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ProLexis 3.9 et Myriade 2 face au correcteur intégré de Word v.X (première partie)

Cet article est la première partie du test consacré à ProLexis et au correcteur intégré de Word. Vous pouvez lire la seconde ici.

ProLexis 3.9, Myriade 2 et le correcteur intégré à Word v.X.: de la bonne orthographe?

Nos traitements de texte nous proposent une multitude de possibilités pour travailler nos documents. Depuis que nous utilisons un ordinateur, corriger une erreur, ciseler notre texte est devenu chose tellement simple qu’on en oublie le temps où les ciseaux, le tipex et la colle étaient les seuls moyens pour éviter la recopie d’une lettre que nous avions mis deux heures à taper, et dans laquelle s’était insidieusement glissée l’inversion de deux caractères.

Paradoxalement, il n’y a jamais eu autant de fautes de frappe ou d’orthographe en circulation que depuis que les textes sont édités par ce moyen.

Cela s’explique par le fait que la correction à l’écran est fastidieuse, et que, trop souvent, le temps manque pour relire le texte une fois qu’il est imprimé. Une amie me disait son désarroi: "j’ai beau faire, je suis incapable de distribuer un document qui ne contient pas de faute, je m’en rends toujours compte trop tard…" Les correcteurs orthographiques purs, livrés avec la plupart des traitements de texte permettent, par comparaison entre les mots de votre texte et la liste plus ou moins importante qu’ils intègrent, de repérer vos fautes de frappe, mais aucunement vos erreurs d’accord. Ainsi, aucune faute ne sera signalée dans la phrase "mât mer va camp paix (ma mère va camper)".

Depuis quelques années, quelques correcteurs grammaticaux spécialisés sont arrivés sur le marché, avec relativement peu de succès. Bien sûr, lors de démonstrations, certains de ces programmes, comme Correcteur 101 ou Antidote, nous en fichent plein la figure. En effet, que fait-on pour montrer les capacités d'un correcteur orthographique et grammatical à une connaissance?

On écrit une phrase courte, avec au minimum 5 erreurs pour voir comment le programme réagit. Et étonnamment, dans ce cas, il s'en sort très bien.

C'est sans doute ce qui explique les louanges que qu'ont fait à l'époque certains journaux français au Correcteur 101. Là où le bât blesse, c'est lorsque l'on essaie de travailler avec ces programmes dans un environnement de travail standard. Et là, autant Correcteur 101 qu'Antidote, pour le moins dans les versions que j'ai testées il y a deux ans, sont insupportables. Le temps passé à la correction, en passant de faute en faute dans une zone de dialogue (comme c'est le cas dans la plupart des correcteurs intégrés d'ailleurs) est tellement rébarbatif que l'on préfère ne pas lancer la correction.

Remarquez que les choses ont peut-être changé. Je crois savoir par exemple qu'Antidote a adopté la correction d'un texte global et qu'il supprime par cette nouveauté son point faible. Je vais d'ailleurs tester les nouvelles versions de ces deux produits très bientôt, on verra bien.

Pour nous, deux produits, de par leur interface excellente, peuvent prétendre nous aider dans la bonne orthographe de nos textes. Ce sont ProLexis et le correcteur intégré à Word pour Macintosh.

Ces deux produits travaillent sur la globalité de la phrase, ce qui permet une analyse et donc une correction plus efficace. En effet, avant de vérifier les accords, le logiciel reconnaît la fonction de chaque mot dans la phrase. C’est seulement lorsque les phrases sont trop compliquées que tant le correcteur de Word que ProLexis passent en analyse partielle, décortiquant la phrase en plusieurs parties.

De la bonne qualité d'un correcteur

Cinq critères sont importants lorsqu’on utilise un logiciel de correction:

1. la capacité du logiciel de trouver les vraies erreurs

2. la capacité du logiciel de ne pas signaler les fausses erreurs

3. la qualité des propositions que le logiciel nous offre pour corriger les vraies erreurs

4. l’ergonomie du logiciel

5. le temps passé à la correction

C’est de la bonne tenue du programme face à ces 5 critères que dépendront notre envie de passer le texte à la moulinette du correcteur, et par conséquent la bonne qualité de notre texte.

J'ai soumis nos deux correcteurs à trois tests pour voir ce qu'ils ont dans le ventre.

  • Le premier test permet, à l’aide des 10 phrases courtes, très scolaires, contenant en tout 26 fautes (voir partie deux de notre test), de juger la capacité du logiciel à déjouer les pièges proposés. Nous sommes partis du principe que dès que le logiciel signalait une erreur, ou une phrase analysée de manière partielle, il était possible à l’utilisateur de trouver l’erreur et donc de la corriger.
  • Le deuxième place ces correcteurs dans un contexte de travail normal. Nous avons pris un article de 15 329 signes, représentant un article de l'Encyclopaedia Universalis sur la Terre. Dans un premier temps, nous l’avons fait passer à la moulinette de nos deux correcteurs alors qu’il ne contenait aucune erreur.
  • Enfin, pour le troisième test, nous avons parsemé ce même texte de 15 erreurs et nous nous sommes penchés sur le temps total que nous avons mis pour les corriger, si bien sûr le logiciel les retrouvait.

Mais avant de vous donner les résultats, voici comment se présentent ces deux programmes au niveau de l'interface.

ProLexis: l’efficacité avant tout

À l’époque, la lettre accompagnant la version 2 de ProLexis montrait que ses auteurs, Béatrix et Roger Rainero et toute leur équipe, ont une approche, voire une philosophie toute faite de modestie par rapport à l'étendue de la tâche puisqu'ils écrivent: "les technologies actuelles ne permettent pas encore d’obtenir une fiabilité telle sur du texte courant, pour que le qualificatif de correcteur soit objectivement approprié. Nous lui préférons donc outil d’aide à la rédaction" ou encore, petit clin d’œil aux programmeurs de Correcteur 101 qui vantaient l'intelligence artificielle de leur correcteur: "certains logiciels utilisent des technologies dites d’Intelligence Artificielle auxquels nous préférons la dénomination plus exacte d’Artifice d’Intelligence". Jolie formule, ne trouvez-vous pas?

On achète ProLexis en modules. Nous trouvons en plus du moteur proprement dit,

  • le module d’orthographe
  • les modules de typographie (niveau 1 et 2)
  • celui de grammaire, d’une efficacité et d’une rapidité inégalées à ce jour
  • des adaptateurs pour les programmes Word, PageMaker, FrameMaker, QuarkXPress, Claris-Apple Works, InDesign, Internet (comprenant les adaptateurs pour les programmes de Mail les plus connus), ainsi que pour 4e Dimension.

Précisons qu'à l'heure où j'écris ces lignes, seul l'adaptateur Word est carbonisé, ce qui signifie que ProLexis toune en natif sous MacOS X, mais seulement avec ce programme de la suite Office v.X.

Notons d'ailleurs que cette carbonisation s'avère très bien réalisée. J'ai eu à déplorer parfois de tout petits problèmes au niveau de la gestion des fenêtres: en effet, il arrive que ProLexis disparaisse derrière des documents déjà ouverts par dessus lui, et qu'on ait de la peine à le retrouver. Rien de grave pour autant.

Il faut ajouter que ProLexis travaille en symbiose totale avec le magnifique Myriade 2, un ensemble de dictionnaires très puissant. Myriade est désormais carbonisé lui aussi, et peut être lancé de manière autonome. Ce logiciel est incroyable, nous en reparlerons plus loin.

Diagonal, l'éditeur de ProLexis a cherché avant tout à apporter un outil qui puisse être le plus rapide et le plus précis possible, en visant en premier lieu l’utilisateur professionnel, mais aussi celui qui rédige pour son propre compte. Et les concepteurs de ce produit sont des perfectionnistes.

En effet, fin 1996, ils avaient dans les mains un produit que bien des concurrents auraient sorti depuis des mois. Mais eux ont refusé de mettre ProLexis sur le marché avant que ce dernier soit une aide véritable à la rédaction. Or à cette époque, ProLexis faisait encore trop de fausses détections. Ce n'est que vers le milieu de l'année 1997 que ce programme est sorti dans les boutiques spécialisées. Le taux de fausses détections est dans cette nouvelle version 3.9 descendu très bas puisque le logiciel n'en fait en moyenne qu'une sur 1500 mot.

Et puis, ProLexis va vite, très vite: nous lui avons soumis un texte de 43 pages A4 (24'280 mots) qu'il a analysé en 2.5 secondes sur un Titanium 800. Nous ne sommes pas des fanatiques de la performance pour la performance, mais cette vitesse amène l’utilisateur à ne pas hésiter à lancer l’analyse d’un texte, même très long.

L'interface de ProLexis

ProLexis, dans sa version 3.9, comme dans les précédentes d'ailleurs s'utilise avec les programmes qui peuvent disposer d'un adaptateur (voir ci-dessus). Un menu vient s'ajouter à droite du menu Aide. C'est à partir de ce dernier que le correcteur est piloté.

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Il est également possible d'utiliser la palette flottante du logiciel pour effectuer les corrections principales.

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Une fois lancé, ProLexis passe le document en revue en une fraction de seconde (voir plus haut) pour un document standard, et signale toutes les erreurs sous forme de liste dans une fenêtre séparée, par défaut à gauche du document qui est lui-même déplacé, puis remis "en place" après correction.

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On voit ainsi d’un simple coup d’œil si le programme signale véritablement une erreur ou un mot orthographié de manière correcte (un mot informatique par exemple) que vous savez être juste mais que lui ne connaît pas. Vous aurez ainsi tout loisir de ne pas vous y attarder. Vous pourrez même l’intégrer à l’un des dictionnaires chargés en cliquant sur le mot dans la liste, en tenant la touche Commande enfoncée, et en choisissant le dictionnaire dans le pop-up menu qui apparaît. Cette interface limpide est la même, que l’on corrige l’orthographe, la typographie, la grammaire ou encore le tout à la fois, ce qui n’est même plus déconseillé dans cette dernière version.

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Toujours au niveau des dictionnaires disponibles, signalons le dictionnaire temporaire, qui permet d'apprendre des mots pour un certain temps et de les oublier ensuite. C'est très pratique lorsqu'on écrit un document dans un domaine précis que l'on ne va plus travailler ensuite, puisque cela permet d'éviter de surcharger nos dictionnaires personnels.

Si l'on clique sur une erreur dans la liste, une explication claire et précise (pour la grammaire) et une liste de propositions s'affiche dans une zone dédiée. Si une faute apparaît plusieurs fois, ProLexis propose de tout corriger d'un coup. C'est d'ailleurs ici que nous avons ressenti une toute petite lenteur: les corrections multiples sont visibles à l'écran, et la fenêtre affiche les différents endroits où se trouvent les erreurs. Sous MacOS X 10.1.5, cel prend un tout petit peu de temps (un rien mais le logiciel est autrement tellement instantané qu'on s'en étonne presque!).

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Une fois la faute éradiquée, le mot reste visible dans la liste des erreurs, mais s'affiche par défaut en blanc, preuve pour l'utilisateur qu'elle est traitée.

La typographie

Vous n'êtes pas sans savoir que la typographie est différente selon l'endroit où un texte est imprimé. Ainsi, les Français ajoutent une espace insécable (eh oui, ce mot est féminin en typographie) avant le point d'exclamation ou d'interrogation par exemple. Le format des heures et des dates est aussi différent d'un pays à l'autre, tout comme la forme des guillemets. Et bien ProLexis permet de se plier sans problème à ces contraintes: il suffit de lui signaler quelle charte typographique on désire utiliser. Mais, dans certains logiciels, cette charte peut poser des problèmes. En effet, la charte de typographie romande (très proche de l'anglo-saxonne) impose une espace fine avant le point d'interrogation. Word ne sait pas gérer ce type d'espaces, ce qui est fort dommage d'ailleurs. Alors ProLexis part du principe, dans la charte suisse-romande livrée avec les modules, qu'il impose l'espace insécable. Il faudra aller modifier cela à la main à l'intérieur de ProLexis, ce qui se fait très simplement. Mais alors, ce qui est regrettable, c'est que ce réglage sera valable pour tous les logiciels, même QuarkXPress qui lui gère parfaitement l'espace fine. Dommage, mais il semble que les programmeurs travaillent pour trouver une solution à ce problème.

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Tout comme l'orthographe et la grammaire, la typographie est corrigée dans une fenêtre adjacente au texte. Elle peut même être effectuée en même temps que les autres analyses, toujours via la palette offerte par Diagonal.

Un premier niveau de correction typographique vérifie la composition de la ponctuation, les signes allant par paire ainsi que le contrôle de la parité des guillemets, parenthèses, crochets, et de l'ordre de ces signes.Une substitution automatique paramétrable permet de changer automatiquement certains signes par d'autres (guillemets, apostrophes par exemple).

Un deuxième niveau (il s'agit du module supplémentaire typographie avancée française) vérifie le format des dates, des heures, des nombres, des sigles et des abréviations.

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ProLexis permet également d'automatiser le lancement de la correction (avec de nombreuses options) au moment où on lance une impression.

Les nouveautés de la version 3.9 de ProLexis

En plus du fait d'être carbonisé, ProLexis est maintenant paramétrable au niveau de son interface. Les dispositions des fenêtres sont plus nombreuses et s’adapteront à coup sûr à vos désirs. Il est même possible de zoomer l'interface à un taux défini par l'utilisateur en control-cliquant sur la barre titre de la fenêtre du correcteur. Cette fonction d'agrandissement est pratique puisqu'elle permet de mieux voir où se trouve l'erreur dans le document lorsque ProLexis la sélectionne dans le texte et que le mot en question est très court.

Les dictionnaires ont également évolué en même temps que la langue, et l'analyse grammaticale est encore améliorée puisque un certain nombre de règles ont été affinées.

Les couleurs sont mises à partie depuis la version 3 puisqu’il est possible, par exemple, de définir une teinte pour chaque type d’erreur (grammaire, orthographe ou typographie). En fait, toute l’interface peut être personnalisée par l’ajout de ces couleurs.

Un détecteur phonétique est venu s’ajouter pour vous aider dans les propositions orthographiques. Si vous écrivez Keur, le programme vous proposera dans un premier temps Leur, Peur et Beur. Si vous tapez sur Autres propositions, vous obtiendrez Chœur, Cœur, Qu’eurent, Qu’heure (avec chaque fois leurs pluriels). Pas mal non ?

D’autre part, une aide contextuelle est venue se greffer sur tous les boutons importants. Cette dernière affiche également une explication lorsque vous glissez le curseur sur les erreurs de la liste. Bien pratique.

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Remarquez au passage les performances du logiciel!

Avec certains adaptateurs, comme celui d’XPress, ProLexis sait même tenir compte des styles.On pourrait par exemple créer un style "vieux français" et demander au correcteur de ne pas s'occuper de ce style (il y verrait des erreurs).

Notons encore que ProLexis est maintenant capable de corriger l'orthographe anglaise (pas la grammaire) dans un texte et peut même reconnaître tout seul ces deux langues. Il choisira de ce fait le bon dictionnaire pour chaque passage du même document. Mieux même, s'il n'est pas encore capable de corriger ces langues, le correcteur est capable de reconnaître les passages en italien, en espagnol et en allemand. Dans ce cas, il marque le passage en indiquant par exemple "...langue espagnole?" mais surtout ne signale pas une montagne de fautes, tout cela en attendant qu'il soit prêt à corriger ces trois langues.

Myriade 2, le dictionnaire structuré de la langue française, des synonymes en plus d'un conjugueur

Myriade 2 nous offre un dictionnaire de la langue française assez extraordinaire, basé sur le Dictionnaire général de la langue française d'Adolphe HATZFELD et Arsène DARMESTETER, paru en 1888 et bien entendu modernisés depuis lors pour s'adapter à notre époque. Ce travail a demandé de nombreuses années de travail à une équipe de linguistes qui a travaillé pour et avec Diagonal.Vous pouvez lire ici une explication du pourquoi du choix de ce dictionnaire par les auteurs de ProLexis.

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L'interface de Myriade est tout simplement parfaite. Comme je l'ai écrit plus haut, ce logiciel peut être utilisé de manière autonome, mais il est encore meilleur en travaillant à l'intérieur d'un programme capable de le recevoir, notamment dans la recherche des répétitions dans vos écrits (voir plus bas). En effet, il suffit alors de sélectionner un mot dans notre document et d'appeler Myriade pour qu'il nous affiche ses différentes définitions selon le sens qu'il peut avoir, ainsi que de nombreux exemples montrant son emploi, tout cela bien ordonné dans le centre de la fenêtre.

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À droite de cette dernière, nous trouvons trois onglets, qui nous permettent de connaître

  • tous les renseignements grammaticaux sur le mot en question
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  • s'il s'agit d'un verbe, tout ce qu'il faut savoir sur sa conjugasion. Ici également, Myriade excelle: il indique la conjugaison de tous les verbes, à tous les temps, mais vous offre en plus, lorsque vous demandez le passé composé du verbe manger les différents accords possibles, avec un petit rappel de la règle. L'onglet grammaire vous dira même le type du verbe(transitif, transitif indirect, intransitif) ainsi que l'auxiliaire avec lequel il doit être employé (voir figure précédente).

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  • les synonymes du mot recherché

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Vous avez remarqué? La plupart des dictionnaires des synonymes se bornent à vous donner une liste des mots de sens semblables, en vrac ou trié par ordre alphabétique dans une liste.

Myriade fait beaucoup mieux que cela puisqu’il vous propose d’abord les mots classés par leur nomenclature (ainsi, général nom masculin sera séparé de général adjectif), puis par leur sens. Prenons justement l’adjectif général. Le dictionnaire Myriade nous propose

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Vous constatez à gauche en haut les homographes possibles, tout comme les différentes déclinaisons du mot en bas dans la partie grammaticale. Myriade est même capable de faire des propositions selon le contexte. Toujours pour le mot général, si nous écrivons:

La répétition générale de ce spectacle,

ProLexis comprend automatiquement qu'on parle d'avant-première.

De même, si nous tapons:

Le général exige des explications,

ProLexis vous branche sur le chef militaire. Il arrive néanmoins qu'il fasse des erreurs, puisque si nous tapons:

en général, nous avons raison,

ProLexis affiche également les synonymes du chef militaire. En ce cas, il suffit de cliquer sur l'un des homophones et le tour est joué.

Encore plus fort, si vous avez tapé "cet homme" et que vous cherchez un synonyme ayant rapport à son côté macho, vous pourrez choisir de remplacer homme par mâle. En ce cas, Myriade se charge de changer CET par CE, automatiquement. Dans le même style: elles sont sorties deviendra elles ont abandonné si vous avez demandé de remplacer Sorties par Abandonné. Myriade comprend en effet que le verbe abandonner s'emploie avec l'auxiliaire avoir, et il se plie à la règle de l'accord du participe passé qui y est relative.

Diiiiiinnnnngue je vous dis.

Lisez la suite de notre comparatif ici (deuxième partie de cet article).

2 commentaires
1)
Michael
, le 29.07.2002 à 00:00

"ce qui bon résultat" !!! alors ça !

-> ce qui est un bon résultat… non ?

:-)

2)
cuk
, le 29.07.2002 à 00:00

Michael: corrigé, merci!