “manque de sérieux et mémoire d’émental”. Effectivement, c’est indispensable tant qu’on ne dépasse pas 5 secondes de pause, au delà, c’est négligeable.
Et comme le souligne le Boss, ce ne sont plus des déclencheurs souples mécaniques mais des télécomandes électriques, qui pilotent les z’appareils actuels.

levri, je savais bien que cur cuk, je m’adressait à certaines personnes dotées de possibilités hors du commun (moi–même, je dois être un peu mutant, vu que selon le critère de Gottlieb, je suis capable de replier une carte routière du premier coup, sans me tromper, bon, il faut que je me concentre quand même ;o).

François, pour les têtes, il y a vraiment deux écoles! Pour ma part, je suis comme toi: précision. Mais un ami photographe ne jure que par la rotule…

J’ai vu hier, au salon de la photo, la Velbon PHD 61 Q

… je pense que j’ai trouvé une remplaçante à ma rotule ;–)

Merci à tous pour vos remerciements!

z (le sac de riz, tu n’oublieras pas, je répêêête 100 fois: le sac de riz, tu n’oublieras pas…)

13)
Le Corbeau
, le 04.10.2007 à 08:57

Et la canette de soda? (de bière pour les suisses allemands?)

J’ai vu dans le nord de la France un gars qui avait coulé du plâtre dans une canette avec une rotule de récup scellée.

il me semble d’ailleurs qu’il y a une boite qui ose vendre ce type d’accessoire tout fait, le plaisir de boire en moins

Bon d’accord, c’est pas évident d’y fixer autre chose qu’un compact ;-)

14)
arno pier
, le 04.10.2007 à 09:37

Le principe de la ficelle est excellent, je ne sais pas si c’est un photographe africain qui l’a inventé mais il a été utilisé par Izis dans les années 50 pour ses photos de nuit. Si vous ne connaissez pas Izis, faites vite une recherche sur le Net, c’est un photographe admirable et malheureusement pas assez connu. A voir d’urgence !

15)
ToTheEnd
, le 04.10.2007 à 10:06

Et bien, si avec ça certains avec un problème avec leur pied… voilà qui devrait ramener joie et entrain dans le couple!

Très bien…

T

16)
FT'e
, le 04.10.2007 à 10:46

Déclencheur souple ou électrique pas indispensable bien souvent STOP retardateur fait bon office STOP 2 secondes et POUF photo bien nette STOP

17)
giampaolo
, le 04.10.2007 à 10:56

Vous avez bien raison. Un pied… c’est nécessaire. Mais je dois avouer que je ne pense jamais à l’emporter. :-( Et pour cause, c’est un Gitzo qui plié fait presque un mètre de long et pèse pas loin de 10 kg. Déplié… je n’ai jamais essayé car il ne fait pas loin de 4 mètres. Si, si! Je ne l’utilise qu’en studio. Quelle stabilité! En déplacement, c’est le vieux truc de la ficelle qui me dépanne toujours.

18)
Iris
, le 04.10.2007 à 11:19

Pour pas surcharger le sac à dos, est-ce que le bâton de randonnée peut faire office de ?

(Pô taper, zit, je suis déjà loin…)

19)
fxprod
, le 04.10.2007 à 11:35

Pour pas surcharger le sac à dos, est-ce que le bâton de randonnée peut faire office de ?

(Pô taper, zit, je suis déjà loin…)

Mais non zit va pas taper, mon monopode me sert aussi de bâton de randonnée, et si vous allez sur photim vous verrez même un hybride étudié pour les 2 usages.

je suis gentil, c’est là

http://www2.photim.com/NewCmd/pieds.xml

20)
Roger Baudet
, le 04.10.2007 à 13:10

Pour le poids du matériel vous n’avez qu’à adopter la solution japonaise que j’ai vue un jour à Venise. Il s’agissait d’un club de photo (japonais, donc) en vadrouille. Mesdames portaient le matériel, Messieurs photographiaient. Ils sont bien ces Nippons, non ?

21)
Saluki
, le 04.10.2007 à 13:17

Pour ce qui est des monopodes il y a aussi Kettner qui en vend un triple usage: marche, photo et tir.

Edit: et Decathlon qui a des bâtons de trek sur lesquels il y a un pas de vis Kodak quart de pouce ;°)

22)
Blues
, le 04.10.2007 à 13:25

quel pied cet article :-D

23)
zit
, le 04.10.2007 à 14:10

Meuu non, Guillôme, tu n’as pas tout faux, le trépied “pourri” tout le monde en a eu au moins un… mais vu la durée de vie de la chose, tu vas rapidement te poser la question:
“je rachête la même daube tous les six mois, ou bien je prends deux trois ans d’avance et j’achête un truc qui est fait pour durer un peu?”
Un peu lourd, non ,le coup de la canette plâtrée? ;o)
Bin tu vois, Iris, d’autres ont répondus avant moi, je n’ai aucune raison de battre une femme aujourd’hui, puisque tu étais dans le vrai. (dômaaage, mais ce n’est que partie remise ;~])
Alors là Roger, je vais en parler à ma moitié nippone, de ton expérience, tu m’intéresses (t’as des photos, ou bieeen?) ;^D

z (le sac de riz, tu n’oublieras pas, je répêêête encore 97 fois: le sac de riz, tu n’oublieras pas…)

24)
Iris
, le 04.10.2007 à 14:27

MERCI fxprod, c’est génial ton lien!

Le monopode pour trek avec boussole et pas-de-vis ne coûte que 18 €! Et si je le tiens en l’air, il fera peut-être même antenne pour le mobile :) Je le prends tout de suite.

25)
alec6
, le 04.10.2007 à 14:37

Ha oui… le Gitzo… et ses bagues de serrage à la noix ! Il rempli son office néanmoins, mais il faut avoir les deux mains libres et commencer du bon côté ! Ensuite ne pas oublier de serrer la colonne qui…

deux

ou trois fois

est

descendue

bien bas…

Flou “artistique” assuré pour mes photos de nuit.

26)
fxprod
, le 04.10.2007 à 15:47

Pour le poids du matériel vous n’avez qu’à adopter la solution japonaise que j’ai vue un jour à Venise. Il s’agissait d’un club de photo (japonais, donc) en vadrouille. Mesdames portaient le matériel, Messieurs photographiaient. Ils sont bien ces Nippons, non ?

il y a une autre solution que j’ai utilisée pendant des années, ma fille étant petite adorait porter un de mes appareils photos et je glissais les objectifs en surplus dans l’énorme sac de sa maman (me suis tjrs demandé pourquoi les dames ont besoin de si grand sac) il n’y avait qu’au changement d’optique que cela posait problème.

28)
François Cuneo
, le 04.10.2007 à 18:50

Ha oui… le Gitzo… et ses bagues de serrage à la noix ! Il rempli son office néanmoins, mais il faut avoir les deux mains libres et commencer du bon côté ! Ensuite ne pas oublier de serrer la colonne qui…

Ah ben il y en a un qui a osé. Moi je me taisais, mais je n’ai jamais su bloquer rapidement mon Gitzo. Allez hop, revendu, remplacé par un Manfrotto.

29)
fxprod
, le 04.10.2007 à 20:04

Ah ben il y en a un qui a osé. Moi je me taisais, mais je n’ai jamais su bloquer rapidement mon Gitzo

Le truc ne jamais le désserrer ni le serrer à fond et surtout ne pas le prêter.

30)
zit
, le 04.10.2007 à 21:22

Le Gitzo 2007, c’est quand même pas mal, pour ne pas dire super top! Jai beau être absolument ravi de mon Velbon, je l’échangerais volontiers contre un Gitzo Explorer :

Haddock, tu me rappelle des souvenirs: au Tibet, à 4250m, avec le trépied muni de sa tête panoramique (et une petite dizaine de kg de boitiers, objectifs et pellicules), j’ai cru crever, après avoir monté un raidillon de 50m (alors qu’un gamin hillare gambadait à mes côtés pour me vendre des drapeaux de prière). C’est au retour de ce voyage que j’ai pris la ferme résolution: “carbone, sinon rien!”.

z (le sac de riz, tu n’oublieras pas, je répêêête encore 95 fois: le sac de riz, tu n’oublieras pas…)

31)
Saluki
, le 05.10.2007 à 00:03

Tiens, j’avais oublié, le pied de poitrine Canon… c’est un petit bicylindre coulissant avec une courroie de cou. Au lieu de prendre appui sur le sol, il prend appui sur le bedon ou la boucle de ceinturon. Il m’a servi pour ma première caméra Sony qui se branchait sur mon magnétoscope portable JVC.

Un monument. Je n’ai plus ni la caméra ni le magneto, mais j’ai gardé le pied. je viens de le retrouver en préparant l’essai du Leica II.

32)
Chichille
, le 05.10.2007 à 13:20

Iris, j’ai HORREUR du bâton de randonnée, je trouve ça encombrant, pas utile et j’aime avoir les mains libres (pour prendre une photo par exemple).

Mais on me fait souvent les gros yeux quand j’essaie d’expliquer ça. Il paraît qu’il y en a qui marchent mieux sur trois pattes. C’est eux qui voient, hein !

À part, ça, Zit ! je suis pas dans le Leica ? Dommage…

33)
Iris
, le 05.10.2007 à 17:18

Ah mais Chichille, personne n’est parfait!

Le bâton reste la plupart du temps accroché sur le sac, mais sur une crête vertigineuse ou dans une descente raide sur de la caillasse, ça soulage les genoux (que j’ai délicats…)

34)
jeanba3000
, le 06.10.2007 à 01:21

Lors d’un voyage d’un mois à crapahuter dans la jungle au Gabon, j’ai fait toutes mes photos au Rolleiflex sur un trépied Gitzo Basalt. Sans ce trépied léger mais d’excellente qualité, vu la faible luminosité générale et la faible sensibilité des films utilisés (Velvia 50, Provia 100F), je ne m’en serais pas sorti autrement.

Le résultat est ici

35)
Cosmike
, le 06.10.2007 à 18:59

Fin août j’ai acheté un Gorillapod Original (le petit modèle) et le 20 septembre la rotule supérieure s’est rompue… Certes je l’ai beaucoup utilisé car il est extrêment pratique, mais je suis très déçu. Je vais tenter une réparation…

36)
zit
, le 06.10.2007 à 23:52

Saluki, un photographe parti en Afrique avec Christian Zuber utilisait un monopode “planté” dans une ceinture spéciale pêche au gros disposant sur le devant d’un gros cylindre creux fermé à son extémité basse prévu pour tenir la canne à pêche (je l’ai essayé, ça donne un look… comme dirait mossieur Gaston essayant un déguisement improbable:”Et si on danse?”;o). Sinon, c’est vrai qu’il y avait aussi les “crosses d’épaules”.

Chichille, grand comme tu es, comment pourrais–tu entrer dans mon Leica?

Superbe balade, jeanba3000:
Son du mac coupé, je croyais entendre le stridulement des criquets et des cigales, le coassement de grenouilles et des crapauds, le picassement des pics, le miaulement d’un gros chat, le hurlement d’un singe et les chants de milliers d’oiseaux, enfin, le silence habituel de la forêt tropicale humide…
Puis j’ai vu qu’il devait y avoir du son, j’ai monté le volume, et quelle n’a pas été ma surprise de me trouver transporté dans un pavillon de thé au son d’un koto (ou d’un shamisen?)… Quelle étrange idée ;o).

Cosmike, il doit être sous garantie, non?

z (le sac de riz, tu n’oublieras pas, je répêêête encore 93 fois: le sac de riz, tu n’oublieras pas…)

37)
fxprod
, le 07.10.2007 à 01:20

z (le sac de riz, tu n’oublieras pas, je répêêête encore 93 fois: le sac de riz, tu n’oublieras pas…)

beaucoup de souc”h”is pour un beanbag qui ne contient toutes traductions faites que des haricots

38)
jeanba3000
, le 07.10.2007 à 12:02

Zit, merci pour le compliment.

Il se trouve que j’ai justement enregistré quelques balades en forêt sur MD avec une paire de petits micros, dont le hurlement d’un gorille mâle pas content qu’on le tire de sa sieste (il était à une quinzaine de mètres de nous et nous ne le voyions pas dans le feuillage et la pénombre), très très impressionnant sur l’instant… Malheureusement, par paresse et incompétence, je n’ai pas encore fait un montage de ces prises de son pour accompagner mes photos, du coup on reste hélas avec les musiques japonaises qui vont avec le design global de mon site, très japonisant. J’espère régler ça bientôt.

39)
cvrin
, le 08.10.2007 à 18:49

Merci Zit pour cet aricle très complet! Mon copain m’a offert pour ma fête un trépied Velbon, le CX 660. Je me réjouis de l’essayer en sortie!

40)
mff
, le 25.10.2007 à 21:19

J’utilise un pied de poitrine Rowi , pour mon APN, pied vendu pour la vidéo et cela me gagne bien 2 vitesses

41)
pat3
, le 26.03.2009 à 07:10

Comme j’ai un bridge Canon stabilisé

Tu m’intéresses!! Retour d’expérience, modèle? Les kadors d’ici hurleront certainement qu’hors du réflex point de salut, mais je n’ai ni les moyens, ni l’envie de lumbago, ni la place pour embarquer des kilos de matos.

En revanche j’ai deux pieds, un bas de gamme dont je ne me souviens même pas de la marque, mais il est toujours là depuis 15 ans, et il est super léger, accrochable à un sac à dos (j’ai deux sacs décathlon de l’époque où ils faisaient des sacs à dos photos, un pour la photo un pour la vidéo), et un pied avec niveau et tête fluide dont je me sers pour la vidéo, en carbone, mais un peu plus lourd que mon pied photo.

42)
mff
, le 26.03.2009 à 20:34

A votre avis: Magasin de photo ou grande surface Do-it ou bricolage pour trouver la vis à mettre sous l’appareil pour le pied-ficelle ? Merci :)

43)
zit
, le 27.03.2009 à 16:38

pat3, concernant les “bridge”, depuis quelques temps, les Panasonic sont parmi les meilleurs, mais ça va peut–être changer, avec le Nikon P90 qui vient de sortir, et surtout le nouveau “petit” Sony, le DSC HX 1 dont je suis impatient de tester justement la fonction “panoramique”, et surtout si l’optique “G” tient ses promesses…

mff, boutique photo, sinon rien, les pas de vis utilisés en photo ne sont pas les mêmes que ceux de Mr bricolage (là, c’était la vis d’une platine rapide Manfrotto 200 P L14).

z (Le sac de riz je n’oublierais pas, je répêêêêêêêêête : encore 91 fois, le sac de riz je n’oublierais pas…)

44)
mff
, le 27.03.2009 à 17:55

Zit, Merci il me reste à un trouver un petit isolé

45)
M
, le 29.08.2015 à 16:38

Bonjour
Attention à l’orthographe : en photo, on parle de « pose », de « temps de pose », de « poser »…
« pause » signifie interruption

Dommage, car le texte est intéressant mais je crains qu’il ne soit pas crédible à cause de l’orthographe !

(il est inutile de publier ce commentaire, par contre ce serait bien de corriger les erreurs )

Cordialement