Tous mes voeux renouveler à vous tous pour cette nouvelle année qui commence comme elle vient de se terminer. L’horreur est certes indescriptible tant par les dégats causés et le nombre de victimes qu’il y a déjà et malheureusement l’accroissement qu’il risque d’y avoir encore.

Je souhaite tout de même aux lecteurs de ce merveilleux site et à l’ensemble de la communauté Mac, une très bonne anée 2005, et que la joie et le bonheur vous accompagne en toutes circonstances.

Thiery

Blog de Thiery

Bonne année à tous… malgré tout.

et juste une petite adresse : Rezo Net
certains liens sur ce site valent le détour…

Au fait, aura-t-on la decence cette année dans nos médias de ne pas parler du Paris Dakar ?

Agir local, penser global !

Au fait, aura-t-on la decence cette année dans nos médias de ne pas parler du Paris Dakar ?

Je suis heureuse de voir que quelqu’un d’autre que moi s’est senti blessé par le fait qu’après avoir parlé de 150’000 morts et des dizaines de milliers de disparus, sans parler de ceux dont on est “sans nouvelles” (triste euphémisme, je crains), on a attaqué allègrement sur le Paris-Dakar – une manifestation qui m’a par ailleurs toujours heurtée pour des raisons diverses sur lesquelles je préfère ne pas m’étendre en ce moment (trop de boulot aujourd’hui). Merci Alec6.

Et pendant que j’y suis, bonne année à tout le monde. Je nous la souhaite sans nouvelle catastrophe, mais c’est sans doute trop demander.

Anne

Alec6,

Peu avant Noël, tu évoquais la tempête de 1999 en raison du vent qui soufflait sur Paris. Un 26 décembre, si j’ai bonne mémoire, et Dame Nature a « fêté » l’anniversaire à sa manière… brutale.
Elle aurait pu s’abstenir, cela ne fait aucun doute.
Bonne année et meilleurs vieux à toutes et à tous. Malgré tout, suis-je tenté de dire.

MadMac

Ne pas parler du Paris-Dakar ? Faut pas rêver. Le « Dakar » fait partie intégrante du PAF en janvier et les medias y sont totalement impliqués financièrement !

C’est la loi de l’occupation de l’écran au « 20 Heures ».

D’après vous, qu’est-ce qui faisait enrager les rédactions au premier soir de la catastrophe asiatique ? La vague ! Personne n’avait la vague à montrer. Quelle horreur !

La morale ? Quelle morale ? Où trouver une morale quelconque dans le fonctionnement de ce « dégueuloir à images » qu’est devenue la télévision ?

Le « Dakar », c’était en 1978 une splendide aventure inventée par un amoureux fou du désert. Thierry Sabine avait seulement voulu faire partager cette passion à d’autres fondus de son espèce.

Je le sais puisque j’y étais. J’étais même le dernier contrôleur du « Dakar » avec mon horodateuse sur la plage de Malika en janvier 1979.

Quelques années après (trois semaines avant sa mort), je l’avais rencontré à Dakar lors d’une réunion de l’organisation. En privé, je lui avais exprimé mon désaccord sur la tournure que prenait le « Dakar ». Sa réponse reste gravée dans ma mémoire « Je sais, je me suis fais piéger par les médias. Mon pauvre vieux, je suis désolé mais je ne peux plus faire marche-arrière, il y a beaucoup trop de fric en jeu ».

Ces quelques remarque pour tenter de dédouaner (un peu) Thierry.

Nous sommes en 2005 depuis hier et je voudrais m’associer aux vœux de François. Que cette nouvelle année voit la paix et la justice s’installer dans nos cœurs ! Vous verrez que si nous parvenons à nous améliorer dans ce sens, le vrai bonheur n’est pas loin.

Marc, l’Africain

Que la technique serve à quelque chose !

Sur le lien ci-après, les modalités précises de l’opération 1 SMS = 1 Euro lancée par les opérateurs français de mobiles :

http://news.tf1.fr/news/multimedia/0,,3194414,00.html

Personnellement, j’ai hâte de prendre connaissance des résultats à la fin de la semaine.

Ira-t-on dans les cours de récréation, dans les bureaux, dans les bistrots vers une course à la générosité ? Je le souhaite de tout cœur.

Marc, l’Africain

Bonne et heureuse année à tous et à chacun

Claude

Si, par hasard, vous ne savez pas comment contribuer pour aider à pallier les conséquences du raz de marée, je vous suggère ceci, et ce n’est pas du prosélytisme de ma part

Catastrophe du l’Asie du Sud et Sud-Est
Information à l’attention des Lions de France

Chers Amis,

L’évolution de la situation confirme l’ampleur de la catastrophe.
Chacun de nous est concerné et ensemble nous avons obligation d’intervenir pour apporter aide et soutien.

Tout le monde s’est mobilisé, chacun dans son domaine de compétence et de savoir-faire
les Etats
les organismes et structures d’intervention d’urgence
les Organisations Non Gouvernementales
les Associations dont les Lions Clubs

Les collectes de vêtements, couvertures, équipements et autres biens ne sont pas dans notre champ d’activité.
Il y a pour cela des Associations caritatives compétentes mais qui, en ce qui concerne ce drame, n’interviennent car ce n’est pas réalisable (pas de transports aériens disponibles ou hors de prix, pas de réceptifs locaux, pas de moyens de transports et de distribution en local).
Vous pouvez bien entendu vous y engager mais seulement si vous disposez d’une filière fiable et localement identifiée.

Notre intervention, au plan national et international est la collecte de fonds qui permettront de financer des programmes d’aide et de reconstruction, pilotés par l’Association Internationale dans un cadre mondial, vue l’ampleur de ce qui sera à faire.

Tous les Lions à titre personnel, tous les Clubs, tous les Districts se mobilisent dans la réussite de cet effort, qui est sans commune mesure avec des actions précédentes.

Un message à été transmis aux Gouverneurs de District le 27 décembre 2004.
Ce message rappelle la procédure de transmission des dons vers la Fondation des Lions de France qui collecte l’ensemble de nos contributions.
Tout le monde peut donner, Lions comme non-Lions.
Les chèques doivent être libellés à l’ordre :

Fondation des Lions Clubs de France – compte sinistrés d’Asie
et adressés à
Fondation des Lions Clubs de France
Maison des Lions de France
295 rue Saint Jacques 75005 Paris

A cet égard, rappelez à vos amis donateurs qu’un reçu fiscal de déductibilité sera délivré par la Fondation.

Nous nous sommes rapprochés des Clubs Services Internationaux qui agissent en France et leur avons mis à disposition le circuit de la Fondation, car le Lions Club est le seul Club Service à disposer d’une Fondation et seul compte le résultat.

Une campagne d’information vers les médias est en cours, aux plans locaux, régionaux et national.

Je suis concerné, vous êtes concernés et ensemble nous agissons déjà pour que notre promesse d’engagement ne soit pas quelques vaines paroles.

Une idée, une proposition :
Dans les clubs, nous allons prochainement avoir galettes et autres soirées amicales, dans les semaine suivantes nombres de soirées anniversaires de remises de chartes, ce sont aussi quelques réunions et manifestation aux bénéfices de nos comptes oeuvres, laissons notre générosité s’y exprimer.
Que chaque Lions, chaque Club, chaque District donne selon son sentiment et sa réaction face à ce drame, vous imaginez ce que cela permettra de recueillir, rien que nous les Lions, alors si nous y impliquons nos voisins et amis…

Merci pour, eux là bas.

Alain ARMAND
Président du Conseil des Gouverneurs
30 décembre 2004

BONNE ANNEE !!! à tous les cukiens et cukiennes :)

Pensez à ceux qui n’ont pas la chance d’être chez eux derrière leur mac: bonheur

D’après vous, qu’est-ce qui faisait enrager les rédactions au premier soir de la catastrophe asiatique ? La vague ! Personne n’avait la vague à montrer. Quelle horreur !

Cher Marc l’Africain,
Je te remercie vraiment de m’avoir fait comprendre comment l’idée d’aller en voiture ou en moto de Paris à Dakar est née. Que le plaisir et la passion de quelques-uns soient confisqués par le fric, hélas, c’est l’ambiguité de la société dans laquelle nous vivons: ça ne date pas d’aujourd’hui remarque, je lis en ce moment un bouquin écrit au XVIIIe siècle en Angleterre qui déplore exactement la même chose. Je regarderai donc d’un autre oeil le Paris-Dakar, et j’écouterai d’une oreille différente le motard qui l’a fait plusieurs fois jusqu’à ce qu’il en meure presque dans un accident. Il n’ose plus y aller depuis, mais on voit que ça lui manque.

Cependant (ah! tu pensais bien que j’allais avoir un cependant…), je voudrais qu’à ton tour du pondère ton jugement sur les salles de rédaction. Il se trouve que j’ai “fait” les trois premiers jours du raz-de-marée en rédaction. Qu’on a reçu la vague, comme tu dis, le premier soir (dans les échanges news, donc tout le monde l’avait). Nous n’étions pas enragés. Nous pensions qu’il y avait autre chose à dire sur l’instant. Dès l’instant où les gens ont commencé à poser des questions pour comprendre, la vague a été montrée. Si le journalisme d’information vit des dernières nouvelles, il n’est pas seulement composé de sensationnalistes à tout prix. Par exemple je n’en suis pas une, et je fais ça depuis presque 20 ans, et je peux te présenter beaucoup de collègues dont le souci est d’informer, et qui sont conscient qu’une chaîne de service public a des devoirs: les gens attendent d’elle qu’elle les informe. D’autres que toi ont reproché aux TV de ne pas avoir été assez rapides.
Tu me diras que dans quelques jours tout le monde aura oublié parce qu’il y aura la sensation suivante. C’est en partie vrai, mais en partie seulement. Dans presque toutes les rédactions quelqu’un est chargé de suivre les histoires importantes (et celle-ci est une des plus importantes). Sans compter les organisations humanitaires dont c’est le travail de nous rappeler à tous régulièrement les grands événements comme ce raz-de-marée. “Nous serons votre conscience”, disait à midi le représentant de l’ONU, “Nous ne vous laisserons pas oublier.” C’est leur travail qui est relayé aussi par la presse. Les journalistes ne sont pas tous pourris, ne pas confondre ceux qui le sont avec ceux qui essaient dans des circonstances difficiles de faire leur job aussi correctement que possible. Je te dis ça sans acrimonie, n’est-ce pas? ;-))) Juste une mise au point.

D’accord avec Anne sur le jugement à propos des journalistes. Ils ne sont ni meilleurs ni pires que tout le monde. Ils sont à l’image de la société, et ça vaut aussi pour les politiques.
Ce qui est dur dans le Dekar, c’est le choc des civilisations, d’un côté des Occidentaux en mal d’émotions fortes, prêts à payer au moins cent mille euros pour trois semaines de rêve (s’ils arrîvent au bout), de l’autre des villageois qui vivent avec un euro par jour, parfois moins.
Mais ce n’est pas en fermant les yeux ni en restant chez soi qu’on y changera quelque chose. Daniel Balavoine l’avait bien compris: plutôt que de porter des jugements hâtifs et définitifs sur la moralité de l’histoire (après tout, les criminels aussi ont leur morale), il profitait de l’engouement pour se rendre utile, et l’a payé de sa vie, avec Thierry Sabine.
Que Sabine ait été un rêveur, je veux bien, mais en faire un pur parmi un monde de rapaces est un peu facile: le Dakar n’a jamais été une ONG, que je sache, et pour que l’aventure se perpétue, il fallait des sponsors, une couverture médiatique et des drames qui en ont fait ce qu’il est devenu depuis longtemps déjà. Une affaire de professionnels, et plus un truc d’amateurs. Si l’équipée avait tournée court, le même Marc l’Africain vomirait après les médias pour leur manque de soutien.
Si la télé te plaît pas, la regarde pas, mon vieux! Personne t’y oblige… Mais la télé n’a pas inventé le Dakar, elle l’a suivi, point barre. Moi non plus j’aime pas les larmes en gros plan, le « sentimentalisme putassier » (une locution de journalistes, en passant), mais je regarde ailleurs et quand, d’aventure, il me prend par surprise, je zappe.

MadMac

D’autres que toi ont reproché aux TV de ne pas avoir été assez rapide

Chère Anne,

J’ai certainement mal exprimé mes reproches ou bien j’ai mal compris ce qu’attendaient les téléspectateurs ce soir-là, confortablement installés dans leurs pantoufles au coin du feu.

De fait, la première « vague » qui ait été diffusée ne donnait aucune idée réelle de l’énormité des effets qu’elle pouvait avoir en termes de destruction et c’est peut-être bien d’avoir montré ces destructions avant de montrer les images que vous aviez de la vague elle-même.

Ce n’est pas aux journalistes que va ma critique mais bien au système qui fait que l’information est diffusée de manière souvent biaisée, incomplète ou partiale et orientée en fonction directe de l’audimat recherché.

Je respecte trop les journalistes pour critiquer ce qui est leur raison de vivre et parfois la cause de leur mort : nous informer. J’en ai cotoyé de très grands et je sais quelles sont les difficultés auxquelles ils sont confrontés, avec le risque de ne pas voir leur sujet repris à l’antenne parce que le chef de la rédaction estime que c’est trop tôt, trop tard, ou qu’il y a plus important ce soir-là. Puisque tu fréquentes ce cercle restreint, tu sais très bien de quoi je veux parler.

Pourtant, ce sont eux – les journalistes – qui savent et qui en meurent parfois.

Merci au représentant de l’ONU d’interdire aux rédactions d’oublier l’Asie.

Merci à toi de m’avoir compris quant au « Dakar ». Mais je pense que là j’ai été plus clair.

Marc, l’Africain

Je n’ai pas très envie de m’étendre sur le Dakar, non seulement parce que cela ne m’a jamais intéressé (j’ai beaucoup de mal à comprendre le plaisir que l’on peut avoir à aller le plus rapidement d’un point à un autre quand il me semble plus instructif, plus intelligent même, de prendre son temps, de rencontrer, de partager, de découvrir, d’admirer, d’aimer… ), mais aussi parcequ’un tel contraste (le mot est faible) entre tant de richesse, de gaspillage (je n’ose pas dire pollution… quoi que…) et de pauvreté, de nécessité, de misère même me débecte et me fait haïr ces gosses de riches jouant à celui qui pisse le plus loin sur la tôle ondulée des favellas (du latin : poussière) de ces miséreux.

En revanche je voudrais avouer un certain malaise face par exemple à la page d’accueil du site Apple ou (désolé si je choque certains) à la quête via SMS ou autres « à vot’ bon cœur m’sieur dam' ».
La sympathie qui touche en ce moment la presque totalité du globe est certes louable, les dons particuliers affluent…
Quelques centaines de milliers d’euros peut-être pour la France, certes c’est toujours ça de pris (et j’y ai moi-même contribué) mais comparés aux centaines de millions d’euros que « coûtent » les baisses d’impôt, le moins que l’on puisse constater, est que la charité est moins efficace que la solidarité (par l’impôt).
Or il est bien encré dans l’esprit de chacun depuis plusieurs années que l’impôt est la pire des choses qui soit et que le salut de nos sociétés ne viendra que par la disparition de cette horreur digne du pire régime totalitaire collectiviste.

A titre d’exemple le dernier « cadeau » fait aux contribuables employant du personnel de maison coûte à notre beau pays la bagatelle de 80 millions d’euros…Mais il est vrai que la charité permet d’avoir la conscience tranquille ! pas le tier provisionnel (paiement de l’impôt sur les revenus en France tous les 4 mois).

Agir local, penser global !

Alec6,

Fidèle à ta devise. Qui ressemble à une bonne résolution de 1er janvier. Empruntée à qui, déjà? José Bovin?
Mais je te taquine pour t’imaginer bondissant sur ton siège tel un cabri qui crierait: L’altermondialisme, l’altermondialisme, l’altermondialisme!

En mon for intérieur, je suis soulagé que tu n’accuses pas les libéraux d’avoir provoqué le tsunami…

Oublie un instant le profit médiatique, à mon avis tout relatif, qu’Apple Corp. espère tirer de son élan de solidarité, et pense à l’aide plus conséquente qui vont en tirer les rescapés.

Les machines n’ont pas encore pris le pouvoir: derrière ces liens hypertexte, il n’y a pas Skynet (si tu as vu « Terminator 3 », tu comprendras), il y a deux petites mains et un petit cœur qui bat. C’est la personne derrière qui s’est émue de ce drame, même si ses mains souillées du péché capitaliste touchent aussi des stock-options! Même si le petit cœur bat aussi au rythme des fluctuations du Nasdaq!
Pour mémoire, le plus grand mécène de l’histoire s’appelle, je te le donne en mille… Bill Gates!
Et personnellement, je me fous qu’il ait été motivé par la vanité (créer la première fondation du monde avec 20 Mds de $), la culpabilité d’avoir vendu des logiciels de merde à des millions de gogos, ou la simple générosité.
Par ailleurs, ce qui serait moralement discutable, en admettant qu’on s’en soucie, c’est qu’Apple en profite pour fourguer ses ordinateurs, avec des offres du type: Achetez X, et nous ferons un don de Y € pour vous.
C’est pas le cas ici, mais mon FAI, Neuf Télécom, m’a récemment envoyé un courrier promettant 8 € à une ONG contre un prolongement d’un an de mon abonnement… Le propos était, qui plus est, assez embrouillé pour qu’uon puisse croire qu’il n’y avait aucune contrepartie à ce don miraculeux.

Alors respire un coup: ce n’est pas du charity business, c’est une invitation à la solidarité. Steve Jobs est un génie, mais Bill Gates est plus « génireux »…

MadMac

Cher MadMac,
Tu m’as peut-être mal compris ou je me suis peut-être aussi mal exprimé, mais ce que je regrette le plus n’est pas tant la charité des uns et des autres que la haine bien cultivée de l’impôt.
Or, à mes yeux (et je ne suis pas le seul…) je crois que l’impôt sur les revenus (tous les revenus) est LA source de financement la plus importante et de loin. Le problème de l’impôt n’étant pas tant son prélèvement et son existence que ce que l’on en fait.
Baisser les impôts revient à faire une dépense et ces dépenses là sont allées en France dans la poche de ceux qui en ont le moins besoin, i.e ceux qui en payent beaucoup et qui ont les revenus en conséquence.
De la même manière, les états riches (occidentaux pour la plupart) sont sensés reverser 0,7% de leur PIB pour le développement des pays les plus pauvres. La réalité est aujourd’hui aux alentours de 0,2% je crois.

Je fais parallèlement bien plus confiance à une organisation pilotée par des pays pour la plupart démocratiques telle l’ONU qu’à des interventions médiatisées et autonomes telle celle des étatsuniens actuellement…
Les ONG sur le terrain ne se font pas de concurrence, mais fédèrent leur action en étroite collaboration avec l’ONU et celà est bien plus efficace que la « compétition » dans laquelle les états unis veulent entraîner tout le monde.

Alec6 tu as raison.

La chasse à l’impôt est un peu comme la chasse à la grouse, un vrai sport de riches !

Il n’y a pas d’échappatoire: tu veux des routes et pas des pistes (quoique, dans mon cas…), des livres ou des ordis dans des écoles qui ne soient pas à ciel ouvert, des lits dans les hopitaux et pas des brancards dans les couloirs?
Il faut de l’argent, de la fraîche, du blé, de la thune. Et beaucoup.

Bon, quand viens tu déjeuner avec nous?

—
Du Mac+ à l’Alubook. M*** j’ai pris vingt ans !

Alec6

Tu as tort

LA source principale est la TVA.

—
Du Mac+ à l’Alubook. M*** j’ai pris vingt ans !

« alec6 »
La baisse d’impôts, un grand sujet de polémique.
Il se trouve qu’avec ma femme , nous en avons un peu bénéficier, et je te promet que nous ne sommes que de pauvres trimards , notre seul péché, c’est de gagner, en échange de beaucoup de labeur, un peu plus que des smicards.
hé oui « alec6 » il ne faut surtout pas être comme tu le pense « riche » pour payer des impôts, les riches ont depuis longtemps trouver de nombreux moyens pour y échapper il n’ont pas attendu, comme tu le pense, les mesures gouvernemental.
De très nombreux employés de maison travaillent s’en être déclaré, si les nouvelles mesures corrigent ce scandale , je trouve ça bien pour eux.
Le tiers provisionnel c’est comme son nom l’indique en 3 fois ( 3 tiers = 1 entier) , il existe également la mensualisation.

Achille :

J’en ai profité aussi de la baise des impôts, je bosse en tant que profession libérale et connais les méandres des 2035, 2042, TVA, et autres taxes diverses et variées. Et je préfèrerai une baisse de la TVA, qui elle profiterait à tout le monde et principalement à ceux qui consomment la totalité de leur revenus : les bas revenus.

En revanche je crois qu’il est naïf de croire que cette baisse des impôts va se traduire par une régularisation des emplois de maisons…
Dans une économie de marché et une société de consommation et a fortiori dans une période incertaine de régression sociale, les baisses d’impôts sur les revenus se traduisent toujours par une épargne à la hausse. Les très riche parce que de toutes façons ils ont suffisamment de quoi consommer et les classes moyennes pour pallier l’insécurité sociale grandissante qui les (nous) touche de plus en plus – doit-on rappeler la mise à mal du système de retraite par répartition et de la Sécu pour s’en convaincre ?

Ce n’est pas une prévision ou une vision de cassandre altermondialiste, c’est un constat.

Alec6,

Je ne vais pas revenir avec toi sur les baisses d’impôts et autres sujets abordés précédemment. Je me bornerai à constater la disparition de ta devise, mais si tu continues à rabâcher ton bréviaire, et moi le mien, celle qui s’imposerait à nous deux serait: « Agités du bocal », tant on finit par tourner en rond, comme deux petits poissons rouges. Le rouge te sied mieux qu’à moi, cela dit.
Je ne vois pas le rapport entre l’impôt et la génériosité publique. Cela n’a rien d’incompatible, c’est plutôt complémentaire, non?
Toi qui travailles en indépendant, tu devrais être sensible à l’esprit d’initiative qui a donné naissance, par exemple, aux Restos du cœur en France. Si Coluche n’avait pas sensibilisé l’opinion à la paupérisation croissante d’une partie de la population française sous un gouvernement de gauche, le RMI aurait-il vu le jour quelques années plus tard? J’en doute fortement.
Sur les impôts, quoique je ne voie pas le rapport avec le sujet de départ, Saluki a raison: la TVA est la première ressource financière de l’État (français, je précise pour nos voisins helvètes), il rapporte le double de l’impôt sur le revenu.
Convernant les employées de maison, tu as raison, la baisse des charges va les foutre au chômage, elles vont réclamer à cor et à cri le retour du black, l’absence de protection sociale, de retraite, et j’en passe.
Sans te vexer, tu es plus doué pour les beaux discours qui flattent l’ego que pour l’éco.
Tu fais quoi au juste, dans la vie, à propos?

Sans te vexer, tu es plus doué pour les beaux discours qui flattent l’ego que pour l’éco.
Tu fais quoi au juste, dans la vie, à propos?

À mon avis c’est raté. Plustôt méchant comme propos même, ou alors il manque un smiley :-)

-Fab