Ça y est, j’en ai essayé un!
Quoi donc?
Oui, bien deviné, un PowerBook 17 pouces!
J’ai reçu le PowerBook mercredi soir, pour 24 heures seulement. Ça ne fait pas une durée terrible, mais assez pour vous proposer une petite découverte de la bête.
Malheureusement, je n’étais pas le premier à ouvrir le carton, je ne peux donc pas vraiment vous faire d’ouverture en direct, puisque je ne sais pas vraiment où étaient les objets initialement.
Petite précision: je ne suis pas un as de la photo, contrairement à d’autres parmi nos rédacteurs et lecteurs, donc veuillez excuser la qualité moyenne des images de cet article. Les images liées aux vignettes sont en 1024 x 768, donc peut-être un peu longues à charger, mais ça en vaut la peine!
Autre point à noter: le portable que j’utilise le plus souvent est un iBook 12 pouces. Il est donc probable que les adjectifs que je vais utiliser soient un poil exagérés. Mais après tout, il est vraiment bien, cet Alubook.
Revenons-en à ce qui nous intéresse.
Mes premières impressions lorsque j’ai eu la machine sur les genoux ont été, dans l’ordre:
1. P*%ain qu’il est magnifique, cet écran
2. L’ordi n’est pas si gros que ça, finalement.
Cet écran, il est superbe. Très clair, et d’une largeur incroyable.
L’utilisation de Final Cut Express, installé pour la démo sur la machine, est vraiment confortable, voyez plutôt.
J’y ai inséré un DVD. Le slot-in avale le disque sans broncher. Je trouve toutefois qu’il faut enfoncer le disque bien loin avant qu’il soit tiré vers l’intérieur par le lecteur. Aussi, lors de l’éjection, il ne sort que de quelques centimètres, ce qui oblige l’utilisateur à mettre les doigts sur la partie gravée du disque.
Le passage du DVD en plein écran est somptueux.
(Spécial dédicace à Mme Cuk)
Le son est correct. Nettement meilleur que celui sortant de mon iBook, en tous cas.
Ma seconde impression concerne le volume du PowerBook. Lorsque j’ai ouvert le carton, j’avais un peu peur d’une chose : que cette machine ne soit pas vraiment transportable. Eh bien je me suis trompé.
Soit, il est grand, un peu lourd, mais après l’avoir trimbalé d’un coin à l’autre de la maison, et entre divers lieux, ce n’est pas vraiment un problème.
Pour vous donner une idée de l’encombrement, voici une image du PowerBook avec un magasine posé sur le dos de l’écran.
Son volume laisse une bonne place aux avant-bras. On peut quand même regretter l’absence d’un clavier numérique. Je suis persuadé qu’il y aurait la place. Dans une prochaine révision peut-être!
Côté connexions, j’ai simplement pris les deux flancs de l’appareil. On trouve une prise USB de chaque côté. Bonne idée pour les utilisateurs de souris!
On découvre également la fameuse nouvelle connectique du FireWire 800. Pour les curieux, voici un cliché avec les deux prises cote à côte.
L’une des nouveautés de ce PowerBook est le rétro-éclairage du clavier. En baissant la lumière, on voit bien ce dernier s’allumer. Il semble toutefois qu’il ne s’enclenche que lorsque le niveau lumineux est vraiment bas.
Une fois allumé, ça donne ça:
On voit bien le moment où le rétro-éclairage s’allume, pratiquement d’un coup. Lorsqu’il s’éteint, il semble qu’il y ait un petit fondu. C’est du plus bel effet.
Globalement, le PowerBook fait un effet terrible. Impossible de passer inaperçu lorsqu’on a un monstre pareil sur les genoux. La meilleure publicité d’Apple ne serait rien d’autre que ces utilisateurs, finalement…
J’ai pu m’apercevoir qu’on a tout de suite du monde autour de soi lorsqu’une machine comme le PowerBook 17 pouces est ouverte.
Je n’ai pas pu tester l’airport, donc je ne peux pas donner de précision sur la présence des antennes dans l’écran plutôt que dans le boîtier.
Le Bluetooth, lui, marche parfaitement. Le jumelage entre le PowerBook et le téléphone (un Sony Ericsson T68i) prend dans les 20 secondes. L’échange de fichiers se passe sans problèmes.
Pour terminer, je vous propose la liste des objets contenus dans la boîte.
Un adaptateur secteur
Un câble pour liaison téléphonique
Un adaptateur S-Video -> Composite
Un adaptateur DVI -> VGA (sauf erreur)
Un livre « Premiers contacts »
Un livret concernant le Bluetooth
De la pub pour AppleCare
Un cd-rom Hardware Test
Deux DVD-R vierges (vitesse 2X)
.. et un PowerBook G4 1Ghz, pour ceux qui n’ont pas suivi.
Voilà, j’ai rendu hier soir le joujou.
Si vous faîtes partie des gens qui attendent leur tour pour obtenir ce PowerBook, je peux vous dire que votre patience sera récompensée. A première vue, et après quelques heures d’utilisation, cette machine est une vraie merveille.
Et si vous n’êtes pas parmi les futurs chanceux… commencez à économiser!