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Universalis 8, la saga continue

Vous trouverez quatre autres tests conscrés à Encyclopaedia Universalis conservés sur Cuk.ch pour des raisons historiques, ce sont:

Cette dernière version 7 avait été particulièrement marquante, puisqu'elle mettait en scène pour la première fois le support du DVD sur nos machines et la possibilité de consulter l'encyclopédie en natif sous de MacOS X.

Bien évidemment, cette nouvelle version 8 ne peut pas être aussi innovante, mais marque plutôt le retour une évolution tranquille et annuelle d'Encyclopaedia Universalis avec une actualisation de son contenu et une modification légère de son interface.

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L'installation d'’Encyclopædia Universalis peut se faire soit sous MacOS 9 (il semblerait qu'un certain nombre de problèmes liés à QuickTime soient rencontrés par de nombreux utilisateurs sur ce système), soit pour MacOS X en natif. Vous pourrez installer entièrement le DVD (et donc n'avoir plus besoin de l'insérer dans le lecteur) sur le disque dur. En ce cas, il faut compter environ 4.3Gb d'espace disque utilisés.

4.3Gb de données? C'est beaucoup!

Mise à jour du contenu

Pour pouvoir nous donner une idée de ce que cela représente en réalité, voici les données d'usine fournies par les développeurs de ce gigantesque ouvrage:.

L’Encyclopædia Universalis électronique c'est :

  • 52 millions de mots;
  • 300 millions de signes;
  • 350 000 liens entre les différents documents de l'Encyclopédie;
  • 30 000 articles rédigés et signés par
  • plus de 4 000 auteurs renommés;
  • 120 000 mots de la langue française dans le dictionnaire intégré;
  • 100 000 références bibliographiques internationales;
  • 20 000 documents multimédias en étroite relation avec les textes de l'Encyclopédie.

Comme pour la version papier, l'encyclopédie est donc mise à jour régulièrement. Le faire au niveau électronique est bien plus simple et pratique que pour son pendant physique. En effet, un volume supplémentaire impose un nouvel index de recherche. Sur un DVD, aucun problème, les données sont mises à jour, l'utilisateur ne s'en occupe même pas.

Les domaines plus particulièrement touchés par cette mise à jour sont

  • L'économie et les sciences sociales
  • La médecine
  • Les noms de personnalités célèbres
  • Les sciences et techniques
  • Les sports
  • Les villes et régions de France

J'ai personnellement effectué une recherche sur Michael Schumacher. La carrière de ce dernier s'arrête en août 2001, pour une commercialisation de l'encyclopédie en octobre 2002. L'inertie est donc importante, mais parfaitement normale lorsqu'on connaît les exigences de mise sous presse d'un tel ouvrage, même électronique.

Les événements du 11 septembre 2001 sont également présents dans cette mouture de l'encyclopédie. Leur description tient sur quelques lignes et ils sont illustrés par une image où l'on voit les deux tours embrasées. Par contre, 13 autres articles font appel à cet attentat, aussi bien aux niveaux économiques que géographiques.

Une recherche sur Ben Laden et Al-Quaida nous amènent pratiquement aux mêmes articles. Une autre recherche sur la coupe de l'America nous amène sur un article sur la vie et la mort Peter Blake, et quelques documents sur la coupe elle-même.

Notez que l'encyclopédie n'est pas devine, elle n'a pas annoncé la victoire suisse d'Alinghi (survenue après parution, bien entendu!).

Comme nous venons de le voir, les nombreux auteurs d’Encyclopædia Universalis ne se reposent pas sur leurs lauriers.

L'interface, ce qui a changé

L'interface d'd’Encyclopædia Universalis, comme il est devenu de coutume à chaque changement de version, s'est modifiée en passant en v.8. Heureusement cette fois, ce n'est pas la révolution, et l'utilisateur de la v.7. se retrouve en pays connu.

Cette interface est d'utilisation relativement simple une fois qu'on l'a assimilée et c'est tant mieux: 52 millions de mots, il faut pouvoir s'y retrouver que diantre! Et cela sans avoir besoin de se prendre la tête pour comprendre comment pratiquer.

Les recherches dans l'encyclopédie se font toujours via une zone de requêtes où l'on tape les mots recherchés, séparés par ET, OU, SAUF ou PRES DE. Mais ça, nous pouvions déjà le faire dans les versions précédentes.

Ce qui est relativement nouveau, c'est que l'Encyclopædia Universalis introduit deux possibilités de recherche supplémentaires.

L'assistant de navigation

Lorsqu'on ne sait plus très bien comment chercher une donnée, il est possible de faire appel à l'assistant de navigation.

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Ce dernier apparaît sous la forme d'une fenêtre affichant deux onglets.

  • Les mots clés associés
  • Les thèmes associés
  • Les médias associés (s'il y en a).

Les deux figures suivantes vous montrent ce que nous propose cet assistant si nous recherchons le (gros?) mot "Bush".

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Je suis sûr qu'il est fier d'être associé au thème peine de mort…

Cet assistant de recherche sera fort utile pour un étudiant devant préparer une conférence sur un dossier bien précis, en permettant d'ouvrir sa présentation sur des domaines auxquels il n'aurait pas forcément pensé. Il s'agit donc ici là d'une manière d'élargir son domaine de recherche et non pas de le préciser.

L'arbre Universalis

L'arbre Universalis est une manière originale d'entrer dans l'encyclopédie, via 21 branches principales listées dans la figure ci-dessous:

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Comme toujours ou presque, cliquez sur l'image pour la voir en taille réelle

Cet arbre est fort intéressant puisqu'il nous dirige, de manière de plus en plus précise, vers ce que nous recherchons (ou que nous ne recherchons pas d'ailleurs), tout en nous permettant de remonter dans l'arborescence et de changer de chemin à l'aiguillage précédent.

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La grande force de ce genre d'aide à la navigation, c'est de nous aider dans la recherche de documents certes, mais peut-être encore plus de nous guider, alors que nous ne cherchons rien de particulier, dans les méandres tellement nombreux par définition d'un ouvrage tel que ce DVD.

D'une manière générale, le résultat des recherches est plus pertinent, me semble-t-il, qu'avec les versions précédentes. Cela correspond aux progrès revendiqués par l'éditeur au niveau des algorithmes de recherche.

Encyclopædia Universalis, ce qui n'a pas changé mais qui devrait l'être rapidement

L'atlas des pays présente des cartes qui ne sont pas dignes de la qualité de cette encyclopédie, et cela depuis pas mal de versions. Aucun progrès dans cette mouture, ce qui est tout simplement regrettable.

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Un peu léger tout de même…

De même, un certain nombre de documents vidéos sont bien trop pixellisés. Cela n'enlève rien à leur valeur intrinsèque, mais enlève un tout petit peu de plaisir à la découverte. Il aurait peut-être fallu pouvoir réduire la taille des présentations pour améliorer leur qualité. Cela n'est malheureusement pas possible, puisque l'onglet de réduction est inopérant.

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Pas très joli, franchement… Et nous sommes en taille réelle sur un Titanium.

Il s'agit peut-être d'un bug du programme puisque dans certaines fenêtres, l'ascenseur descendant est inexistant. Il faut ainsi appuyer sur cet onglet pour remplacer la petite flèche descendante.

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Elle est où la flèche vers le bas?

Et puis, le dessin des fenêtres est un peu particulier et fait un peu "camelote". D'ailleurs, on se trouve vite encombré de palettes de tous ordres: fenêtre de précision de la recherche, fenêtre des médias liés à l'article, navigateur (qui doit étrangement se fermer à l'aide d'une petite flèche jaune pointillée),… et cela même si certaines de ces fenêtres sont capables de réduire leur taille lorsqu'elles ne sont pas actives.

Cet effet camelote est renforcé par le fait que certains liens sont inopérants, comme par exemple celui qui devrait normalement nous amener à élargir notre recherche sur Internet, et ce depuis la fenêtre "Préciser la recherche".

Notez que cette recherche sur Internet n'est en fait qu'une sorte d'assistant qui vous aidea à utiliser les moteurs de recherche les plus connus. Rien de plus.

Ce qui n'a pas changé mais qu'on aime tel quel

L'Encyclopædia Universalis nous offre toujours des outils d'une puissance époustouflante, que j'ai décrits à moult reprises dans mes tests précédents. Mais je ne peux m'empêcher de rappeler ici ceux qui me semblent le plus représentatifs de cet ouvrage:

  • la chronologie, nous permet, en tapant une année de trouver un certain nombre d'événements marquants de notre histoire, notés sur une ligne du temps. Un petit clic sur l'icône nous permet d'atteindre directement l'article ou les médias en relation. Rien ne nous empêche ensuite d'utiliser l'assistant de navigation pour élargir notre domaine de recherche.

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  • les 21 cartes historiques animées, dont nous pouvons profiter depuis la version 7, au même titre que peuvent le faire les utilisateurs PC, restent tout à fait captivantes même si elles n'évoluent pas vraiment dans cette nouvelle mouture
  • le laboratoire nous propose des expériences interactives qui, contrairement à celles de la version 7 sous MacOS X, fonctionnent parfaitement, dans le navigateur Web de votre choix. Safari ne m'a posé aucun problème pour faire mumuse avec un cube magique par exemple.

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Au niveau musique, bibliothèque, médiathèque, les outils n'ont pratiquement pas évolué depuis la version 7 et sont donc décrits ici.

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Ah! la chronologie musicale! Je ne résiste pas à l'illustrer à nouveau dans ce test, mêm si elle est décrite
dans le test consacré à la version 7 d'Universalis.

La politique de mise à jour

Universalis coûte maintenant 297 francs suisses (166 €), ce qui est un prix cassé par rapport à ce qu'elle coûtait il y a quelques années.

Ce qui est surtout intéressant, c'est la politique de mise à jour proposée. Pour 99 francs suisses, vous bénéficiez chaque année de la dernière mouture du programme, et pouvez ainsi profiter des avancées proposées. Rien ne vous empêche de faire une pause pendant un an, et de reprendre ensuite pour le même prix.

Nous avons donc une somme de savoir immense mise à disposition de pratiquement toutes les bourses.

Et puis, une nouvelle manière de consulter cette immense base de connaissance est disponible sur le site de l'éditeur (le lien pous la Suisse, c'est ici). Il suffit de s'abonner, et pour 89 € par année, et nous avons accès via Internet à tout ce que nous offre le DVD. Notez qu'une offre "découverte de 7 jours" est disponible ici, mais qu'elle ne vous donne malheureusement pas accès à toutes les fonctionnalités du produit.

Rappelons enfin qu'Universalis n'est pas une encyclopédie directement accessible à de jeunes enfants. Son vocabulaire est riche, et ses explications, n'ayons pas peur de le dire, sont parfois assez difficiles à saisir pour un non-spécialiste, même si les efforts de vulgarisation sont évidents. Encyclopædia Universalis est une référence de haut niveau, et cela se paie, pas forcément au niveau du porte-monnaie, mais plus particulièrement au niveau des efforts que sa consultation va demander à notre cerveau.

Par les temps qui courent, ce n'est peut-être pas un mal…

8 commentaires
1)
karl
, le 11.03.2003 à 08:58

Il n’y a pas photo entre EU8 et Encarta… mon ainé démarre régulièrement EU8 pour aller piocher des infos (en mode texte, s’il vous plaît…) et même écouter un peu de musique classique, lancer une annimation…
Ce qui me plaît, c’est qu’il y vient tout seul…

2)
karl
, le 11.03.2003 à 08:59

…un mot de plus.. mon fiston a 10 ans.

3)
Alesklandre
, le 12.03.2003 à 08:53

Je n’ai pas acheté la mise à jour car j’estime qu’elle est trop buggée : sous OS9, la loupe disparait de façon imprévisible !
De plus, j’attends une amélioration de l’affichage qui est bien trop petit et inconfortable sur un 1600×1200. Il faudrait pouvoir choisir un taux d’agrandissement comme dans un navigateur web.

4)
Okazou
, le 13.03.2003 à 01:36

Non, François, 3 fois non ! Cette encyclopédie informatisée n’est pas la merveille que tu laisses croire.
L’impression première est flagrante : ce truc exsude le PC par tous ses pores !
L’équipe de programmation a exécuté (!) un travail minable indigne de la qualité des articles et de leurs auteurs. Et gageons que si les commerciaux (qu’ils soient maudits !) avaient courageusement choisi de concevoir la première mouture de EU sur Mac le résultat aurait été digne de la version papier. Mais l’esprit marchand l’a emporté une fois de plus. Je suis intimement persuadé que nous sommes proportionnellement, sur Macintosh, beaucoup plus nombreux à nous intéresser à ce type d’outil que les utilisateurs de PC.
L’intégration au système X (au Mac en général) est franchement affligeante et la logique n’a jamais effleuré les informatichiens auteurs de cette interface rapportée, mesquine, illogique et inefficace.
? Dissémination des clefs de navigation. Elles s’étalent sans raison cohérente et pratique sur tout le haut de l’écran. j’aimerais voir ce que ça donne sur l’écran 17" panoramique d’un PowerBook. Bonjour les randonnées du curseur !
? Menu, à gauche, qui masque les pages sur les écrans les plus répandus (14 et 15") et peut-être aussi sur les autres. Il devrait s’effacer (ex. pop-up) après un choix et il persiste à encombrer l’écran. Il faut aller cliquer la flèche (ça, tu l’as vu) pour le faire disparaître et y retourner pour qu’il réapparaisse. La liste est incapable de s’afficher jusqu’au bas de l’écran, il faut tirer la fenêtre à la main. Le survol du curseur devrait suffire à développer et refermer la liste après le choix mais sur PC, on n’en est pas encore là ! Sur PC, on programme pour le confort du programmeur, pas pour celui de l’utilisateur.
? Les choix de loupe (seulement 2 tailles possibles au 3e millénaire avec un interlignage indigne de la typographie francophone pour les petits caractères) ne se répercutent pas sur la suite de la consultation. On devrait tout de même avoir le droit de sélectionner la taille exacte du texte une fois pour toutes dans les Préférences (qui sont indigentes) !
? Le comble est atteint dans la manipulation des fenêtres avec l’usage obligatoire de la touche Pomme. On croit rêver mais c’est le cauchemar. Des jean-foutre, vous dis-je !

Je vais arrêter là sur l’interface (j’écris une réponse, pas un article) car il y a encore beaucoup à dire. Rappelons simplement que cette interface est pourtant « moins pire » que les précédentes, pour donner une idée? Avant EU 8, pour quitter l’application, il fallait ? comme sur PC ? confirmer la sortie. Au cas où on serait idiot.

Distinguons bien le VRAI contenu de l’EU (les articles de la version papier, pour la plupart admirables) du contenu SPECTACULAIRE (contenu audio-visuel plutôt médiocre dans son traitement).
Le contenu audio-visuel donne l’impression qu’on a affaire à des clampins de la programmation. Ce ne sont pas les sujets qui sont en cause, le contenu audio-visuel est tout à fait digne d’intérêt, mais la manière de l’informatiser.
Mais certains choix sont tout de même sujets à caution.
Tu t’extasies, François, sur la spirale chronologique de la musique. Tu es sans doute de bonne humeur aujourd’hui parce que, bien que n’étant pas particulièrement de sale poil, elle me fait hurler, cette spirale !
D’abord, le traitement raté (comme le reste) de l’interface. Ces énormes caractères qui imposent une extrême limitation aux entrées :
? Où se trouve Schütz, tout de même le « père de la musique allemande » ? Et Gesualdo, et Satie ? Shönberg absent, c’est le dodécaphonisme qui fout le camp. Et bien d’autres qui ont VRAIMENT marqué l’histoire de la musique?
? Quant à Ligeti « hongrois » qu’il n’est pas autrichien ? Pour la spirale, il l’est. De même que Stravinsky est français (si, si !), comme chacun le sait mais on le donne aussi pour américain. Russe ? Pensez-donc !
? Et Mahler et Strauss placés aux côtés des Bartòk, Cage et Nono, cela ne choque personne ?
Et ces vignettes-pavés qui prennent toute la place et t’empêchent de passer naturellement de Janequin à Costeley ? Une réussite, ça aussi. Ne parlons même pas de la gestion de la transparence de Quartz, elle est parfaitement ignorée. Je te le rappelle (ça t’a échappé) nous sommes sur PC !

On pourrait parler également d’un des plus beaux potentiels de EU électronique : la chronologie historique. Là, je trouve que tu n’es parles pas sufisamment ! Elle s’inspire manifestement de l’Histoire synchronoptique mondiale de Arno Peters, ouvrage majeur que nous ne sommes malheureusement qu’une poignée à posséder. Lorsque j’ai vu que l’UE 8 en avait adopté le principe j’en ai sauté de joie ! Sauf que les principes de navigation que nos handicapés de la programmation nous imposent ici encore gâchent rapidement ta joie. cela dit, vivement que cet outil s’étoffe, on tient là quelque chose d’essentiel. Quand Peters s’est mis à la tâche, les ordinateurs pesaient encore des tonnes (publié en 1965). Maintenent les mômes comprendront l’histoire des civilisations et ils adoreront ça !

Voilà un petit tour un peu critique (sinon, à quoi cela servirait-il ?) d’un outil grandement perfectible.
Au fait, François, grande nouvelle, la Suisse n’est plus neutre !

D’ailleurs, depuis qu’elle n’est plus neutre, elle a gagné la Coupe de l’America ! Bravo les gars pour ce superbe exploit et merci pour la prochaine en Europe (Au fait, il vous reste tout de même à devenir européens ;-) vous serez les bienvenus), Nous sommes fiers de vous !
o.kazou@laposte.net

5)
François Cuneo
, le 13.03.2003 à 06:47

okazou, plus je vais en avant sur l’EU, moins je suis enthousiaste, je ne sais pas si tu l’as remarqué.
Je suis parfaitement d’accord que l’interface n’est pas au top, qu’elle mouline, que les fenêtres prennent trop de place et qu’on a de la peine à s’en débarrasser.
J’ai également parlé des bugs qui affectent certaines fenêtres.
Maintenant, la spirale musicale est peut-être lacunaire. Tu t’en rends compte parce que tu es visiblement un spécialiste dans le domaine. Moi, ces lacunes m’ont passé par-dessus, comme ce sera le cas pour la plupart des utilisateurs.
D’autres, spécialistes dans un domaine différent seront aussi frustrés. C’est, comme nous l’avons écrit, le problème de toute encyclopédie.
Pour en revenir à l’interface, entre chaque version, il fallait tout réapprendre. Ici, ce n’est pas le cas, et c’est déjà un progrès.
Et les améliorations sont intéressantes.
Dernière chose: je ne pense pas qu’un utilisateur PC soit plus satisfait que toi de la programmation et de la logique de l’interface. Elle répond à une logique propre à EU, et ça, c’est en effet certainement une erreur, mais pour tout le monde.
Et c’est une erreur que l’on retrouve dans la plupart des médias culturels: ils veulent tous réinventer la roue, et c’est vrai que c’est fatigant.

6)
François Cuneo
, le 13.03.2003 à 06:48

Eh, les Dylan et les momo, vous allez quand-même pas vous engueuler pour des histoires de partitionnement ou bien!!

—–
François, le gentil modérateur…

7)
karl
, le 13.03.2003 à 09:21

s’engueulent pas, y causent…

8)
Okazou
, le 13.03.2003 à 17:53

>Dernière chose: je ne pense pas qu’un utilisateur PC soit plus satisfait que toi de la programmation et de la logique de l’interface. Elle répond à une logique propre à EU, et ça, c’est en effet certainement une erreur, mais pour tout le monde.

L’utilisateur de PC, lui, ne connaît que ça et il trouve ça normal !