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TomTom Go Rider le GPS pour deux roues, par Jérôme Duquennoy

J'ai testé il y a quelque temps déjà le TomTom Go, à une époque où il n'était pas tellement connu. En tout cas pas autant que maintenant, où il est devenu, sous de nouvelles dénominations 710, 910, un grand écran large, une véritable coqueluche dans le monde du GPS.

Je précise que je continue à utiliser mon TomTom Go de base, qui s'est parfaitement mis à jour pour accepter les dernières versions du système dédié (sauf tout ce qui touche le BlueTooth bien sûr, puisque l'original n'était pas doté de cette technologie) et qu'il m'émeut à chaque fois qu'il me dit "Vous êtes arrivé" alors que je suis devant une maison que j'aurais bien eu de la peine à trouver sans lui.

Par exemple lorsque je débarque un soir de pluie chez ToTheEnd. C'est que c'est paumé chez ToTheEnd…

Heureusement que l'on avait le TomTom, même que j'ai croisé Caplan tout perdu qui, sachant que nous étions sur assistés par ce petit machin génial, a fait un tourner sur route osé pour se lancer à notre poursuite.

Il se trouve que j'ai reçu un mail d'un lecteur (je vais être à jour maintenant avec les articles de lecteurs!) qui me proposait le test d'une déclinaison du Tomtom pour le cyclistes: le TomTom Rider.

Vous pensez bien que j'ai accepté, sanc compter que la chose m'intéresse pour mon scooter.

Je cède donc bien volontiers la parole, ou plutôt le clavier à Jérôme Duquennoy, qui va vous présenter ce petit appareil ci dessous

Le TomTom Rider: le GPS pour ceux qui n'ont que deux roues! Par Jérôme Duquennoy

Il y a quelques jours, lors d'un trajet à vélo, je me suis perdu. Mais alors, bien perdu: 2 heures pour faire 16 km, alors que je prévoyais 45 minutes…

Le tout parce qu’il s'avère que sur certaines petites routes, eh bien les noms de rue ne sont plus affichés. Et là, sur un rond-point à trois sorties… il fallait prendre la rue Marcel Durant.

Arg!

Conclusion: il me faut un GPS pour mon vélo, ça devient trop aléatoire sans ça.

Après quelques recherches, un ami me dit: TomTom fait un GPS spécial 2 roues: le TomTom Rider! Lecteur depuis un certain temps de Cuk (qui m'a d'ailleurs fait un test positif sur un logiciel que j'ai écrit, ce qui a été appréciable pour la soutenance de stage qui s'en est suivie, merci cuk!), j'avais déjà eu l'avis éclairé de François: en résumant: "TomTom, c'est simple, TomTom, c'est bien!" (Corrige-moi si je me trompe François). NDLR: non non, c'est ça, c'est exactement ça!

Quelques recherches supplémentaires plus tard, il semble que TomTom fournisse les logiciels de gestion sur Mac. Et il semble même qu’en attendant que Garmin sorte leur version Mac, ce soient les seuls.

C'est bien tout ça.

Par contre, il manque quelques fonctions que j'aurais aimé avoir dans le cadre du vélo (NDLR: t'aurais pas préféré sur le guidon? Arf arf arf… ). Par exemple, une indication claire de la vitesse (présente, mais en tout petit sur le TomTom), une vitesse moyenne, un enregistrement des itinéraires, histoire de voir la tête d'un trajet sans guidage, pour rire le soir…

Mais bon, le rider semble quand même être le plus adapté à mes besoins. Donc, je continue à me documenter (plus par plaisir que par nécessité, croyais-je naïvement).

Et, au détour d'un sujet sur les forums de gpsPassion, je découvre que TomTom tourne sous Linux (ça, ça me plaît beaucoup!). En plus, l'éditeur respecte totalement la philosophie open source puisqu'on peut télécharger les sources.

Encore mieux, ils proposent un kit de développement (payant cette fois) permettant d'écrire des logiciels pour leurs appareils.

Toujours mieux, une personne conquise par le TomTom Rider a développé plusieurs utilitaires, par exemple un logiciel qui fournit la vitesse instantanée, la vitesse moyenne, la vitesse moyenne sans compter les arrêts… bref, tout ce qui aurait pu me manquer.

Alors là, c'est clair, je vais en rêver toutes les nuits.

Bref, quelques jours plus tard, je me retrouve avec la bête entre les mains, et quelques jours plus quelques minutes plus tard, il est monté sur mon vélo (ça fait sacrément sérieux sur le guidon!).

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Première remarque, ce n’est pas du toc! L'appareil est petit, mais lourd, et semble très solide. C'est plutôt bien pour un appareil qui ne bénéficiera pas du confort douillet de l'intérieur d'une voiture. Il est annoncé comme étanche, je n'ai pas testé, mais effectivement, à première vue, il devrait résister sans soucis à une pluie, même un peu insistante: toutes les parties sensibles (connecteurs, interrupteurs) sont protégées.

Côté utilisation, c'est totalement conforme à ce que François avait écrit: on met la carte-mémoire, on allume, deux ou trois questions de configuration initiale, et c'est prêt.

Je ne vais pas détailler les fonctions, c'est les fonctions classiques des TomToms, qu'on peut trouver partout. Donc, je vais plutôt parler de son utilisation en tant qu'utilisateur de Mac.

Commençons donc par les logiciels.

TomTom Home

Sur le CD du TomTom, il y a un logiciel assez simpliste, permettant, en gros de faire des sauvegardes et des restaurations. C'est déjà ça, mais ce n’est pas énorme. Heureusement, un autre logiciel est disponible sur le site de TomTom: TomTom Home. Et là, c'est nettement plus sympa! Ça se trouve ici.

Ce logiciel va vous permettre de gérer votre TomTom: sauvegarder/restaurer, mais également ajouter/supprimer des logiciels, des cartes et pour les appareils qui le peuvent, les images et les musiques (ce n'est pas le cas du rider).

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Première étape, une sauvegarde dans les règles: si la carte mémoire vient à défaillir, ou si une carte est effacée par mégarde, il vaut mieux avoir la version originale sous la main.

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Et voilà.

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Visiblement, TomTom Home gère l'historique des sauvegardes. C'est pratique, j'apprécie.

Sur les captures d'écran, ma machine n'avait pas accès à internet. Quand les serveurs de TomTom sont accessibles, le logiciel permet également d'acheter des services payants (des cartes, des infos trafic, des radars…). Je n'ai rien testé de tout ça: ça ne correspond pas à mon usage.

Une fois ce logiciel installé, il faut que j'installe le fameux logiciel qui me permettra de transformer le TomTom en compteur de vélo. On peut le trouver, ainsi que quelques autres utilitaires, à cette adresse.

Les explications sur le site du développeur font trois lignes. Ça doit donc être assez facile. En fait, cette doc ultra simple montre ses limites: mettre les deux fichiers décompressés dans le dossier "Content" de TomTomHome… ce n’est pas très précis, il se trouve où, lui?

Bon, je ne vais pas faire de suspens interminable, il faut créer le dossier "Content" dans le dossier "~/Documents/TomTom/Home/" (où ~ représente le dossier "maison").

Une fois les deux fichiers de l'application copiés dans le répertoire, l'installer devient un jeu d'enfant: elle apparaît dans la liste des éléments installables dans TomTom Home, il n'y a plus qu'à la sélectionner, et à cliquer sur "Installer".

Lorsqu'on relance le TomTom, une icône apparaît pour l'application dans le menu principal.

Pas de configuration, pas de procédure post-installation…. Pas de doute, c'est limpide!

Mais on peut aussi "utiliser" leTomTom sans TomTom Home: une fois connecté à l'ordinateur, il monte tout simplement comme un lecteur de carte mémoire, et on peut l'utiliser comme tel (en prenant soin de ne pas toucher aux fichiers gérés par l'appareil).

Le kit bluetooth

Autre avantage du Rider pour l'utilisateur de mac: le kit bluetooth livré est tout à fait standard. Il peut tout à fait être utilisé comme interface audio sur le Mac, aussi bien en entrée qu’en sortie. Ça veut également dire que vous pouvez utiliser votre oreillette préférée avec le TomTom: ça marche sans soucis.

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Bon, il ne faut pas s'attendre à une qualité de son monstrueuse. Disons que pour écouter de la musique… ce n’est pas top. Par contre, pour téléphoner via Skype, ichat ou SIP, c'est très suffisant, et ça permet de ne pas avoir de fil à la patte (ce qui permet de faire la vaisselle en téléphonant. C'est crucial comme avantage ça!).

Bon, par contre, ça ne marche pas beaucoup mieux qu’avec mon oreillette HBH-300 de chez Sony Ericsson: il faut vraiment en avoir envie pour s'embêter à faire marcher ça: -). Il y a a probablement de l'amélioration à faire à ce niveau dans Mac OS X.

Néanmoins, le principal problème que j'ai eu avec mon HBH-300 (à savoir le bluetooth qui part en vrille lors de la déconnexion, ce qui se résout à coup de redémarrage) n'est pas encore apparu avec cette oreillette. Prions pour que ça continue: je déteste redémarrer ma machine. Quand mon environnement est en place (applis lancées, documents ouverts et tout et tout), je fais durer!

Le carnet d'adresses

Passons au carnet de contacts du TomTom: comme celui-ci se connecte au téléphone pour permettre d'émettre et de recevoir des coups de fils sur la route, il peut être intéressant de transférer les numéros de son carnet d'adresses. Dans mon cas, mon téléphone est synchronisé avec le carnet d'adresse de mac OS X. Je n'ai donc eu qu'à utiliser la fonction de récupération de répertoire incluse dans le TomTom. Mais bon, pour ça, il faut que le téléphone soit compatible

  • avec iSync
  • avec le TomTom

et ce n'est pas vraiment le cas de tous les appareils. Heureusement, le format du carnet d'adresses du TomTom est simple (simpliste?): c'est un simple fichier texte (ccontacts.txt), contenant un contact par ligne, sous la forme:

"nom du contact","n° de tel"

Donc, il n'est pas bien compliqué d'exporter le carnet d'adresses de mac OS X. D'ailleurs, il en existe déjà un sur ce site.

Bon, il ne serait pas très complexe de faire un petit logiciel en cocoa pour faire ça avec une interface plus sympa et quelques options supplémentaires, mais je crains de ne pas avoir le temps: -(.

Visualiser le parcours effectué

Avec le logiciel tripManager installé sur le TomTom, on a la possibilité d'enregistrer l'itinéraire (en définissant la fréquence des points enregistrés). Parmi les formats proposés, il y a un format kml. Avec ce format, vous pouvez ouvrir directement le fichier produit dans Google Earth, et votre trajet apparaît sous vos yeux ébahis!

Seule petite difficulté: le nom du fichier n'est pas forcément très parlant. Mais en s'appuyant sur les dates de création, on retrouve sans trop de soucis le trajet qu'on cherche.

Conclusion

En plus des indéniables qualités des TomToms (je vous laisse lire les innombrables tests et critiques disponibles sur internet), ces appareils s'entendent très bien avec Mac OS X. Et ça, pour moi, c'est crucial!

Lors des différents trajets que j'ai faits, le TomTom ne m'a pas laissé tomber, et il ne s'est pas laissé tomber lui non plus. Malgré quelques passages sur des routes assez mal pavées sans fourche amortisseur, le TomTom est toujours resté solidement accroché à mon guidon.

Qu'est-ce que je peux trouver comme manque? Pas simple…

L'autonomie de la batterie n'est pas énorme: ils annoncent 5 heures, je vais plutôt me baser sur 4, histoire d'éviter de me retrouver perdu à 30 kilomètres au sud de partout sans guide. Il est possible, avec le support, d'alimenter le Rider avec une batterie 12V. Ca peut permettre d'augmenter l'autonomie pour les grands trajets.

Je n'ai pas de logiciel capable de gérer un GPS, mais je ne pense pas qu'il soit possible de se servir du TomTom comme récepteur GPS USB, vu qu'il s'identifie comme un lecteur amovible. C'est mineur comme problème, on n'achète pas un TomTom pour ça normalement. Et qui sait, peut-être un logiciel additionnel sera-t-il développé pour permettre ça?

Bref, le mot de la fin: génial!

Résumé des liens

Jérôme Duquennoy

Eh bien merci Jérôme, et bon week-end à tout le monde.

16 commentaires
1)
satellio
, le 15.12.2006 à 08:43

Cool, le GPS pour les deux-roues. Merci à Jérôme pour l’article.

Cela ne doit cependant pas nous distraire de continuer à protester contre l’absolu et grandissant scandale du non-affichage du nom des rues de nos villes !

2)
Cosmike
, le 15.12.2006 à 09:04

J’ai acquis le modèle Rider Europe en juillet de cette année, je l’ai installé sur mon scooter X9 500 et je suis allé faire une balade de près de 3’000 km à travers l’Europe. Je peux dire que cela change de des cartes papier, quel confort et quelle sécurité !

Ce GPS est solide car les vibrations lors du roulage sont conséquentes (bien que je l’ai fixé avec une platine sur silentbloc) . Le support est directement mis sous tension lors de la mise en marche du scooter et le TomTom se met en fonction automatiquement s’il a été posé sur son support avant la mise en tension. Parfois il y a de mauvais contacts et l’appareil s’éteint inopinément (j’ai résolu le problème avec un élastique…). En bref, excellent produit et bien adapté à son usage.

Jérôme, merci ton article et les liens qu’il contient.

3)
fxprod
, le 15.12.2006 à 09:08

Première utilisation de mon tom-tom one “ROND-POINT, TROISIEME SORTIE”, je compte, tiens c’est de là que je viens, je fais un tour gratuit dudit rond point, et le bidule veut que je sorte à la 3° sortie, basta je sors,”FAITE DEMI-TOUR DèS QUE POSSIBLE” ben oui tom je te l’ai dit, je comprend enfin que le machin comptabilise mon entrée dans le rond-point comme une sortie. Depuis que je le sais, j’obéis.

4)
popey
, le 15.12.2006 à 09:35

satellio :100% d’accord : l’absence d’affichage des nom de rue, c’est une sacré galère !

5)
popey
, le 15.12.2006 à 09:38

Cosmike : Il y a une feinte pour éviter ça : mettre un morceau de scotch sur un des contacts à l’arrière du tomtom. Avec ça, le tomtom ne sais plus quand il est sur son support, et donc, il ne s’éteing pas en cas de faux contact : il passe sur la batterie. Seul différence, le menu de sécurité ne s’affiche plus quand tu roule.

Tous les détails sur webbazar (le même site que celui pour les applications : http://www.webazar.org/tomtom/trucs.php

6)
popey
, le 15.12.2006 à 09:46

Petit ajout : – depuis, j’ai vu planter mon tomtom ! Rien de grave, il a redémaré automatiquement, mais il à repris l’ancienne destination (celle du trajet aller). Il faut reconnaitre que je l’avais un peu torturé avant. – sur un croisement (et un seul), l’affichage de la carte se figait. C’est assez surprenant : en approchant du carrefour, l’écran se bloque, comme si il y avait une boucle infinie quelque part. Une fois le croisement passé, au bout d’un moment, c’est reparti tout seul. Un retour sur le croisement, et hop, affichage figé.

Attention, je ne souhaite pas discréditer le tomtom : il reste génial, les deux interruptions de environ 15 secondes ne m’ont pas vraiment génées. Mais bon, j’ai pensé que ça méritait d’être dis.

7)
jdmuys
, le 15.12.2006 à 10:31

Je suis toujours à la recherche d’un GPS pour une application historique du GPS qui partage des caractéristiques avec le deux roues: le navigation en voilier. Ce que je souhaite et qui ne semble pas exister:

– un certain niveau d’étanchéité

– usage autonome possible (donc écran inclus correct)

– connection optionnelle par Bluetooth à l’ordinateur de navigation (donc support d’un profile port série et des normes NMEA)

– si possible pouvoir y charger des informations nautiques (comme les balises), et idéalement des cartes marines préparées par mes soins.

Le Tom-Tom rider pourrait s’en approcher si:

– il supporte un profile port série pour le BlueTooth

– il permet le chargement de cartes personnalisées

Je n’ai pas pu trouver la réponse: est-ce le cas?

8)
popey
, le 15.12.2006 à 10:44

Pour les cartes personnalisées, le tomtom reconnait les cartes des deux grands fournisseurs (NAVTEQ et TeleAtlas il me semble). Je ne sais pas si il est possible de faire des cartes personnalisées à un de ces formats, mais si c’est le cas, le tomtom doit pouvoir les accepter.

Pour le bluetooth, je dois dire que je n’ai pas essayé d’utiliser le tomtom comme un gps externe par bluetooth (en utilisant le SPP donc), par manque de logiciel, mais je ne pense pas que ce soit possible (je n’ai vu null part mension de ce genre de chose sur internet).

En fait, je ne pense pas que le tomtom soit prévu pour un context marin. Par exemple, les routes sont “magnétiques” : les positions reçues sont automatiquement ajustées à la route la plus proche. Sur mer, ca n’a pas grand intéret, ça peut même être assez dangereux. Il serait probablement plus judicieux de regarder les produits prévus pour cet usage, tel que le GPSMAP 3005C de Garmin.

9)
jdmuys
, le 15.12.2006 à 11:34

Le GPSMap 3005C (pas plus qu’aucun de ses cousins à ma connaissance), ne permet une connection par BlueTooth. Garmin propose bien un réseau “propriétaire”, mais le “propriétaire” est rédhibitoire pour moi: je souhaite garder un certain contrôle sur le système que j’utilise et son évolution (et hmmm.. son coût).

Bon clairement le Tom Tom n’est pas une solution: ce concept de route magnétique me fait se dresser les cheveux sur la tête!

A ce stade, le plus acceptable reste donc pour moi un de ces GPS Bluetooth sans écran, mais alors adieu une utilisation autonome en raid par exemple.

Un jour peut-être..

10)
popey
, le 15.12.2006 à 12:08

> Bon clairement le Tom Tom n’est pas une solution: ce concept de route magnétique me fait se dresser les cheveux sur la tête!

Pour de la navigation, ça se comprend :D, mais sur route, c’est quand même bien pratique :).

> A ce stade, le plus acceptable reste donc pour moi un de ces GPS Bluetooth sans écran, mais alors adieu une utilisation autonome en raid par exemple.

Pas forcément : tomtom vend aussi un logiciel pour palm qui remplie la même fonction. Il y a des packs un peu partout avec ce genre de choses. Viamichelin existe aussi sous forme de logiciel palm, et il y en a peut-être d’autres que je ne connais pas.

11)
Inconnu
, le 15.12.2006 à 12:27

Celui qui ne sait pas ou il va ne se perd jamais :) Je suis pas trop sur de vouloir utiliser un GPS sur ma moto.

12)
popey
, le 15.12.2006 à 13:02

Renaud : il faut bien avouer que à haute vitesse, ça peut rapidement devenir dangereux si on regarde l’écran. Heureusement, c’est facultatif : – les instructions vocales sont bien faites, on peut faire le trajet en se fiant à elles la plupart du temps (dans certain cas, comme un rond-point monstrueux du côté de chez moi avec des entrées par l’interieur et tout et tout, il faut quand même connaitre) – il y a une option pour désactiver l’affichage de la carte lors qu’on prend de la vitesse. Ainsi, plus de tentations :-)

13)
zitouna
, le 15.12.2006 à 18:35

Merci pour ce test Jérome.
Ça, c’est vraiment l’appareil dont je rêve, mais dans mon rêve, il m’indique la “cyclabilité” des routes, parce que certaines routes, avec des pneus de 20 ou de 22, ça secoue un poil, et puis d’autres, genre 4 voies de circulation dans chaque sens, je les sent moyennement, sur ma machine à traction animale. Et puis aussi, il m’indiquerait le pourcentage des pentes, que je puisse choisir les plus raides ;-). Donc encore un petit effort au niveau logiciel et IGN pour que ce jouet orne mon guidon…
Bige, moi aussi j’ai un NEZOVENT, le modèle avec l’option SENSSEDELORIENTATION dedans, mais une p’tite carte IGN ne fait pas trop de mal dans la besace. z (vive le vélo en tous cas)

14)
JPD
, le 16.12.2006 à 11:53

Juste une remarque sur l’emploi du logiciel “TomTomHome” avec un Mac. En fait les fonctions les plus utiles ne sont pas disponibles dans mon environnement favori, je veux dire la planification à l’avance d’itinéraires sur le Mac. Le Manuel d’utilisation présente cette fonction mais elle n’existe pas dans l’environnement Mac. L’annonce de compatibilité est commerciale voire relève de la publicité mensongère.

15)
jdmuys
, le 21.12.2006 à 10:46

Je viens de trouver (peut-être) une solution pour un GPS autonome avec écran ET avec Bluetooth: le téléphone Nokia N95, téléphone à tout faire, mais plutôt cher (800 euros) avec BlueTooth ET GPS intégré. Cela pourra faire l’affaire si

– La fonction BlueTooth comprend un profile série NMEA. C’est loin d’être sûr pour un téléphone, et je n’ai pas trouvé l’info sur le web.

– Les fonctions de navigations sont au moins un peu compatibles avec les utilisations marines (ou GeoCaching, qui demande a peu près la même chose).

De plus, il reste à voir, en bonus:

– étanchéité: pas la peine d’espérer

– autonomie: peut-on désactiver la fonction téléphone en gardant le mode GPS?

– cartographie: peut-on ajouter des cartes personnelles?

Au sujet de la suggestion d’utiliser un PDA, je ne connais pas, mais peut-être que ca existe, un PDA communicant les flux GPS NMEA par un profile série BlueTooth. Si quelqu’un sait…

Jean-Denis

16)
jdmuys
, le 21.12.2006 à 11:03

Je viens de trouver une solution qui rassemble tous les critères que j’ai évoqué: le MobileMapper CE de Thalès (qui a aussi la marque Magellan).

http://pro.magellangps.com/en/products/product.asp?PRODID=1021

Seul petit problème, le prix, environ 2000 euros, qui le rend inaccessible.